Mohamed Ali Boughazi, président de l'Instance des consultations sur les réformes politiques a réitéré son appel aux partis politiques ainsi qu'aux personnalités nationales pour participer à ce processus en vue de l'enrichir. Mohamed Ali Boughazi, président de l'Instance des consultations sur les réformes politiques a réitéré son appel aux partis politiques ainsi qu'aux personnalités nationales pour participer à ce processus en vue de l'enrichir. «La commission espère que toute la classe politique prenne part à ces consultations» a-t-il souligné, lors d'un point de presse tenu hier matin au siège de la présidence. Mohamed Ali Boughazi qui s'est élevé contre certaines critiques visant le travail de l'Instance, a insisté sur «le caractère sérieux» de ces consultations. «Les consultations politiques initiées par le président de la République visent à consacrer des réformes profondes à même de consolider le processus démocratique, dynamiser l'action politique, moraliser la vie politique et conférer une crédibilité aux (prochaines) échéances électorales», a-t-il souligné. Le porte-parole de la commission a estimé que le rythme du travail de la commission qui s'est fait de façon régulière durant les jours précédents est un indicateur sur l'élargissement de la sphère des consultations. «Cet élargissement est conditionnée par l'ouverture à tous les avis et propositions, pour peu qu'elles émanent des personnalités répondant aux critères fixées précédemment pas la commission». Mohamed Boughazi a mis en exergue «la diversité et la richesse» des propositions formulées par les personnalités consultées. A propos de la non-participation des anciens chefs de l'Etat, Mohamed Ali Boughazi souligne que «c'est une question qui sera traitée dans un autre cadre». Concernant le nombre de partis politiques et de personnalités invités par l'Instance, Mohamed Boughazi a dit ignorer le chiffre exact, estimant que c'est «une question technique», arguant du fait que certains se «sont présentés, les autres pas encore et certains ont décliné l'invitation à travers les médias». Le président de l'Instance a souligné que le Président Bouteflika suit le déroulement des consultations quotidiennement et que la commission travaille et suit avec rigueur les consignes et orientations du chef de l'Etat qui a fixé dans le cadre général du processus et des personnes conviées à participer aux consultations. La commission suit et travaille selon les orientations du chef de l'Etat, a-t-il précisé. A propos de la clôture de ces consultations, Mohamed Ali Boughazi a affirmé que «la date n'est pas encore tranchée». La commission travaille «sans précipitation et sans ralentir. Nous maîtrisons le temps et nous ne subissons aucune pression sur la durée des consultations» dira t-il. Par ailleurs, M. Boughazi a annoncé que l'Instance consacrera les journées des 14, 15 et 16 juin à des réunions d'organisation interne avant de reprendre les consultations le 18 juin. A propos de la tenue d'une conférence nationale, le porte-parole rappelle que la commission a pour mission d'élaborer «un rapport» résumant avec fidélité et clarté, le contenu, les propositions et les avis des personnes consultées qu'elle remettra au Président. «Le Président a toutes les prérogatives pour décider de la suite du processus», conclut-il. «La commission espère que toute la classe politique prenne part à ces consultations» a-t-il souligné, lors d'un point de presse tenu hier matin au siège de la présidence. Mohamed Ali Boughazi qui s'est élevé contre certaines critiques visant le travail de l'Instance, a insisté sur «le caractère sérieux» de ces consultations. «Les consultations politiques initiées par le président de la République visent à consacrer des réformes profondes à même de consolider le processus démocratique, dynamiser l'action politique, moraliser la vie politique et conférer une crédibilité aux (prochaines) échéances électorales», a-t-il souligné. Le porte-parole de la commission a estimé que le rythme du travail de la commission qui s'est fait de façon régulière durant les jours précédents est un indicateur sur l'élargissement de la sphère des consultations. «Cet élargissement est conditionnée par l'ouverture à tous les avis et propositions, pour peu qu'elles émanent des personnalités répondant aux critères fixées précédemment pas la commission». Mohamed Boughazi a mis en exergue «la diversité et la richesse» des propositions formulées par les personnalités consultées. A propos de la non-participation des anciens chefs de l'Etat, Mohamed Ali Boughazi souligne que «c'est une question qui sera traitée dans un autre cadre». Concernant le nombre de partis politiques et de personnalités invités par l'Instance, Mohamed Boughazi a dit ignorer le chiffre exact, estimant que c'est «une question technique», arguant du fait que certains se «sont présentés, les autres pas encore et certains ont décliné l'invitation à travers les médias». Le président de l'Instance a souligné que le Président Bouteflika suit le déroulement des consultations quotidiennement et que la commission travaille et suit avec rigueur les consignes et orientations du chef de l'Etat qui a fixé dans le cadre général du processus et des personnes conviées à participer aux consultations. La commission suit et travaille selon les orientations du chef de l'Etat, a-t-il précisé. A propos de la clôture de ces consultations, Mohamed Ali Boughazi a affirmé que «la date n'est pas encore tranchée». La commission travaille «sans précipitation et sans ralentir. Nous maîtrisons le temps et nous ne subissons aucune pression sur la durée des consultations» dira t-il. Par ailleurs, M. Boughazi a annoncé que l'Instance consacrera les journées des 14, 15 et 16 juin à des réunions d'organisation interne avant de reprendre les consultations le 18 juin. A propos de la tenue d'une conférence nationale, le porte-parole rappelle que la commission a pour mission d'élaborer «un rapport» résumant avec fidélité et clarté, le contenu, les propositions et les avis des personnes consultées qu'elle remettra au Président. «Le Président a toutes les prérogatives pour décider de la suite du processus», conclut-il.