Les 1.300 délégués présents, hier, à l'ouverture des travaux des Etats généraux de la société civile ont pu comprendre que la démocratie et le bien-être social ne peuvent se construire qu'avec la contribution active de toutes les couches de la société. Ainsi, les objectifs essentiels du Conseil national économique et social (Cnes) s'articulant autour de la libération des initiatives populaires et des énergies vives de la nation, ne peuvent être atteints qu'avec la démocratie participative, le dialogue civil fécond, la responsabilité citoyenne et la cohérence des différents mouvements sociaux dans leurs revendications légitimes. Les différents intervenants, lors de l'assemblée plénière, ont, en fait, mis l'accent sur la nécessité de doter la société civile de moyens à même de prendre part activement à la vie politique du pays. Dans cet ordre d'idées, le président du Cnes, Mohamed Seghir Babès a indiqué que «cette réunion est une occasion importante et précieuse, voire déterminante, pour assurer la liberté de parole et formuler des revendications dans la transparence, comme l'a préconisé le président de la République». Il a ajouté que «l'important, consiste à soutenir en permanence la liberté de la parole en écoutant davantage les citoyens et la société civile. Il s'agit de dégager un consensus sur toutes les questions et permettre à la société civile d'exprimer ses sentiments et ses revendications». Suivant le raisonnement de certains intervenants, il ressort que l'idée primordiale prédominant dans cette rencontre s'articule autour de la nécessité de permettre aux citoyens d'exercer librement leur droit légitime de participer à la construction de la véritable démocratie, notamment par le biais des initiatives populaires et des référendums populaires, deux éléments fondamentaux de la démocratie directe. «La démocratie participative est illustrée par le Printemps arabe de Tunisie que nous allons vivre à ciel ouvert et avec transparence avec nos compatriotes autochtones, ceux de l'Europe et des Etats-Unis d'Amérique» a souligné Babès. L'Algérie sera à Rome pour la réunion de la société civile Pour sa part, le président du Forum Crans Montana, Jean-Paul Carteron, a mis en exergue l'initiative historique du Cnes d'organiser cette rencontre perçue comme étant un espace de débat démocratique sachant que l'Algérie est ouverte, disposée et prête à accélérer le processus démocratique et l'évolution sociale. En fait, selon lui, l'Algérie est ouverte sur le monde et est prête à participer à la fin de la mondialisation inhumaine. «Nous demandons un changement dans la nature de l'Etat sachant qu'en Tunisie, la société a revendiqué la liberté et le droit au travail et à la dignité humaine, et non pas la prise du pouvoir politique» a-t-il affirmé. Il s'agit donc de déconnecter l'économie de la réalité humaine tandis que l'économie doit être au service de l'homme et non de certaines castes privilégiées. Autrement dit, cet intervenant insiste sur l'égalité sociale, le respect des droits de l'homme et la promotion sociale. Antonio Marzano, président du Cnel italien, a déclaré que le «le Cnes doit jouer un rôle éminemment social et positif en donnant la primauté au travail, c'est-à-dire la création d'emplois massifs pour les jeunes et la création de richesses, ainsi que le développement du sens de la responsabilité commune débouchant sur la prise de décisions rationnelles et constructives au bénéfice de la société civile». «Le travail (plein emploi) et la démocratie participative sont deux éléments importants et deux valeurs évoluant conjointement. En octobre 2011, nous organiserons, à Rome, une réunion des associations méditerranéennes de la société civile avec la participation de l'Algérie, et où il s'agira de trouver des solutions aux peuples de l'Union européenne et des pays émergents d'Afrique du Nord » a-t-il précisé. Les 1.300 délégués présents, hier, à l'ouverture des travaux des Etats généraux de la société civile ont pu comprendre que la démocratie et le bien-être social ne peuvent se construire qu'avec la contribution active de toutes les couches de la société. Ainsi, les objectifs essentiels du Conseil national économique et social (Cnes) s'articulant autour de la libération des initiatives populaires et des énergies vives de la nation, ne peuvent être atteints qu'avec la démocratie participative, le dialogue civil fécond, la responsabilité citoyenne et la cohérence des différents mouvements sociaux dans leurs revendications légitimes. Les différents intervenants, lors de l'assemblée plénière, ont, en fait, mis l'accent sur la nécessité de doter la société civile de moyens à même de prendre part activement à la vie politique du pays. Dans cet ordre d'idées, le président du Cnes, Mohamed Seghir Babès a indiqué que «cette réunion est une occasion importante et précieuse, voire déterminante, pour assurer la liberté de parole et formuler des revendications dans la transparence, comme l'a préconisé le président de la République». Il a ajouté que «l'important, consiste à soutenir en permanence la liberté de la parole en écoutant davantage les citoyens et la société civile. Il s'agit de dégager un consensus sur toutes les questions et permettre à la société civile d'exprimer ses sentiments et ses revendications». Suivant le raisonnement de certains intervenants, il ressort que l'idée primordiale prédominant dans cette rencontre s'articule autour de la nécessité de permettre aux citoyens d'exercer librement leur droit légitime de participer à la construction de la véritable démocratie, notamment par le biais des initiatives populaires et des référendums populaires, deux éléments fondamentaux de la démocratie directe. «La démocratie participative est illustrée par le Printemps arabe de Tunisie que nous allons vivre à ciel ouvert et avec transparence avec nos compatriotes autochtones, ceux de l'Europe et des Etats-Unis d'Amérique» a souligné Babès. L'Algérie sera à Rome pour la réunion de la société civile Pour sa part, le président du Forum Crans Montana, Jean-Paul Carteron, a mis en exergue l'initiative historique du Cnes d'organiser cette rencontre perçue comme étant un espace de débat démocratique sachant que l'Algérie est ouverte, disposée et prête à accélérer le processus démocratique et l'évolution sociale. En fait, selon lui, l'Algérie est ouverte sur le monde et est prête à participer à la fin de la mondialisation inhumaine. «Nous demandons un changement dans la nature de l'Etat sachant qu'en Tunisie, la société a revendiqué la liberté et le droit au travail et à la dignité humaine, et non pas la prise du pouvoir politique» a-t-il affirmé. Il s'agit donc de déconnecter l'économie de la réalité humaine tandis que l'économie doit être au service de l'homme et non de certaines castes privilégiées. Autrement dit, cet intervenant insiste sur l'égalité sociale, le respect des droits de l'homme et la promotion sociale. Antonio Marzano, président du Cnel italien, a déclaré que le «le Cnes doit jouer un rôle éminemment social et positif en donnant la primauté au travail, c'est-à-dire la création d'emplois massifs pour les jeunes et la création de richesses, ainsi que le développement du sens de la responsabilité commune débouchant sur la prise de décisions rationnelles et constructives au bénéfice de la société civile». «Le travail (plein emploi) et la démocratie participative sont deux éléments importants et deux valeurs évoluant conjointement. En octobre 2011, nous organiserons, à Rome, une réunion des associations méditerranéennes de la société civile avec la participation de l'Algérie, et où il s'agira de trouver des solutions aux peuples de l'Union européenne et des pays émergents d'Afrique du Nord » a-t-il précisé.