Un film documentaire sur la ville antique de Tlemcen, sur son passé et son présent a été projeté dans la ville des Zianides à l'initiative du ministère de la Culture dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011". Un film documentaire sur la ville antique de Tlemcen, sur son passé et son présent a été projeté dans la ville des Zianides à l'initiative du ministère de la Culture dans le cadre de la manifestation "Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011". Le documentaire, projeté mercredi soir au Centre international de Tlemcen (CIP), aborde en 52 minutes le passé et le présent de la ville antique des Zianides, qui occupe une position stratégique au sein du tissu urbain, car s'étendant de l'édifice "Dar el-Hadith" à l'Ouest jusqu'à Bab Zir à l'Est, passant par plusieurs ruelles et endroits dont "Derb Es-Sabaghine", "Sidi-Djebbar" et "Derb En-Naïdja". Ce film réalisé par Amrouche Mehamel et mis en scène par Abderrahmane Zekkad, a permis à de nombreux hommes de culture et amateurs du septième art de revisiter, quartier par quartier cette Cité légendaire qui dévoile une partie des secrets enfouis du patrimoine culturel et urbain et décrit sa situation à l'ère des mutations urbanistiques. Les maisons de cette ville qui se côtoient et s'entassent sont différentes sur le plan architectural, notamment du point de vue style de construction et du degré de vulnérabilité dû aux aléas du temps. Certaines d'entre elles demeurent toujours témoins de symboles architecturaux authentiques, tels que les arcs et le Zelij, fait-on remarquer. La dernière séquence du documentaire propose une cérémonie de mariage traditionnel tlemcénien célébrée dans une ancienne maison. Cette fête met en en valeur l'attachement des habitants de ces vieux quartiers à leur patrimoine culturel et leur grand dévouement pour la protection du patrimoine matériel et immatériel de la ville antique. Le réalisateur de ce film documentaire a expliqué que ce travail vise, en premier lieu, à "mettre en relief l'authenticité de la ville antique et la place qu'elle occupe dans les cœurs des habitants", tout en soulignant "nous avons montré également, à travers ce film, certains aspects négatifs affectant l'ancienne ville, comme l'état d'abandon et de délaissement des maisons". Un message est adressé, à travers cette projection, aux responsables chargés du patrimoine, aux habitants et aux architectes pour poursuivre les efforts de protection et de sauvegarde de ce legs bâti, à travers sa mise en valeur et sa restauration et la création d'activités traditionnelles s'adaptant avec son environnement, a-t-il indiqué. Le documentaire, projeté mercredi soir au Centre international de Tlemcen (CIP), aborde en 52 minutes le passé et le présent de la ville antique des Zianides, qui occupe une position stratégique au sein du tissu urbain, car s'étendant de l'édifice "Dar el-Hadith" à l'Ouest jusqu'à Bab Zir à l'Est, passant par plusieurs ruelles et endroits dont "Derb Es-Sabaghine", "Sidi-Djebbar" et "Derb En-Naïdja". Ce film réalisé par Amrouche Mehamel et mis en scène par Abderrahmane Zekkad, a permis à de nombreux hommes de culture et amateurs du septième art de revisiter, quartier par quartier cette Cité légendaire qui dévoile une partie des secrets enfouis du patrimoine culturel et urbain et décrit sa situation à l'ère des mutations urbanistiques. Les maisons de cette ville qui se côtoient et s'entassent sont différentes sur le plan architectural, notamment du point de vue style de construction et du degré de vulnérabilité dû aux aléas du temps. Certaines d'entre elles demeurent toujours témoins de symboles architecturaux authentiques, tels que les arcs et le Zelij, fait-on remarquer. La dernière séquence du documentaire propose une cérémonie de mariage traditionnel tlemcénien célébrée dans une ancienne maison. Cette fête met en en valeur l'attachement des habitants de ces vieux quartiers à leur patrimoine culturel et leur grand dévouement pour la protection du patrimoine matériel et immatériel de la ville antique. Le réalisateur de ce film documentaire a expliqué que ce travail vise, en premier lieu, à "mettre en relief l'authenticité de la ville antique et la place qu'elle occupe dans les cœurs des habitants", tout en soulignant "nous avons montré également, à travers ce film, certains aspects négatifs affectant l'ancienne ville, comme l'état d'abandon et de délaissement des maisons". Un message est adressé, à travers cette projection, aux responsables chargés du patrimoine, aux habitants et aux architectes pour poursuivre les efforts de protection et de sauvegarde de ce legs bâti, à travers sa mise en valeur et sa restauration et la création d'activités traditionnelles s'adaptant avec son environnement, a-t-il indiqué.