Le chanteur kabyle Lounis Aït Menguellet animera trois concerts les 1, 2 et 3 juillet prochain au Centre culturel algérien (CCA) à Paris, à l'occasion de la célébration du 49è anniversaire de la Fête de l'indépendance nationale. Ces galas interviennent en réponse à l'invitation du directeur du CCA, Yasmina Khadra, et permettront de rompre ainsi avec une très longue absence de l'artiste dans la plus algérienne des salles parisiennes. La dernière prestation de l'auteur d'Asfru dans cette salle remonte à avril 1993. "En tant qu'Algérien, le CCA c'est chez nous. Et la cerise sur le gâteau est le fait que cet établissement est dirigé par un homme de culture, en la personne de l'écrivain Yasmina Khadra", a indiqué l'artiste à l'APS. Selon la programmation arrêtée par le CCA, les deux premiers concerts (1 et 2 juillet) auront lieu en nocturne (20h30) tandis que le dernier aura lieu à 17 heures. Les spectacles dureront chacun environ deux heures de temps sans interruption, a indiqué Farid Ouahmed, le coordinateur artistique du chanteur. Un cocktail d'anciennes et de nouvelles chansons sera proposé aux mélomanes férus de la chanson à texte kabyle. L'artiste sera accompagné à la flûte par son fils Djaâfar, auteur également des arrangements musicaux du dernier album de Lounis,"Tawrikt Taçebhent". Après sa prestation parisienne, le chanteur-compositeur kabyle est attendu le 9 juillet au Festival de Timgad et le 14 du mois au Théâtre de Verdure, à Alger. Né en 1950 dans le village d'Ighil Bwammas près de Tizi Ouzou, le chanteur est arrivé à Paris au début des années soixante-dix où il s'impose comme l'une des grandes figures de la chanson kabyle de l'immigration. Il passe pour la première fois à l'Olympia en 1978, fait salle comble au Zénith dès 1985, et remplit régulièrement les stades de Tizi Ouzou, de Béjaïa et la salle Atlas à Alger. L'artiste a longtemps été accompagné d'un seul instrument à corde (mandole et surtout guitare) et d'une percussion (derbouka). Il est souvent accompagné à la flûte par son fils, Djaâfar. Le chanteur kabyle Lounis Aït Menguellet animera trois concerts les 1, 2 et 3 juillet prochain au Centre culturel algérien (CCA) à Paris, à l'occasion de la célébration du 49è anniversaire de la Fête de l'indépendance nationale. Ces galas interviennent en réponse à l'invitation du directeur du CCA, Yasmina Khadra, et permettront de rompre ainsi avec une très longue absence de l'artiste dans la plus algérienne des salles parisiennes. La dernière prestation de l'auteur d'Asfru dans cette salle remonte à avril 1993. "En tant qu'Algérien, le CCA c'est chez nous. Et la cerise sur le gâteau est le fait que cet établissement est dirigé par un homme de culture, en la personne de l'écrivain Yasmina Khadra", a indiqué l'artiste à l'APS. Selon la programmation arrêtée par le CCA, les deux premiers concerts (1 et 2 juillet) auront lieu en nocturne (20h30) tandis que le dernier aura lieu à 17 heures. Les spectacles dureront chacun environ deux heures de temps sans interruption, a indiqué Farid Ouahmed, le coordinateur artistique du chanteur. Un cocktail d'anciennes et de nouvelles chansons sera proposé aux mélomanes férus de la chanson à texte kabyle. L'artiste sera accompagné à la flûte par son fils Djaâfar, auteur également des arrangements musicaux du dernier album de Lounis,"Tawrikt Taçebhent". Après sa prestation parisienne, le chanteur-compositeur kabyle est attendu le 9 juillet au Festival de Timgad et le 14 du mois au Théâtre de Verdure, à Alger. Né en 1950 dans le village d'Ighil Bwammas près de Tizi Ouzou, le chanteur est arrivé à Paris au début des années soixante-dix où il s'impose comme l'une des grandes figures de la chanson kabyle de l'immigration. Il passe pour la première fois à l'Olympia en 1978, fait salle comble au Zénith dès 1985, et remplit régulièrement les stades de Tizi Ouzou, de Béjaïa et la salle Atlas à Alger. L'artiste a longtemps été accompagné d'un seul instrument à corde (mandole et surtout guitare) et d'une percussion (derbouka). Il est souvent accompagné à la flûte par son fils, Djaâfar.