La wilaya de Tizi-Ouzou accueillera, du 5 au 10 juillet prochain, la 6e édition du festival culturel arabo-africain de danse folklorique, avec la participation attendue de 17 pays à cette manifestation, instituée en 2005 par le ministère de la Culture, a-t-on appris auprès de la direction locale. La wilaya de Tizi-Ouzou accueillera, du 5 au 10 juillet prochain, la 6e édition du festival culturel arabo-africain de danse folklorique, avec la participation attendue de 17 pays à cette manifestation, instituée en 2005 par le ministère de la Culture, a-t-on appris auprès de la direction locale. Outre la participation des troupes nationales, pas moins de 17 pays sont attendus à ce rendez-vous d'échanges interculturels, alors qu'ils n'étaient que huit à prendre part à l'édition précédente, a-t-on indiqué. Il s'agit du Maroc, de la Mauritanie, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, du Burkina Faso, de la Tunisie, de la Guinée, du Cameroun, de la Palestine, du Liban, de la France, de l'Espagne, du Tchad, de Madagascar, du Mali, du Niger et de la Jordanie, a-t-on précisé au commissariat organisateur de ce festival. Au programme de cette manifestation, figurent une trentaine de représentations chorégraphiques, assorties de galas de chants, qui se produiront sur des sites des villes de la wilaya de Tizi-Ouzou, ainsi que de Boumerdès, qui accueillera, pour la première fois dans l'histoire de ce festival, les troupes du Niger, du Cameroun, du Liban et du Sénégal. "La danse et le public" est le thème retenu, cette année, pour le colloque traditionnel de ce festival, avec au menu des conférences en rapport avec les arts chorégraphiques, animées par des professionnels et des spécialistes en la matière. Pour les amateurs de la danse, il a été programmé un atelier pratique décliné sous le générique "l'écoute de la musique et le geste chorégraphique", animé par des chorégraphes du ballet national. En plus d'un marché consacré en la circonstance à l'artisanat maghrébin, ce festival sera mis en relief par l'organisation de diverses expositions, destinées à la promotion des arts chorégraphiques. Le festival a été défini par ses organisateurs comme étant "un espace d'échange et de dialogue interculturels, mais aussi comme cadre de réflexion sur la préservation du patrimoine populaire immatériel des pays participants. Outre la participation des troupes nationales, pas moins de 17 pays sont attendus à ce rendez-vous d'échanges interculturels, alors qu'ils n'étaient que huit à prendre part à l'édition précédente, a-t-on indiqué. Il s'agit du Maroc, de la Mauritanie, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, du Burkina Faso, de la Tunisie, de la Guinée, du Cameroun, de la Palestine, du Liban, de la France, de l'Espagne, du Tchad, de Madagascar, du Mali, du Niger et de la Jordanie, a-t-on précisé au commissariat organisateur de ce festival. Au programme de cette manifestation, figurent une trentaine de représentations chorégraphiques, assorties de galas de chants, qui se produiront sur des sites des villes de la wilaya de Tizi-Ouzou, ainsi que de Boumerdès, qui accueillera, pour la première fois dans l'histoire de ce festival, les troupes du Niger, du Cameroun, du Liban et du Sénégal. "La danse et le public" est le thème retenu, cette année, pour le colloque traditionnel de ce festival, avec au menu des conférences en rapport avec les arts chorégraphiques, animées par des professionnels et des spécialistes en la matière. Pour les amateurs de la danse, il a été programmé un atelier pratique décliné sous le générique "l'écoute de la musique et le geste chorégraphique", animé par des chorégraphes du ballet national. En plus d'un marché consacré en la circonstance à l'artisanat maghrébin, ce festival sera mis en relief par l'organisation de diverses expositions, destinées à la promotion des arts chorégraphiques. Le festival a été défini par ses organisateurs comme étant "un espace d'échange et de dialogue interculturels, mais aussi comme cadre de réflexion sur la préservation du patrimoine populaire immatériel des pays participants.