Le 17e sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine (UA) s'ouvrira demain à Malabo, capitale de la Guinée équatoriale, avec la participation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Outre les questions traditionnelles et la coopération entre les différents pays du continent noir, ce sommet survient dans une période assez cruciale marquée notamment par l'enlisement du conflit libyen. Le 17e sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine (UA) s'ouvrira demain à Malabo, capitale de la Guinée équatoriale, avec la participation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Outre les questions traditionnelles et la coopération entre les différents pays du continent noir, ce sommet survient dans une période assez cruciale marquée notamment par l'enlisement du conflit libyen. En effet, l'Union africaine qui s'est opposée d'emblée aux raids occidentaux sur la Libye, s'est vue rejeter sa feuille de route qu'elle avait proposée pour solutionner politiquement la crise dans ce pays. Cette option pour laquelle l'Algérie a entièrement adhérée, semble s'éloigner de plus en plus face aux pressions occidentales menées par la France et les Etats-Unis qui ont fait du Comité national de transition (CNT) leur seul interlocuteur. Une option qui semble prendre le dessus, notamment après le lancement d'un mandat d'arrêt contre Mouammar Kadhafi par la Cour pénale internationale (CPE). L'Union africaine qui a toujours milité pour une solution interne en ouvrant un dialogue entre les parties belligérantes à savoir le guide libyen et les rebelles, devra donc revoir sa copie à l'occasion de ce sommet équato-guinéen pour se mettre au diapason des développements survenus dans ce pays africain. Pour revenir à ce sommet, les membres du Panel des éminentes personnalités du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP) ont tenu hier la 50e réunion statutaire, et ce avant la tenue du 15e Forum des chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres du MAEP. Ils procéderont, entre autres, à l'examen du rapport d'évaluation de la Zambie où une mission y avait séjourné du 7 au 25 février dernier, de même que celui de l'Ethiopie dont l'évaluation par les pairs a eu lieu le 29 janvier à Addis-Abéba. La 19e session ordinaire du Conseil exécutif s'est ouverte également hier à Malabo, où les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UA ont eu à examiner le rapport d'activité de la commission, les recommandations sur la mise en œuvre des précédentes décisions du Conseil exécutif de l'Assemblée, ainsi que le rapport du Comité ministériel sur les candidatures et le rapport d'étape sur le travail du jury ministériel sur l'élection des membres de la Commission en janvier 2012. Le conseil exécutif procédera de là même façon à l'élection d'un membre de la Commission de l'UA sur le Droit international et 5 autres membres sur les droits de l'homme des peuples. Les ministres analyseront, par ailleurs, les différents rapports des autres organes de l'UA et discuteront des propositions provenant des Etats membres. En effet, l'Union africaine qui s'est opposée d'emblée aux raids occidentaux sur la Libye, s'est vue rejeter sa feuille de route qu'elle avait proposée pour solutionner politiquement la crise dans ce pays. Cette option pour laquelle l'Algérie a entièrement adhérée, semble s'éloigner de plus en plus face aux pressions occidentales menées par la France et les Etats-Unis qui ont fait du Comité national de transition (CNT) leur seul interlocuteur. Une option qui semble prendre le dessus, notamment après le lancement d'un mandat d'arrêt contre Mouammar Kadhafi par la Cour pénale internationale (CPE). L'Union africaine qui a toujours milité pour une solution interne en ouvrant un dialogue entre les parties belligérantes à savoir le guide libyen et les rebelles, devra donc revoir sa copie à l'occasion de ce sommet équato-guinéen pour se mettre au diapason des développements survenus dans ce pays africain. Pour revenir à ce sommet, les membres du Panel des éminentes personnalités du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP) ont tenu hier la 50e réunion statutaire, et ce avant la tenue du 15e Forum des chefs d'Etat et de gouvernement des pays membres du MAEP. Ils procéderont, entre autres, à l'examen du rapport d'évaluation de la Zambie où une mission y avait séjourné du 7 au 25 février dernier, de même que celui de l'Ethiopie dont l'évaluation par les pairs a eu lieu le 29 janvier à Addis-Abéba. La 19e session ordinaire du Conseil exécutif s'est ouverte également hier à Malabo, où les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UA ont eu à examiner le rapport d'activité de la commission, les recommandations sur la mise en œuvre des précédentes décisions du Conseil exécutif de l'Assemblée, ainsi que le rapport du Comité ministériel sur les candidatures et le rapport d'étape sur le travail du jury ministériel sur l'élection des membres de la Commission en janvier 2012. Le conseil exécutif procédera de là même façon à l'élection d'un membre de la Commission de l'UA sur le Droit international et 5 autres membres sur les droits de l'homme des peuples. Les ministres analyseront, par ailleurs, les différents rapports des autres organes de l'UA et discuteront des propositions provenant des Etats membres.