Midi Libre : SEVE s'investit dans les activités de recherche et dans le rapprochement de l'Université avec le monde des entreprises. Comment cela se passe-t-il ? Françoise Agli : Oui ! Nous tentons de rapprocher l'Université des entreprises et tisser des relations de partenariat en quelque sorte. C'est important pour nous de rapprocher des étudiants pour leur offrir des passerelles en vue de rejoindre l'entreprenariat notamment. Nous avons toujours à cœur, à la SEVE, de rencontrer la jeunesse. Il faut toujours répéter que la jeunesse c'est l'avenir d'un pays. Donc, c'est important pour nous de venir à l'Université des sciences et technologies Houari Boumediene et entamer des débats constructifs avec les jeunes étudiants et étudiantes, surtout lorsque le thème se rapporte à leur avenir et devenir professionnel. C'est une première en termes de rencontres entre, notamment, associations des femmes chefs d'entreprises et les étudiants et étudiantes. Il faut absolument en faire d'autres ici et ailleurs dans d'autres universités d'Algérie. Notre but est de vulgariser les techniques de création d'entreprises et de faire une approche sur l'entreprenariat pour faire ce qu'ils devraient faire et les assister pour qu'ils y parviennent. L'Etat a mis en place des dispositifs uniques au monde en termes d'insertion professionnelle et de soutien à l'emploi des jeunes. Je doute qu'aucun pays au monde n'ait mis autant de fonds et dispositifs pour leur permettre de se lancer dans l'entreprenariat pour leur bien-être personnel mais aussi pour participer au développement économique du pays. Quel est l'objet essentiel ; quelle est la portée du présent forum et quelles sont les perspectives offertes ? Il s'agit d'une rencontre de sensibilisation sur l'esprit entreprenarial et les opportunités de création d'entreprises telles qu'elles sont prévues dans les dispositifs de lois algériennes en vigueur, et ce, en présence de Ferroukhi Merzak, responsable de l'observatoire de l'insertion des diplômés de l'USTHB, et de Yasmina Ziari, professeur universitaire et membre de la SEVE. Nous avons donné des explications sur le dispositif de l'ANSEJ (Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes). La CNAC (Caisse nationale d'assurance chômage) est un autre dispositif qui s'adresse à des personnes plus âgées. Le débat a été ouvert avec les jeunes qui sont motivés pour créer leurs propres entreprises. Les échos que nous avons reçus sont édifiants à plusieurs titres. Les jeunes étudiants et étudiantes ont écouté avec beaucoup d'attention et d'intérêt ; ils veulent prendre leur avenir en main. Ils ont des projets intéressants en termes d'idées réalisables pourvu qu'ils soient assistés et accompagnés durant la période de maturation et de réalisation sur le terrain des investissements et de management. Ils sont, en effet, porteurs de vrais projets innovants et réalisables en conformité avec les besoins de l'économie nationale. Nous allons le faire à notre niveau pour qu'ils puissent réaliser leurs idées et leurs rêves. Une trentaine de projets a déjà été identifiée durant cette rencontre. Nous allons nous revoir en principe à la rentrée universitaire pour voir comment apporter notre contribution en fonction des projets qui sont déjà maturés ou en phase de maturation. Midi Libre : SEVE s'investit dans les activités de recherche et dans le rapprochement de l'Université avec le monde des entreprises. Comment cela se passe-t-il ? Françoise Agli : Oui ! Nous tentons de rapprocher l'Université des entreprises et tisser des relations de partenariat en quelque sorte. C'est important pour nous de rapprocher des étudiants pour leur offrir des passerelles en vue de rejoindre l'entreprenariat notamment. Nous avons toujours à cœur, à la SEVE, de rencontrer la jeunesse. Il faut toujours répéter que la jeunesse c'est l'avenir d'un pays. Donc, c'est important pour nous de venir à l'Université des sciences et technologies Houari Boumediene et entamer des débats constructifs avec les jeunes étudiants et étudiantes, surtout lorsque le thème se rapporte à leur avenir et devenir professionnel. C'est une première en termes de rencontres entre, notamment, associations des femmes chefs d'entreprises et les étudiants et étudiantes. Il faut absolument en faire d'autres ici et ailleurs dans d'autres universités d'Algérie. Notre but est de vulgariser les techniques de création d'entreprises et de faire une approche sur l'entreprenariat pour faire ce qu'ils devraient faire et les assister pour qu'ils y parviennent. L'Etat a mis en place des dispositifs uniques au monde en termes d'insertion professionnelle et de soutien à l'emploi des jeunes. Je doute qu'aucun pays au monde n'ait mis autant de fonds et dispositifs pour leur permettre de se lancer dans l'entreprenariat pour leur bien-être personnel mais aussi pour participer au développement économique du pays. Quel est l'objet essentiel ; quelle est la portée du présent forum et quelles sont les perspectives offertes ? Il s'agit d'une rencontre de sensibilisation sur l'esprit entreprenarial et les opportunités de création d'entreprises telles qu'elles sont prévues dans les dispositifs de lois algériennes en vigueur, et ce, en présence de Ferroukhi Merzak, responsable de l'observatoire de l'insertion des diplômés de l'USTHB, et de Yasmina Ziari, professeur universitaire et membre de la SEVE. Nous avons donné des explications sur le dispositif de l'ANSEJ (Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes). La CNAC (Caisse nationale d'assurance chômage) est un autre dispositif qui s'adresse à des personnes plus âgées. Le débat a été ouvert avec les jeunes qui sont motivés pour créer leurs propres entreprises. Les échos que nous avons reçus sont édifiants à plusieurs titres. Les jeunes étudiants et étudiantes ont écouté avec beaucoup d'attention et d'intérêt ; ils veulent prendre leur avenir en main. Ils ont des projets intéressants en termes d'idées réalisables pourvu qu'ils soient assistés et accompagnés durant la période de maturation et de réalisation sur le terrain des investissements et de management. Ils sont, en effet, porteurs de vrais projets innovants et réalisables en conformité avec les besoins de l'économie nationale. Nous allons le faire à notre niveau pour qu'ils puissent réaliser leurs idées et leurs rêves. Une trentaine de projets a déjà été identifiée durant cette rencontre. Nous allons nous revoir en principe à la rentrée universitaire pour voir comment apporter notre contribution en fonction des projets qui sont déjà maturés ou en phase de maturation.