Les prérogatives et les missions du ministre de la Comunication, Nacer Mehal, sont désormais bien définies. Les prérogatives et les missions du ministre de la Comunication, Nacer Mehal, sont désormais bien définies. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, vient en effet de signer le décret exécutif fixant les attributions du ministre de la communication. Portant le numéro 11-216, ce décret exécutif, signé le 12 juin 2011, a été publié au Journal officiel numéro 33. Le ministre de la Comunication exerce ainsi ses attributions, comme le stipule l'article premier de ce texte, sur l'ensemble des activités liées à la promotion, la consolidation de la démocratie et de la liberté d'expression ainsi qu'au développement de la communication. Cette même disposition atteste que le ministre est tenu de rendre compte de son activité au Premier ministre, aux réunions du gouvernement et au Conseil des ministres. Le champ des attributions de Nacer Mehal est très étendu puisqu'il est chargé de veiller à la régulation des activités de communication, y compris celles liées aux médias électroniques (journaux, radios et télévision sur Internet) de concert avec les entités de régulation. Ces dernières, pour l'heure, n'existent pas. En effet, le haut Conseil de l'information et sans doute aussi le Conseil supérieur de l'audiovisuel, qui auront la lourde tâche de réguler l'ensemble de l'activité liée à l'information et à la communication, seront mis en place dans les prochain mois et ce, à la faveur de la promulgation de la loi organique sur l'information. Cette dernière, qui fait partie d'un ensemble de projets de lois devant constituer le socle sur lequel reposent les réformes politiques engagés par le président de la République, devrait être soumise aux deux chambres du Parlement lors de la prochaine session d'automne. Et c'est certainement cette loi qui aura à spécifier le champ d'attribution du ministre de la Communication et du Conseil supérieur de l'information en matière de régulation du l'activité du secteur. On remarque ainsi que le gouvernement n'omet pas de prendre en considération les nouveaux supports de la communication que sont les médias électroniques ou la télévision sur Internet, journaux que d'aucun considèrent comme les médias du futur. Selon toujours l'article 2 de ce décret exécutif c'est le ministre de la Communication qui est aussi chargé de délivrer les autorisations d'exercice des activités de communication, y compris la presse électronique (journaux, télévision, radios). Un autre alinéa de l'article sus-cité fait cas d'une autre attribution non moins importante du ministre, en l'occurrence celle de «faire barrage» aux visées monopolistiques. En effet, ce département ministériel est tenu de «prévenir la concentration des titres et organes de presse de l'influence financière, politique ou idéologique en proposant les textes législatifs ou réglementaires appropriés». Comme il a aussi la charge de la promotion de la formation, dans les différents métiers et professions de la communication et ce, en concertation avec les différents opérateurs du secteur et les institutions concernées. Les professionnels des médias n'ont eu de cesse de se plaindre de l'insuffisance en matière de formation continue qui, il faut le dire avec force, fait cruellement défaut. Nacer Mehal, le ministre de la Communication, s'est engagé sur ce plan puisqu' il a assuré que le fonds d'aide à la presse, doté d'une enveloppe finance de 400 millions de dinars, sera entièrement consacré à la formation des journalistes. Le décret charge aussi le ministre de fixer les conditions d'exercice des activités de publicité, de sondage et de diffusion de la presse écrite. Autant dire que c'est un véritable chantier pour le ministre de la Communication qui aura aussi pour attribution de veiller à l'organisation et à la promotion de la communication institutionnelle publique. Le décret ne précise pas de quelle manière le ministre pourra promouvoir la communication institutionnelle. . Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, vient en effet de signer le décret exécutif fixant les attributions du ministre de la communication. Portant le numéro 11-216, ce décret exécutif, signé le 12 juin 2011, a été publié au Journal officiel numéro 33. Le ministre de la Comunication exerce ainsi ses attributions, comme le stipule l'article premier de ce texte, sur l'ensemble des activités liées à la promotion, la consolidation de la démocratie et de la liberté d'expression ainsi qu'au développement de la communication. Cette même disposition atteste que le ministre est tenu de rendre compte de son activité au Premier ministre, aux réunions du gouvernement et au Conseil des ministres. Le champ des attributions de Nacer Mehal est très étendu puisqu'il est chargé de veiller à la régulation des activités de communication, y compris celles liées aux médias électroniques (journaux, radios et télévision sur Internet) de concert avec les entités de régulation. Ces dernières, pour l'heure, n'existent pas. En effet, le haut Conseil de l'information et sans doute aussi le Conseil supérieur de l'audiovisuel, qui auront la lourde tâche de réguler l'ensemble de l'activité liée à l'information et à la communication, seront mis en place dans les prochain mois et ce, à la faveur de la promulgation de la loi organique sur l'information. Cette dernière, qui fait partie d'un ensemble de projets de lois devant constituer le socle sur lequel reposent les réformes politiques engagés par le président de la République, devrait être soumise aux deux chambres du Parlement lors de la prochaine session d'automne. Et c'est certainement cette loi qui aura à spécifier le champ d'attribution du ministre de la Communication et du Conseil supérieur de l'information en matière de régulation du l'activité du secteur. On remarque ainsi que le gouvernement n'omet pas de prendre en considération les nouveaux supports de la communication que sont les médias électroniques ou la télévision sur Internet, journaux que d'aucun considèrent comme les médias du futur. Selon toujours l'article 2 de ce décret exécutif c'est le ministre de la Communication qui est aussi chargé de délivrer les autorisations d'exercice des activités de communication, y compris la presse électronique (journaux, télévision, radios). Un autre alinéa de l'article sus-cité fait cas d'une autre attribution non moins importante du ministre, en l'occurrence celle de «faire barrage» aux visées monopolistiques. En effet, ce département ministériel est tenu de «prévenir la concentration des titres et organes de presse de l'influence financière, politique ou idéologique en proposant les textes législatifs ou réglementaires appropriés». Comme il a aussi la charge de la promotion de la formation, dans les différents métiers et professions de la communication et ce, en concertation avec les différents opérateurs du secteur et les institutions concernées. Les professionnels des médias n'ont eu de cesse de se plaindre de l'insuffisance en matière de formation continue qui, il faut le dire avec force, fait cruellement défaut. Nacer Mehal, le ministre de la Communication, s'est engagé sur ce plan puisqu' il a assuré que le fonds d'aide à la presse, doté d'une enveloppe finance de 400 millions de dinars, sera entièrement consacré à la formation des journalistes. Le décret charge aussi le ministre de fixer les conditions d'exercice des activités de publicité, de sondage et de diffusion de la presse écrite. Autant dire que c'est un véritable chantier pour le ministre de la Communication qui aura aussi pour attribution de veiller à l'organisation et à la promotion de la communication institutionnelle publique. Le décret ne précise pas de quelle manière le ministre pourra promouvoir la communication institutionnelle. .