Pour protester contre l'absence d'eau potable des dizaines de citoyens ont fermé, hier à l'aide de troncs d'arbres et de blocs de pierres la RN 71, à hauteur du village Rebaï situé à 5 km du chef-lieu de la commune d'Afir à l'est de la wilaya de Boumerdès. Selon des protestataires, l'eau n'a jamais coulé pas dans les robinets de leurs foyers. Ils affirment que les promesses des responsables locaux de raccorder leur localité au réseau de l'eau potable sont restées lettre morte. «On nous a promis que notre localité sera approvisionnée à partir de Taksebt, mais rien n'a été fait jusqu'à maintenant», nous dira l'un des protestataires. En attendant de voir la fin de leur calvaire les villageois s'approvisionnent des puits se trouvant dans la contrée pendant que d'autres recourent à l'achat de ce liquide vital. Une citerne d'eau potable est cédée à des prix exorbitants atteignant les 900 DA mettant ainsi à rude épreuve les maigres budgets des chefs de famille. Les villageois revendiquent une solution rapide avant l'arrivée du mois de Ramadhan. Les protestataires exigent également la réalisation de réseaux d'assainissement dans leur village pour en finir avec les fosses septiques à la source de plusieurs maladies. Les protestataires ne manquent pas aussi de déplorer le manque en matière d'éclairage public. Par ailleurs nous apprenons, d'une source locale, qu'un projet de raccordement en eau potable à partir de Oued Oubay, serait à l'arrêt depuis plusieurs mois en raison d'oppositions de certains propriétaires terriens. Notons que l'eau potable est très rare dans plusieurs localités de Boumerdès, ce qui pousse plusieurs citoyens à sortir dans la rue pour réclamer ce précieux liquide. Pour protester contre l'absence d'eau potable des dizaines de citoyens ont fermé, hier à l'aide de troncs d'arbres et de blocs de pierres la RN 71, à hauteur du village Rebaï situé à 5 km du chef-lieu de la commune d'Afir à l'est de la wilaya de Boumerdès. Selon des protestataires, l'eau n'a jamais coulé pas dans les robinets de leurs foyers. Ils affirment que les promesses des responsables locaux de raccorder leur localité au réseau de l'eau potable sont restées lettre morte. «On nous a promis que notre localité sera approvisionnée à partir de Taksebt, mais rien n'a été fait jusqu'à maintenant», nous dira l'un des protestataires. En attendant de voir la fin de leur calvaire les villageois s'approvisionnent des puits se trouvant dans la contrée pendant que d'autres recourent à l'achat de ce liquide vital. Une citerne d'eau potable est cédée à des prix exorbitants atteignant les 900 DA mettant ainsi à rude épreuve les maigres budgets des chefs de famille. Les villageois revendiquent une solution rapide avant l'arrivée du mois de Ramadhan. Les protestataires exigent également la réalisation de réseaux d'assainissement dans leur village pour en finir avec les fosses septiques à la source de plusieurs maladies. Les protestataires ne manquent pas aussi de déplorer le manque en matière d'éclairage public. Par ailleurs nous apprenons, d'une source locale, qu'un projet de raccordement en eau potable à partir de Oued Oubay, serait à l'arrêt depuis plusieurs mois en raison d'oppositions de certains propriétaires terriens. Notons que l'eau potable est très rare dans plusieurs localités de Boumerdès, ce qui pousse plusieurs citoyens à sortir dans la rue pour réclamer ce précieux liquide.