Près de 18,4 tonnes de marchandises non-conformes ont été saisies au premier semestre 2011 par les services du contrôle économique et de la répression des fraudes, a indiqué, hier, un bilan de la direction du Commerce de la wilaya d'Alger. Près de 18,4 tonnes de marchandises non-conformes ont été saisies au premier semestre 2011 par les services du contrôle économique et de la répression des fraudes, a indiqué, hier, un bilan de la direction du Commerce de la wilaya d'Alger. Selon ce bilan, rapporte l'APS, 16,2 tonnes sont des produits alimentaires non-conformes ou impropres à la consommation représentant en valeur 1,8 million de dinars, et 2,2 tonnes de produits industriels d'une valeur de 1,7 million de dinars. Les agents de contrôle, qui ont dressé 5.474 procès-verbaux d'infractions à l'encontre des contrevenants, ont proposé à la fermeture 245 locaux commerciaux, a souligné le responsable du contrôle de la qualité à la direction du Commerce, M. Saâdi Nefnaf. Sur ces 245 propositions de fermeture, 180 cas étaient liés au défaut de facturation des transactions commerciales effectuées, a-t-il fait savoir, précisant que la valeur de ces transactions s'est élevée à 38,9 millions de dinars. «Le non-respect des règles des pratiques commerciales selon les lois en vigueur, le défaut d'hygiène dans les magasins contrôlés ainsi que l'obstruction aux agents du contrôle, sont les principales raisons de la fermetures des locaux commerciaux», a-t-il encore dit. S'agissant des gains illicites sur la vente de produits subventionnés et mis au jour par les services de contrôle, ils ont dépassé 562.000 dinars. «Les gains illicites sont calculés par les brigades de contrôle sur la base du constat fait sur les lieux de vente de produits dont les prix sont subventionnés par l'Etat, tels que la semoule, le lait en sachet et la farine panifiable», a indiqué M. Nefnaf. Les services du contrôle, qui ont effectué quelque 37.732 interventions, ont aussi opéré une cinquantaine de prélèvements à des fins d'analyses de produits commercialisés expliquant que les produits dont la qualité est douteuse subissent «deux types d'analyses : physico-chimique et bactériologique». Entre janvier et fin juin 2011, la direction du Commerce d'Alger a effectué, dans ce cadre, 13 analyses physico-chimiques et 20 analyses bactériologiques, selon les données contenues dans le même bilan. «La prise d'échantillons n'intervient qu'au dernier stade du système de contrôle des produits proposés à la consommation, et cela, après l'inspection de l'environnement de l'unité de production puis le procédé de fabrication et l'hygiène du personnel», a explicité M. Nefnaf. L'analyse des échantillons s'effectue au niveau des laboratoires agréés et certifiés (ISO) à même d'assurer la fiabilité des résultats, a-t-il ajouté, soulignant, d'autre part, que le travail du contrôle touche les marchés de gros, les marchés et les commerces de détail. Elle s'effectue aussi au stade du transport des marchandises entre les unités de production et les circuits de distribution. Deux inspections spécialisées relevant de la direction du Commerce de la capitale sont chargées, quant à elles, de contrôler la qualité des produits transitant par le port d'Alger et l'aéroport Houari Boumediene. Fort de quelque 180 inspecteurs et agents, l'effectif des brigades du contrôle de la qualité et la répression des fraudes d'Alger, devrait être renforcé cette année par de nouveaux inspecteurs, «tous diplômés des universités», selon ce responsable. Rappelons que durant le début de cette semaine écoulée, la même direction avait précisé que 8.532 tonnes de marchandises ont été bloquées aux frontières de la wilaya d'Alger au cours du 1er semestre 2011. Le nombre des «décisions de refus d'accès de marchandises sur territoire national a atteint 357 cas entre janvier et juin 2011, tandis que les quantités des produits bloqués au niveau des postes frontaliers (port et aéroport d'Alger) se sont élevées à 8.532 tonnes d'une valeur dépassant les 15 millions de dinars», avait alors précisé M. Nefnaf. Selon ce bilan, rapporte l'APS, 16,2 tonnes sont des produits alimentaires non-conformes ou impropres à la consommation représentant en valeur 1,8 million de dinars, et 2,2 tonnes de produits industriels d'une valeur de 1,7 million de dinars. Les agents de contrôle, qui ont dressé 5.474 procès-verbaux d'infractions à l'encontre des contrevenants, ont proposé à la fermeture 245 locaux commerciaux, a souligné le responsable du contrôle de la qualité à la direction du Commerce, M. Saâdi Nefnaf. Sur ces 245 propositions de fermeture, 180 cas étaient liés au défaut de facturation des transactions commerciales effectuées, a-t-il fait savoir, précisant que la valeur de ces transactions s'est élevée à 38,9 millions de dinars. «Le non-respect des règles des pratiques commerciales selon les lois en vigueur, le défaut d'hygiène dans les magasins contrôlés ainsi que l'obstruction aux agents du contrôle, sont les principales raisons de la fermetures des locaux commerciaux», a-t-il encore dit. S'agissant des gains illicites sur la vente de produits subventionnés et mis au jour par les services de contrôle, ils ont dépassé 562.000 dinars. «Les gains illicites sont calculés par les brigades de contrôle sur la base du constat fait sur les lieux de vente de produits dont les prix sont subventionnés par l'Etat, tels que la semoule, le lait en sachet et la farine panifiable», a indiqué M. Nefnaf. Les services du contrôle, qui ont effectué quelque 37.732 interventions, ont aussi opéré une cinquantaine de prélèvements à des fins d'analyses de produits commercialisés expliquant que les produits dont la qualité est douteuse subissent «deux types d'analyses : physico-chimique et bactériologique». Entre janvier et fin juin 2011, la direction du Commerce d'Alger a effectué, dans ce cadre, 13 analyses physico-chimiques et 20 analyses bactériologiques, selon les données contenues dans le même bilan. «La prise d'échantillons n'intervient qu'au dernier stade du système de contrôle des produits proposés à la consommation, et cela, après l'inspection de l'environnement de l'unité de production puis le procédé de fabrication et l'hygiène du personnel», a explicité M. Nefnaf. L'analyse des échantillons s'effectue au niveau des laboratoires agréés et certifiés (ISO) à même d'assurer la fiabilité des résultats, a-t-il ajouté, soulignant, d'autre part, que le travail du contrôle touche les marchés de gros, les marchés et les commerces de détail. Elle s'effectue aussi au stade du transport des marchandises entre les unités de production et les circuits de distribution. Deux inspections spécialisées relevant de la direction du Commerce de la capitale sont chargées, quant à elles, de contrôler la qualité des produits transitant par le port d'Alger et l'aéroport Houari Boumediene. Fort de quelque 180 inspecteurs et agents, l'effectif des brigades du contrôle de la qualité et la répression des fraudes d'Alger, devrait être renforcé cette année par de nouveaux inspecteurs, «tous diplômés des universités», selon ce responsable. Rappelons que durant le début de cette semaine écoulée, la même direction avait précisé que 8.532 tonnes de marchandises ont été bloquées aux frontières de la wilaya d'Alger au cours du 1er semestre 2011. Le nombre des «décisions de refus d'accès de marchandises sur territoire national a atteint 357 cas entre janvier et juin 2011, tandis que les quantités des produits bloqués au niveau des postes frontaliers (port et aéroport d'Alger) se sont élevées à 8.532 tonnes d'une valeur dépassant les 15 millions de dinars», avait alors précisé M. Nefnaf.