La situation chaotique, qui régnait depuis lundi à l'aéroport international Houari Boumediene d'Alger et dans d'autres aéroports internationaux, du fait de la grève du Personnel navigant commercial (PNC), s'est progressivement normalisée, à partir de jeudi dernier. Après quatre jours de grève, ayant engendré le désarroi de milliers de passagers notamment Algériens, la situation revenait à la normale à l'aéroport d'Alger. Cette reprise des activités de la compagnie intervient suite aux négociations entre le syndicat PNC et la direction d'Air Algérie, indique le directeur des opérations au sol de l'aérogare d'Alger, Toubal Seghir Réda. La situation chaotique, qui régnait depuis lundi à l'aéroport international Houari Boumediene d'Alger et dans d'autres aéroports internationaux, du fait de la grève du Personnel navigant commercial (PNC), s'est progressivement normalisée, à partir de jeudi dernier. Après quatre jours de grève, ayant engendré le désarroi de milliers de passagers notamment Algériens, la situation revenait à la normale à l'aéroport d'Alger. Cette reprise des activités de la compagnie intervient suite aux négociations entre le syndicat PNC et la direction d'Air Algérie, indique le directeur des opérations au sol de l'aérogare d'Alger, Toubal Seghir Réda. Ainsi, le premier avion à décoler était celui à destination de Paris à 7h30 du matin. De longues files d'attente de passagers s'étaient formées devant les guichets d'embarquement ; toutefois, les nombreux voyageurs attendaient sereinement leur tour pour s'embarquer. «Tout se passait bien», dira un jeune homme qui s'apprêtait à s'envoler pour Milan, avant de poursuivre que «les formalités se déroulaient dans les normes». Tout près, un groupe de jeunes étudiants en partance pour Istanbul pour y passer des vacances, patientait dans la bonne humeur, en dépit d'«une attente de près de 24 heures». De son côté, un étudiant malien, en provenance de Sidi Bel-Abbès où il suit ses études, attendait patiemment dans le hall de l'aéroport. Son vol, vers Bamako, était programmé pour 21h00. Ce jeune s'est plutôt plaint du «prix élevé des billets», au regard de son statut d'étudiant, que des désagréments du départ de son avion. Le soulagement de la majorité des personnes contrastait, toutefois avec la nervosité de certains passagers, à l'image d'une femme se plaignant à haute voix auprès de responsables d'Air Algérie, du retard enregistré sur son vol. Rappelons que des centaines de travailleurs, appartenant à la corporation du personnel navigant de la compagnie nationale Air Algérie ont entamé, le 11 juillet, une grève pour la revalorisation de leurs droits socioprofessionnels. Le personnel navigant commercial en grève comprenait les stewards, les hôtesses de l'air et les chefs de cabine, à l'exception des pilotes relevant du personnel navigant technique. Dès le déclenchement de cette grève, la compagnie a installé une cellule de crise au centre de coordination des opérations au niveau de l'aéroport international d'Alger pour faire face à la situation. Ainsi, le premier avion à décoler était celui à destination de Paris à 7h30 du matin. De longues files d'attente de passagers s'étaient formées devant les guichets d'embarquement ; toutefois, les nombreux voyageurs attendaient sereinement leur tour pour s'embarquer. «Tout se passait bien», dira un jeune homme qui s'apprêtait à s'envoler pour Milan, avant de poursuivre que «les formalités se déroulaient dans les normes». Tout près, un groupe de jeunes étudiants en partance pour Istanbul pour y passer des vacances, patientait dans la bonne humeur, en dépit d'«une attente de près de 24 heures». De son côté, un étudiant malien, en provenance de Sidi Bel-Abbès où il suit ses études, attendait patiemment dans le hall de l'aéroport. Son vol, vers Bamako, était programmé pour 21h00. Ce jeune s'est plutôt plaint du «prix élevé des billets», au regard de son statut d'étudiant, que des désagréments du départ de son avion. Le soulagement de la majorité des personnes contrastait, toutefois avec la nervosité de certains passagers, à l'image d'une femme se plaignant à haute voix auprès de responsables d'Air Algérie, du retard enregistré sur son vol. Rappelons que des centaines de travailleurs, appartenant à la corporation du personnel navigant de la compagnie nationale Air Algérie ont entamé, le 11 juillet, une grève pour la revalorisation de leurs droits socioprofessionnels. Le personnel navigant commercial en grève comprenait les stewards, les hôtesses de l'air et les chefs de cabine, à l'exception des pilotes relevant du personnel navigant technique. Dès le déclenchement de cette grève, la compagnie a installé une cellule de crise au centre de coordination des opérations au niveau de l'aéroport international d'Alger pour faire face à la situation.