L'Union nationale des transporteurs algériens (Unat) appelle ses adhérents à observer une journée de protestation, mardi prochain, en guise de solidarité avec leurs homologues de la wilaya de Tizi-Ouzou, en grève depuis le 24 juin dernier. Le transport routier sera, donc, paralysé le 19 juillet prochain dans dix wilayas du Centre, à savoir Boumerdès, Alger, Bouira, Béjaïa, Blida, Aïn Defla, Tipasa, Bordj Bou-Arréridj et Chlef en plus de Tizi-Ouzou. L'Union nationale des transporteurs algériens (Unat) appelle ses adhérents à observer une journée de protestation, mardi prochain, en guise de solidarité avec leurs homologues de la wilaya de Tizi-Ouzou, en grève depuis le 24 juin dernier. Le transport routier sera, donc, paralysé le 19 juillet prochain dans dix wilayas du Centre, à savoir Boumerdès, Alger, Bouira, Béjaïa, Blida, Aïn Defla, Tipasa, Bordj Bou-Arréridj et Chlef en plus de Tizi-Ouzou. «La fermeture de l'ancienne gare routière de Tizi-Ouzou-Ville et le transport de l'ensemble des activités à la gare ferroviaire Kaf Ennaâdja, propriété de la SNTF, sise à Bouhinoune, a contraint les opérateurs de transport à observer un débrayage qui perdure depuis le 24 juin dernier, pour inciter les autorités locales à reconsidérer leur décision», précise l'Unat dans un communiqué transmis à notre rédaction, afin de justifier le recours à ce mouvement de contestation. Le mouvement, entrepris par les transporteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou depuis près d'un mois, se veut une démonstration de force «en attendant la réalisation d'une infrastructure d'accueil et de traitement de voyageurs qui réponde aux normes et aux aspirations d'une wilaya considérée comme une fierté nationale dans la fonction du transport du point de vue qualité et quantité des moyens de transport », note aussi le communiqué. Tout en réitérant son soutien et sa solidarité avec cette frange de transporteurs «qui sont sa fierté au niveau national», l'Union des transporteurs algériens déplore la situation dans laquelle se débattent les opérateurs affiliés à ce syndicat. Ce dernier estime que «la délocalisation de la gare routière de Tizi-Ouzou est doublement pénalisante pour l'opérateur et le citoyen, qui devront supporter les surcoûts des retards et les désagréments générés par ce transfert», lit-on encore dans le communiqué de l'Unat. Et de s'excuser, enfin, auprès des voyageurs par route de «cet arrêt forcé, ultime recours à la décision égoïste des autorités de la ville de Tizi-Ouzou». La grève de mardi prochain des transporteurs risque de mettre le feu aux poudres parmi les citoyens dans les dix wilayas du centre du pays, qui représentent, à elles seules, la majorité écrasante du trafic routier dans le pays. Les nombreux usagers de ces axes routiers qui desservent notamment la capitale devront s'attendre à des désagréments montres à cause de ce débrayage. Déjà, la grève des transporteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont évacué leurs bus de la gare routière d'Alger, a créé une grande tension parmi les nombreux voyageurs qui empruntent quotidiennement cet axe routier. Le pire est à craindre du côté des citoyens, harassés par les nombreux débrayages qui n'épargnent désormais aucun secteur. «La fermeture de l'ancienne gare routière de Tizi-Ouzou-Ville et le transport de l'ensemble des activités à la gare ferroviaire Kaf Ennaâdja, propriété de la SNTF, sise à Bouhinoune, a contraint les opérateurs de transport à observer un débrayage qui perdure depuis le 24 juin dernier, pour inciter les autorités locales à reconsidérer leur décision», précise l'Unat dans un communiqué transmis à notre rédaction, afin de justifier le recours à ce mouvement de contestation. Le mouvement, entrepris par les transporteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou depuis près d'un mois, se veut une démonstration de force «en attendant la réalisation d'une infrastructure d'accueil et de traitement de voyageurs qui réponde aux normes et aux aspirations d'une wilaya considérée comme une fierté nationale dans la fonction du transport du point de vue qualité et quantité des moyens de transport », note aussi le communiqué. Tout en réitérant son soutien et sa solidarité avec cette frange de transporteurs «qui sont sa fierté au niveau national», l'Union des transporteurs algériens déplore la situation dans laquelle se débattent les opérateurs affiliés à ce syndicat. Ce dernier estime que «la délocalisation de la gare routière de Tizi-Ouzou est doublement pénalisante pour l'opérateur et le citoyen, qui devront supporter les surcoûts des retards et les désagréments générés par ce transfert», lit-on encore dans le communiqué de l'Unat. Et de s'excuser, enfin, auprès des voyageurs par route de «cet arrêt forcé, ultime recours à la décision égoïste des autorités de la ville de Tizi-Ouzou». La grève de mardi prochain des transporteurs risque de mettre le feu aux poudres parmi les citoyens dans les dix wilayas du centre du pays, qui représentent, à elles seules, la majorité écrasante du trafic routier dans le pays. Les nombreux usagers de ces axes routiers qui desservent notamment la capitale devront s'attendre à des désagréments montres à cause de ce débrayage. Déjà, la grève des transporteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou qui ont évacué leurs bus de la gare routière d'Alger, a créé une grande tension parmi les nombreux voyageurs qui empruntent quotidiennement cet axe routier. Le pire est à craindre du côté des citoyens, harassés par les nombreux débrayages qui n'épargnent désormais aucun secteur.