De nombreux pays et organisations internationales se sont dit «profondément choqués» par l'ampleur des attaques qui ont frappé vendredi la Norvège et fait plus de 90 morts, assurant être aux côtés des Norvégiens «dans ce moment difficile» dans la lutte contre toute forme de terrorisme. De nombreux pays et organisations internationales se sont dit «profondément choqués» par l'ampleur des attaques qui ont frappé vendredi la Norvège et fait plus de 90 morts, assurant être aux côtés des Norvégiens «dans ce moment difficile» dans la lutte contre toute forme de terrorisme. La double attaque survenue à Oslo et dans ses environs vient «rappeler à toute la communauté internationale l'enjeu d'empêcher de tels actes de terrorisme et la nécessité de coopérer dans le domaine du renseignement», a ainsi réagi le président américain Barack Obama. «Nous sommes avec eux et nous leur fournirons toute l'aide possible», a-t-il encore dit. A Bruxelles, le président de l'Union européenne (UE), Herman Van Rompuy, s'est dit «profondément choqué» et a condamné «ces actes de lâcheté pour lesquels il n'y a aucune justification». De son côté, le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, a relevé que «la Norvège a apporté ses bons services à la paix dans les régions les plus instables de la planète», en référence aux rôles de médiateur joués par ce pays dans différentes crises internationales, notamment au Sri Lanka et aux Philippines. Le chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a affirmé, quant à elle, que l'UE «est disposée à apporter son soutien à la Norvège en ces temps difficiles». Pour le Premier ministre britannique David Cameron, qui s'est déclaré «révolté» par les attaques d'Oslo, ces actes «rappellent les menaces terroristes auxquelles nous sommes confrontés». De son côté, le président français, Nicolas Sarkozy, a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte odieux et inacceptable», dans une lettre au Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg. L'Allemagne a, quant elle, exprimé par la voix de la chancelière Angela Merkel, sa solidarité «aux côtés du gouvernement norvégien et la population norvégienne», après les attaques qui ont fait, selon un bilan officiel encore provisoire, au moins 91 morts et des dizaines de blessés. Au moins 84 personnes sont mortes dans la fusillade qui s'est produite dans un rassemblement de jeunes sur l'île d'Utoeya près d'Oslo et sept autres dans l'explosion d'une bombe en plein cœur du quartier des ministères dans la capitale norvégienne, selon un responsable de la police d'Oslo. Ces attaques ont également soulevé l'indignation du président polonais Bronislaw Komorowski qui s'est dit lui aussi «choqué», mot également employé par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, ou le Premier ministre australien, Julia Gillard, dans leurs réactions à ces attentats, qualifiés de «tragédie nationale» par le gouvernement norvégien. Dans leur réaction aux attaques en Norvège, le Premier ministre canadien Stephen Harper s'est dit «horrifié» par des «actes de violence barbares et insensés» tandis que le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a assuré être «aux côtés du peuple norvégien dans ce moment difficile dans la lutte commune contre toute forme de terrorisme». Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussn, a condamné ces «actes de violence odieux». Il a adressé ses condoléances «au gouvernement norvégien, au peuple norvégien, aux familles et aux proches de tous ceux qui ont été les victimes de ces actes cruels et lâches». Plusieurs autres pays ont condamné d'une seule voix «le carnage» survenu en Norvège comme l'Autriche qui a dénoncé une «attaque sournoise» et proposé «aide et soutien» aux Norvégiens ou encore la Chine et la Roumanie qui ont, elles aussi, dénoncé ces actes et exprimé leur solidarité avec le gouvernement et le peuple norvégiens lors de «ce moment difficile». La police norvégienne a précisé que l'auteur de cette fusillade est un Norvégien «de souche», âgé de 32 ans, et présenté comme un «fondamentaliste chrétien» de droite. Les enquêteurs tiennent ce suspect responsable des deux attaques mais n'excluent pas de nouvelles arrestations. La double attaque survenue à Oslo et dans ses environs vient «rappeler à toute la communauté internationale l'enjeu d'empêcher de tels actes de terrorisme et la nécessité de coopérer dans le domaine du renseignement», a ainsi réagi le président américain Barack Obama. «Nous sommes avec eux et nous leur fournirons toute l'aide possible», a-t-il encore dit. A Bruxelles, le président de l'Union européenne (UE), Herman Van Rompuy, s'est dit «profondément choqué» et a condamné «ces actes de lâcheté pour lesquels il n'y a aucune justification». De son côté, le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, a relevé que «la Norvège a apporté ses bons services à la paix dans les régions les plus instables de la planète», en référence aux rôles de médiateur joués par ce pays dans différentes crises internationales, notamment au Sri Lanka et aux Philippines. Le chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a affirmé, quant à elle, que l'UE «est disposée à apporter son soutien à la Norvège en ces temps difficiles». Pour le Premier ministre britannique David Cameron, qui s'est déclaré «révolté» par les attaques d'Oslo, ces actes «rappellent les menaces terroristes auxquelles nous sommes confrontés». De son côté, le président français, Nicolas Sarkozy, a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte odieux et inacceptable», dans une lettre au Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg. L'Allemagne a, quant elle, exprimé par la voix de la chancelière Angela Merkel, sa solidarité «aux côtés du gouvernement norvégien et la population norvégienne», après les attaques qui ont fait, selon un bilan officiel encore provisoire, au moins 91 morts et des dizaines de blessés. Au moins 84 personnes sont mortes dans la fusillade qui s'est produite dans un rassemblement de jeunes sur l'île d'Utoeya près d'Oslo et sept autres dans l'explosion d'une bombe en plein cœur du quartier des ministères dans la capitale norvégienne, selon un responsable de la police d'Oslo. Ces attaques ont également soulevé l'indignation du président polonais Bronislaw Komorowski qui s'est dit lui aussi «choqué», mot également employé par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, ou le Premier ministre australien, Julia Gillard, dans leurs réactions à ces attentats, qualifiés de «tragédie nationale» par le gouvernement norvégien. Dans leur réaction aux attaques en Norvège, le Premier ministre canadien Stephen Harper s'est dit «horrifié» par des «actes de violence barbares et insensés» tandis que le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a assuré être «aux côtés du peuple norvégien dans ce moment difficile dans la lutte commune contre toute forme de terrorisme». Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussn, a condamné ces «actes de violence odieux». Il a adressé ses condoléances «au gouvernement norvégien, au peuple norvégien, aux familles et aux proches de tous ceux qui ont été les victimes de ces actes cruels et lâches». Plusieurs autres pays ont condamné d'une seule voix «le carnage» survenu en Norvège comme l'Autriche qui a dénoncé une «attaque sournoise» et proposé «aide et soutien» aux Norvégiens ou encore la Chine et la Roumanie qui ont, elles aussi, dénoncé ces actes et exprimé leur solidarité avec le gouvernement et le peuple norvégiens lors de «ce moment difficile». La police norvégienne a précisé que l'auteur de cette fusillade est un Norvégien «de souche», âgé de 32 ans, et présenté comme un «fondamentaliste chrétien» de droite. Les enquêteurs tiennent ce suspect responsable des deux attaques mais n'excluent pas de nouvelles arrestations.