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«Elever le niveau de vie des citoyens du monde»
Babès préoccupé par les problèmes de la société civile :
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 07 - 2011

A la tête de l'AICESIS, Babès s'efforcera de contribuer à instaurer la bonne gouvernance mondiale et l'amélioration des conditions de vie des populations les plus démunies à travers le monde.
A la tête de l'AICESIS, Babès s'efforcera de contribuer à instaurer la bonne gouvernance mondiale et l'amélioration des conditions de vie des populations les plus démunies à travers le monde.
Le plus important, pour lui, consiste à garantir le respect des droits de l‘Homme en vertu de la déclaration universelle des droits de l‘Homme et en conformité avec la Charte des Nations unies.
Le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babès, a indiqué à Alger que sa nouvelle mission à la tête de l‘Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS) est de répondre aux attentes de la société civile à la lumière des nouvelles mutations mondiales.
"Notre plan de travail durant cette mandature (2011-2013) va se décliner autour des préoccupations du moment et des attentes des sociétés civiles par rapport à la consécration du rôle de celles-ci, dans un cadre institutionnel approprié", a affirmé Babès dans une conférence de presse au lendemain de sa désignation comme président de l‘AICESIS.
L‘investiture de l‘Algérie à la présidence de l‘AICESIS, pour deux ans, a eu lieu vendredi à Rome, au siège du Conseil national de l‘économie et du travail italien (Cnel) .
Cette désignation est intervenue lors des travaux l‘Assemblée générale de l‘AICESIS tenue sous le thème "Le rôle des conseils économiques et sociaux dans la nouvelle gouvernance mondiale économique, sociale et environnementale", selon l‘lAPS.
Insistant sur le fait que la présidence de l‘AICESIS est "une responsabilité morale, politique et déontologique", Babès s‘est engagé à faire de son mieux pour s‘acquitter de sa mission et honorer l‘Algérie.
Evoquant le "passage en zones de turbulences" que connaît la scène mondiale, il a plaidé pour que la société civile "ait sa juste place dans l‘architecture de la décision mondiale et contribue, par conséquent, au développement".
Le président du Cnes a ajouté dans ce sens que les attentes de la société civile seront au menu du sommet mondial sur le développement durable (Rio+ 20) et qui va examiner les moyens de maintenir la croissance mondiale et comment faire en sorte que les points qui résultent de ce consensus ait des retombés positives sur la société mondiale.
Il s‘agira également de dégager lors de ce sommet les perspectives qui permettront de préserver et valoriser les actifs environnementaux et contribuer à l‘élévation du niveau de vie des citoyens du monde.
L‘AICESIS a été fondée en juillet 1999 à Port Louis (île Maurice). Dans sa composition initiale, l‘AICESIS comptait 24 membres effectifs et 3 membres associés. A l‘heure actuelle, elle regroupe des institutions de 56 pays de quatre continents : Afrique, Amérique Latine, Asie et Europe.
L‘AICESIS agit dans le respect de l‘indépendance de chacun de ses membres.
Parmi ses missions favoriser et promouvoir le dialogue et les échanges d‘expérience et de bonnes pratiques entre ses membres et, de façon plus large, encourager le dialogue entre partenaires économiques et sociaux dans le monde.
Dans l‘esprit de la déclaration universelle des droits de l‘Homme
Il s‘agit également d‘aider au développement de la fonction consultative, au renforcement du dialogue social et du dialogue civil et, plus généralement, de la démocratie participative et du rôle des partenaires sociaux et des autres composantes de la société civile dans le monde, en tant que facteurs essentiels d‘une véritable démocratisation durable et d‘une gouvernance efficace des sociétés modernes.
L‘association vise également à "encourager la création de conseils économiques et sociaux dans les Etats qui n‘en possèdent pas, par l‘organisation de rencontres, l‘activité de conseil et la popularisation de la valeur ajoutée de ces institutions consultatives" et à "organiser l‘expression de ses membres, les représenter auprès des organisations internationales telles que l‘Organisation internationale du travail (OIT) ou le Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), auprès desquelles elle bénéficie du statut d‘observateur permanent, et s‘exprimer dans ces enceintes".
Enfin, elle œuvre à "la prospérité et au développement économique des peuples, conformément aux principes des Nations unies et de la Déclaration universelle des droits de l‘Homme ainsi qu‘aux principes et droits fondamentaux du travail approuvés par l‘OIT". Répondant par ailleurs à une question sur les rencontres de concertation régionales avec la société civile, Babès dira qu‘elles auront lieu durant la période incluse entre les mois de juillet et novembre dans le cadre du suivi des états généraux de la société civile algérienne pour la consécration de la démocratie participative.
Le Cnes assumera le rôle d‘"animateur" au cours de ces rencontres et œuvrera à définir, pour ce faire, les méthodes de travail et les outils nécessaires pour atteindre ces objectifs, a indiqué le même responsable.
Il a souligné, à cet effet, que le citoyen doit être le premier bénéficiaire de ce dialogue et avoir son mot à dire, en le plaçant au cœur des préoccupations et en tant que partenaire dans les efforts de développement économique et social.
Babès a précisé que les propositions issues de ces rencontres seront présentées par le Cnes au président de la République avant la fin de l‘année en cours.
En Algérie, la construction de la démocratie doit être menée en commun entre l‘Etat et la société civile qui peut contribuer à bâtir la démocratie participative, primordiale pour une société hautement représentative et réellement démocratique.
Le plus important, pour lui, consiste à garantir le respect des droits de l‘Homme en vertu de la déclaration universelle des droits de l‘Homme et en conformité avec la Charte des Nations unies.
Le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babès, a indiqué à Alger que sa nouvelle mission à la tête de l‘Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS) est de répondre aux attentes de la société civile à la lumière des nouvelles mutations mondiales.
"Notre plan de travail durant cette mandature (2011-2013) va se décliner autour des préoccupations du moment et des attentes des sociétés civiles par rapport à la consécration du rôle de celles-ci, dans un cadre institutionnel approprié", a affirmé Babès dans une conférence de presse au lendemain de sa désignation comme président de l‘AICESIS.
L‘investiture de l‘Algérie à la présidence de l‘AICESIS, pour deux ans, a eu lieu vendredi à Rome, au siège du Conseil national de l‘économie et du travail italien (Cnel) .
Cette désignation est intervenue lors des travaux l‘Assemblée générale de l‘AICESIS tenue sous le thème "Le rôle des conseils économiques et sociaux dans la nouvelle gouvernance mondiale économique, sociale et environnementale", selon l‘lAPS.
Insistant sur le fait que la présidence de l‘AICESIS est "une responsabilité morale, politique et déontologique", Babès s‘est engagé à faire de son mieux pour s‘acquitter de sa mission et honorer l‘Algérie.
Evoquant le "passage en zones de turbulences" que connaît la scène mondiale, il a plaidé pour que la société civile "ait sa juste place dans l‘architecture de la décision mondiale et contribue, par conséquent, au développement".
Le président du Cnes a ajouté dans ce sens que les attentes de la société civile seront au menu du sommet mondial sur le développement durable (Rio+ 20) et qui va examiner les moyens de maintenir la croissance mondiale et comment faire en sorte que les points qui résultent de ce consensus ait des retombés positives sur la société mondiale.
Il s‘agira également de dégager lors de ce sommet les perspectives qui permettront de préserver et valoriser les actifs environnementaux et contribuer à l‘élévation du niveau de vie des citoyens du monde.
L‘AICESIS a été fondée en juillet 1999 à Port Louis (île Maurice). Dans sa composition initiale, l‘AICESIS comptait 24 membres effectifs et 3 membres associés. A l‘heure actuelle, elle regroupe des institutions de 56 pays de quatre continents : Afrique, Amérique Latine, Asie et Europe.
L‘AICESIS agit dans le respect de l‘indépendance de chacun de ses membres.
Parmi ses missions favoriser et promouvoir le dialogue et les échanges d‘expérience et de bonnes pratiques entre ses membres et, de façon plus large, encourager le dialogue entre partenaires économiques et sociaux dans le monde.
Dans l‘esprit de la déclaration universelle des droits de l‘Homme
Il s‘agit également d‘aider au développement de la fonction consultative, au renforcement du dialogue social et du dialogue civil et, plus généralement, de la démocratie participative et du rôle des partenaires sociaux et des autres composantes de la société civile dans le monde, en tant que facteurs essentiels d‘une véritable démocratisation durable et d‘une gouvernance efficace des sociétés modernes.
L‘association vise également à "encourager la création de conseils économiques et sociaux dans les Etats qui n‘en possèdent pas, par l‘organisation de rencontres, l‘activité de conseil et la popularisation de la valeur ajoutée de ces institutions consultatives" et à "organiser l‘expression de ses membres, les représenter auprès des organisations internationales telles que l‘Organisation internationale du travail (OIT) ou le Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), auprès desquelles elle bénéficie du statut d‘observateur permanent, et s‘exprimer dans ces enceintes".
Enfin, elle œuvre à "la prospérité et au développement économique des peuples, conformément aux principes des Nations unies et de la Déclaration universelle des droits de l‘Homme ainsi qu‘aux principes et droits fondamentaux du travail approuvés par l‘OIT". Répondant par ailleurs à une question sur les rencontres de concertation régionales avec la société civile, Babès dira qu‘elles auront lieu durant la période incluse entre les mois de juillet et novembre dans le cadre du suivi des états généraux de la société civile algérienne pour la consécration de la démocratie participative.
Le Cnes assumera le rôle d‘"animateur" au cours de ces rencontres et œuvrera à définir, pour ce faire, les méthodes de travail et les outils nécessaires pour atteindre ces objectifs, a indiqué le même responsable.
Il a souligné, à cet effet, que le citoyen doit être le premier bénéficiaire de ce dialogue et avoir son mot à dire, en le plaçant au cœur des préoccupations et en tant que partenaire dans les efforts de développement économique et social.
Babès a précisé que les propositions issues de ces rencontres seront présentées par le Cnes au président de la République avant la fin de l‘année en cours.
En Algérie, la construction de la démocratie doit être menée en commun entre l‘Etat et la société civile qui peut contribuer à bâtir la démocratie participative, primordiale pour une société hautement représentative et réellement démocratique.


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