La coopération algéro-britannique dans la lutte contre le terrorisme a été au centre d'entretiens lundi à Alger entre M. Kamel Rezag Bara, conseiller auprès du président de la République, et le général major Robin Searby, conseiller du Premier ministre britannique pour la lutte antiterroriste en Afrique du Nord et au Sahel, en visite de deux jours dans le pays. «Nous avons discuté de la 3e réunion du groupe de contact bilatéral algéro-britannique de coopération sur la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes, qui aura lieu à Alger à la fin du mois d'octobre prochain», a indiqué M. Bara à l'APS. Le conseiller du chef de l'Etat a précisé que ce groupe de contact était «un mécanisme informel de structuration du dialogue algéro-britannique sur les questions liées à la lutte contre le terrorisme et la sécurité». A ce propos, M. Bara, a affirmé avoir «procédé à l'évaluation de la situation dans la région avec une focalisation sur la sous-région du Sahel». Ceci a permis, a-t-il dit, de «donner des indications aux partenaires britanniques sur le contenu et les objectifs du programme de la conférence prévue les 7 et 8 septembre prochain à Alger sur le partenariat entre les pays du champ (Algérie, Mali, Mauritanie et Niger) et les partenaires extrarégionaux» dans les domaines de la sécurité et du développement. Par ailleurs, durant l'entretien avec le général major Searby «les risques induits par la crise libyenne sur la stabilité dans la sous-région, ont été évoqués, en insistant, a-t-on indiqué, «sur la nécessité d'une solution politique à cette crise». M. Bara a relevé, en outre, une «similitude de vues» entre l'Algérie et la Grande-Bretagne sur la question de la prohibition du paiement de rançon aux groupes terroristes, en rappelant la «nécessité de continuer à travailler ensemble au niveau des Nations unies pour élargir le consensus multilatéral sur cette question». Pour sa part, le général major Robin Searby a réaffirmé la «relation importante du Royaume-Uni avec l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité», selon les termes d'un communiqué de presse rendu public lundi par l'ambassade du Royaume-Uni à Alger, qui accorde à l'Algérie un «rôle pivot» dans la lutte antiterroriste. «Nous avons d'excellentes relations dans le domaine de la défense et de la lutte antiterroriste et nous souhaitons pouvoir les poursuivre (...) lors de la conférence d'Alger, prévue en septembre, sur le partenariat dans le Sahel, et le dialogue algéro-britannique sur la lutte antiterroriste prévu à Alger en octobre», a dit l'officier britannique, cité par la même source. Selon la représentation diplomatique britannique, il a aussi déclaré que les deux pays avaient en partage «une expérience commune jalonnée de collaboration dans la lutte contre le terrorisme», ainsi que des positions communes en la matière comme le non-paiement de rançon aux groupes terroristes. La coopération algéro-britannique dans la lutte contre le terrorisme a été au centre d'entretiens lundi à Alger entre M. Kamel Rezag Bara, conseiller auprès du président de la République, et le général major Robin Searby, conseiller du Premier ministre britannique pour la lutte antiterroriste en Afrique du Nord et au Sahel, en visite de deux jours dans le pays. «Nous avons discuté de la 3e réunion du groupe de contact bilatéral algéro-britannique de coopération sur la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes, qui aura lieu à Alger à la fin du mois d'octobre prochain», a indiqué M. Bara à l'APS. Le conseiller du chef de l'Etat a précisé que ce groupe de contact était «un mécanisme informel de structuration du dialogue algéro-britannique sur les questions liées à la lutte contre le terrorisme et la sécurité». A ce propos, M. Bara, a affirmé avoir «procédé à l'évaluation de la situation dans la région avec une focalisation sur la sous-région du Sahel». Ceci a permis, a-t-il dit, de «donner des indications aux partenaires britanniques sur le contenu et les objectifs du programme de la conférence prévue les 7 et 8 septembre prochain à Alger sur le partenariat entre les pays du champ (Algérie, Mali, Mauritanie et Niger) et les partenaires extrarégionaux» dans les domaines de la sécurité et du développement. Par ailleurs, durant l'entretien avec le général major Searby «les risques induits par la crise libyenne sur la stabilité dans la sous-région, ont été évoqués, en insistant, a-t-on indiqué, «sur la nécessité d'une solution politique à cette crise». M. Bara a relevé, en outre, une «similitude de vues» entre l'Algérie et la Grande-Bretagne sur la question de la prohibition du paiement de rançon aux groupes terroristes, en rappelant la «nécessité de continuer à travailler ensemble au niveau des Nations unies pour élargir le consensus multilatéral sur cette question». Pour sa part, le général major Robin Searby a réaffirmé la «relation importante du Royaume-Uni avec l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité», selon les termes d'un communiqué de presse rendu public lundi par l'ambassade du Royaume-Uni à Alger, qui accorde à l'Algérie un «rôle pivot» dans la lutte antiterroriste. «Nous avons d'excellentes relations dans le domaine de la défense et de la lutte antiterroriste et nous souhaitons pouvoir les poursuivre (...) lors de la conférence d'Alger, prévue en septembre, sur le partenariat dans le Sahel, et le dialogue algéro-britannique sur la lutte antiterroriste prévu à Alger en octobre», a dit l'officier britannique, cité par la même source. Selon la représentation diplomatique britannique, il a aussi déclaré que les deux pays avaient en partage «une expérience commune jalonnée de collaboration dans la lutte contre le terrorisme», ainsi que des positions communes en la matière comme le non-paiement de rançon aux groupes terroristes.