Le directeur de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) a estimé à 50.000 le nombre de spectateurs ayant assisté aux 10 soirées du Festival de la chanson arabe de Djemila (Sétif), clôturé jeudi à l'aube. Lakhdar Benturki a relevé que cette 7e édition a proposé un "riche programme de spectacles de haute facture", animé par de grandes stars arabes et algériennes. Il a également estimé que le festival de Djemila "constitue désormais un acquis supplémentaire pour la région, pour sa valorisation et son développement". Le directeur de l'ONCI a considéré que des "efforts doivent être déployés en permanence pour promouvoir ce genre de manifestations culturelles, touristiques et artistiques", avant de relever à ce propos le "soutien" accordé au Festival par le ministère de la Culture et les autorités de la wilaya. Il a également plaidé pour le "soutien de la presse à ce type de rendez-vous importants". Les soirées de cette édition ont été de niveaux disparates sur les plans artistique et de l'affluence du public, selon des observateurs qui soulignent que le concert de Khaled a été de loin le meilleur. Les spectacles du tunisien Saber Rebaï, de l'algérienne Fella Ababsa, des Libanais Carole Semaha, Melhem Barakat et Joseph Attieh, ainsi que celui de Abd El-Kord de l'école Alhane oua Chabab ont également été très appréciés. Kader "Japonais", Abdou Driassa, Cheba Yamina ont également pris part à cette édition qui a vu une participation remarquée d'artistes tunisiens et marocains. Selon un journaliste ayant couvert tout le festival, les organisateurs ont été "bien inspirés" en permettant à des artistes de la région de se produire sur le théâtre de l'antique Cuicul. D'autres journalistes ont appelé à éviter les participations répétées des mêmes artistes aux éditions successives du Festival pour donner leur chance à d'autres chanteurs nationaux et arabes de s'y produire. Les soirées artistiques de Cuicul ont attiré des milliers de spectateurs de Sétif mais aussi d'autres wilayas ainsi que des touristes étrangers présents dans la région et des émigrés en vacances. Elles ont été également l'occasion pour la promotion du patrimoine et de l'artisanat traditionnel des Hauts plateaux. La question des "nuisances" susceptibles d'être occasionnées aux ruines de Cuicul par la présence de tant de visiteurs à la fois a été également soulevée. Le directeur de la culture de la wilaya de Sétif, Driss Boudiba, a souligné à ce propos qu'une réflexion sur l'éventuelle organisation du festival en dehors du site archéologie est engagée, "même si à l'heure actuelle, aucun projet n'est encore arrêté dans ce sens". Quelques uns parmi les spectateurs abordés ont souligné une "progression du niveau artistique'' du Festival qui a réussi à attirer de nombreux jeunes et de familles, démontrant encore une fois "l'atmosphère de paix et de quiétude que vit l'Algérie". Le directeur de l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) a estimé à 50.000 le nombre de spectateurs ayant assisté aux 10 soirées du Festival de la chanson arabe de Djemila (Sétif), clôturé jeudi à l'aube. Lakhdar Benturki a relevé que cette 7e édition a proposé un "riche programme de spectacles de haute facture", animé par de grandes stars arabes et algériennes. Il a également estimé que le festival de Djemila "constitue désormais un acquis supplémentaire pour la région, pour sa valorisation et son développement". Le directeur de l'ONCI a considéré que des "efforts doivent être déployés en permanence pour promouvoir ce genre de manifestations culturelles, touristiques et artistiques", avant de relever à ce propos le "soutien" accordé au Festival par le ministère de la Culture et les autorités de la wilaya. Il a également plaidé pour le "soutien de la presse à ce type de rendez-vous importants". Les soirées de cette édition ont été de niveaux disparates sur les plans artistique et de l'affluence du public, selon des observateurs qui soulignent que le concert de Khaled a été de loin le meilleur. Les spectacles du tunisien Saber Rebaï, de l'algérienne Fella Ababsa, des Libanais Carole Semaha, Melhem Barakat et Joseph Attieh, ainsi que celui de Abd El-Kord de l'école Alhane oua Chabab ont également été très appréciés. Kader "Japonais", Abdou Driassa, Cheba Yamina ont également pris part à cette édition qui a vu une participation remarquée d'artistes tunisiens et marocains. Selon un journaliste ayant couvert tout le festival, les organisateurs ont été "bien inspirés" en permettant à des artistes de la région de se produire sur le théâtre de l'antique Cuicul. D'autres journalistes ont appelé à éviter les participations répétées des mêmes artistes aux éditions successives du Festival pour donner leur chance à d'autres chanteurs nationaux et arabes de s'y produire. Les soirées artistiques de Cuicul ont attiré des milliers de spectateurs de Sétif mais aussi d'autres wilayas ainsi que des touristes étrangers présents dans la région et des émigrés en vacances. Elles ont été également l'occasion pour la promotion du patrimoine et de l'artisanat traditionnel des Hauts plateaux. La question des "nuisances" susceptibles d'être occasionnées aux ruines de Cuicul par la présence de tant de visiteurs à la fois a été également soulevée. Le directeur de la culture de la wilaya de Sétif, Driss Boudiba, a souligné à ce propos qu'une réflexion sur l'éventuelle organisation du festival en dehors du site archéologie est engagée, "même si à l'heure actuelle, aucun projet n'est encore arrêté dans ce sens". Quelques uns parmi les spectateurs abordés ont souligné une "progression du niveau artistique'' du Festival qui a réussi à attirer de nombreux jeunes et de familles, démontrant encore une fois "l'atmosphère de paix et de quiétude que vit l'Algérie".
