Les marchés de gros de produits agroalimentaires d'El Harrach, ouvert récemment, et celui des Eucalyptus dédié aux fruits et légumes, ont été au menu de la visite, hier, du ministre du Commerce, Mustapha Benbada, à la veille du mois de Ramadhan. Le marché d'El Harrach, dont la première tranche est implanté sur une superficie de 11 820 m2, est spécialisé dans le commerce de gros de toutes sortes de denrées alimentaires, telles que le sucre, les semoules, les légumes secs mais aussi le lait, les produits laitiers et les boissons, produits localement ou importés, a-t-on constaté. La mise en service de cette infrastructure commerciale est intervenue à quelques jours du mois de Ramadhan où, d'habitude, la demande en produits d'épicerie et agricoles frais augmente de façon sensible, notamment durant les premiers jours du mois sacré. Le ministre a relevé l'importance de ces deux infrastructures dans l'approvisionnement de plusieurs wilayas de la région centre du pays, d'autant qu'elles contribuent à «la promotion de l'activité commerciale, l'approvisionnement régulier du marché, et la création d'emplois» dans leurs zones d'implantation. Réalisé par la wilaya d'Alger et la commune d'El Harrach, le marché de gros de produits agroalimentaires, financé en partie par les contributions des bénéficiaires, s'inscrit dans le cadre des projets de densification des infrastructures commerciales, initiés en 2005, afin d'enrayer «l'anarchie» et «le dysfonctionnement» que connaissait le secteur du commerce, a expliqué Benbada. Selon les données fournies par les responsables de ce projet, celui-ci a été conçu en vue d'intégrer les commerçants de gros qui exerçaient au niveau du marché informel de Gué de Constantine (Semmar). Il devrait promouvoir une activité commerciale «organisée et pratiquée dans des espaces connus et sécurisés». De tels espaces commerciaux sont appelés à «concentrer l'offre (en denrées alimentaires), ce qui est très important», a affirmé le ministre du commerce saluant «l'approche participative» adoptée par la wilaya d'Alger et la commune d'El Harrach en vue de la concrétisation de ce projet. «Le ministère est disposé à accompagner d'autres communes de la capitale, qui veulent réaliser des marchés similaires, et à contribuer aux montages financiers» de nouveaux projets, a encore indiqué Benbada qui a visité plusieurs carreaux au niveau du nouveau marché d'El Harrach composé de 112 locaux, mais qui sera doté de 102 locaux supplémentaires au titre d'un projet d'extension de l'infrastructure. Plusieurs commerçants au niveau de ce marché n'ont pas caché leur satisfaction de pouvoir, enfin, exercer dans un espace commercial doté de toutes les commodités, pour eux et pour la clientèle. «Je suis très satisfait des lieux. L'endroit est très spacieux. Ce qui est important aussi est la propreté des lieux», se félicite Ahmed, grossiste de denrées alimentaires, qui a géré pendant une dizaine d'années un commerce de gros au marché de Semmar. Les marchés de gros de produits agroalimentaires d'El Harrach, ouvert récemment, et celui des Eucalyptus dédié aux fruits et légumes, ont été au menu de la visite, hier, du ministre du Commerce, Mustapha Benbada, à la veille du mois de Ramadhan. Le marché d'El Harrach, dont la première tranche est implanté sur une superficie de 11 820 m2, est spécialisé dans le commerce de gros de toutes sortes de denrées alimentaires, telles que le sucre, les semoules, les légumes secs mais aussi le lait, les produits laitiers et les boissons, produits localement ou importés, a-t-on constaté. La mise en service de cette infrastructure commerciale est intervenue à quelques jours du mois de Ramadhan où, d'habitude, la demande en produits d'épicerie et agricoles frais augmente de façon sensible, notamment durant les premiers jours du mois sacré. Le ministre a relevé l'importance de ces deux infrastructures dans l'approvisionnement de plusieurs wilayas de la région centre du pays, d'autant qu'elles contribuent à «la promotion de l'activité commerciale, l'approvisionnement régulier du marché, et la création d'emplois» dans leurs zones d'implantation. Réalisé par la wilaya d'Alger et la commune d'El Harrach, le marché de gros de produits agroalimentaires, financé en partie par les contributions des bénéficiaires, s'inscrit dans le cadre des projets de densification des infrastructures commerciales, initiés en 2005, afin d'enrayer «l'anarchie» et «le dysfonctionnement» que connaissait le secteur du commerce, a expliqué Benbada. Selon les données fournies par les responsables de ce projet, celui-ci a été conçu en vue d'intégrer les commerçants de gros qui exerçaient au niveau du marché informel de Gué de Constantine (Semmar). Il devrait promouvoir une activité commerciale «organisée et pratiquée dans des espaces connus et sécurisés». De tels espaces commerciaux sont appelés à «concentrer l'offre (en denrées alimentaires), ce qui est très important», a affirmé le ministre du commerce saluant «l'approche participative» adoptée par la wilaya d'Alger et la commune d'El Harrach en vue de la concrétisation de ce projet. «Le ministère est disposé à accompagner d'autres communes de la capitale, qui veulent réaliser des marchés similaires, et à contribuer aux montages financiers» de nouveaux projets, a encore indiqué Benbada qui a visité plusieurs carreaux au niveau du nouveau marché d'El Harrach composé de 112 locaux, mais qui sera doté de 102 locaux supplémentaires au titre d'un projet d'extension de l'infrastructure. Plusieurs commerçants au niveau de ce marché n'ont pas caché leur satisfaction de pouvoir, enfin, exercer dans un espace commercial doté de toutes les commodités, pour eux et pour la clientèle. «Je suis très satisfait des lieux. L'endroit est très spacieux. Ce qui est important aussi est la propreté des lieux», se félicite Ahmed, grossiste de denrées alimentaires, qui a géré pendant une dizaine d'années un commerce de gros au marché de Semmar.