De plus en plus de particuliers et des associations de bienfaisance ouvrent les portes de leurs établissements aménagés en «restos du cœur» à l'occasion du mois sacré de Ramadhan. Le premier jour de jeûne, lundi, a vu plusieurs restaurants ouvrir leurs portes aux citoyens désireux de rompre le jeûne après une longue et ardue journée. A Alger, dans le centre principalement, plusieurs établissements accueillent ainsi du monde, à la rue Dr-Saâdane, ou à la rue Larbi-Ben-M'hidi où la commune d'Alger-Centre installe chaque année un restaurant où des centaines de plats sont servis chaque soir. Pour cette occasion, apprend-on, l'APC a débloqué un budget d'une valeur de 13 millions de dinars pour l'opération de distribution du couffin de Ramadhan. Pour sa part, l'APC de Sidi M'hamed a annoncé l'ouverture de 5 restaurants avec une capacité de 1.000 repas à servir quotidiennement. A la rue Mulhouse, un restaurant de la rahma ouvert par le Croissant-Rouge algérien, accueille également du monde en plus de la distribution de denrées aux plus démunis. L'entraide gagne du terrain avec cet élan de solidarité qui prend place chaque année à la même occasion. Une manière de permettre à tous de passer un Ramadhan où la société civile travaille au coude à coude. Il suffit d'une virée, en l'occurrence dans les quartiers populaires de la capitale, pour se rendre compte qu'un nombre considérable de locaux ont été aménagés pour servir des repas chauds aux jeûneurs. A l'approche de 20h, le soir, heure à laquelle la rupture du jeûne est prévue, un monde fou afflue vers ces «restos de la rahma» à tel point qu'il faut, souvent, se bousculer pour trouver une place. Dans la plupart de ces lieux, chose constatée notamment le premier jour de ce mois sacré, toutes les places sont combles dès 18h30. «A partir de 19h, nous affichons complet et toutes les places sont prises, mais vous pouvez patienter pour avoir une place après le premier service», a expliqué le gérant d'un resto de la rahma. Et ce dernier d'ajouter : «C'est une question de temps seulement ; les gens vont finir par prendre habitude une fois la première semaine passée.» A la rue Tanger, quartier populaire du Centre, les jeûneurs ont fait la queue à l'extérieur de cet établissement «rahma» jusqu'à 20h30 dans l'espoir de trouver une place et de bénéficier d'une «chorba» chaude. Ils sont nombreux à se rendre dans ces établissements qui reçoivent non seulement des personnes nécessiteuses mais aussi des personnes de passage et des voyageurs, dans plusieurs localités de l'Algérois. Il faut savoir que cet élan de solidarité n'est pas propre à la capitale mais qu'il existe aussi des établissements de même type ouverts sur l'ensemble du territoire national. De plus en plus de particuliers et des associations de bienfaisance ouvrent les portes de leurs établissements aménagés en «restos du cœur» à l'occasion du mois sacré de Ramadhan. Le premier jour de jeûne, lundi, a vu plusieurs restaurants ouvrir leurs portes aux citoyens désireux de rompre le jeûne après une longue et ardue journée. A Alger, dans le centre principalement, plusieurs établissements accueillent ainsi du monde, à la rue Dr-Saâdane, ou à la rue Larbi-Ben-M'hidi où la commune d'Alger-Centre installe chaque année un restaurant où des centaines de plats sont servis chaque soir. Pour cette occasion, apprend-on, l'APC a débloqué un budget d'une valeur de 13 millions de dinars pour l'opération de distribution du couffin de Ramadhan. Pour sa part, l'APC de Sidi M'hamed a annoncé l'ouverture de 5 restaurants avec une capacité de 1.000 repas à servir quotidiennement. A la rue Mulhouse, un restaurant de la rahma ouvert par le Croissant-Rouge algérien, accueille également du monde en plus de la distribution de denrées aux plus démunis. L'entraide gagne du terrain avec cet élan de solidarité qui prend place chaque année à la même occasion. Une manière de permettre à tous de passer un Ramadhan où la société civile travaille au coude à coude. Il suffit d'une virée, en l'occurrence dans les quartiers populaires de la capitale, pour se rendre compte qu'un nombre considérable de locaux ont été aménagés pour servir des repas chauds aux jeûneurs. A l'approche de 20h, le soir, heure à laquelle la rupture du jeûne est prévue, un monde fou afflue vers ces «restos de la rahma» à tel point qu'il faut, souvent, se bousculer pour trouver une place. Dans la plupart de ces lieux, chose constatée notamment le premier jour de ce mois sacré, toutes les places sont combles dès 18h30. «A partir de 19h, nous affichons complet et toutes les places sont prises, mais vous pouvez patienter pour avoir une place après le premier service», a expliqué le gérant d'un resto de la rahma. Et ce dernier d'ajouter : «C'est une question de temps seulement ; les gens vont finir par prendre habitude une fois la première semaine passée.» A la rue Tanger, quartier populaire du Centre, les jeûneurs ont fait la queue à l'extérieur de cet établissement «rahma» jusqu'à 20h30 dans l'espoir de trouver une place et de bénéficier d'une «chorba» chaude. Ils sont nombreux à se rendre dans ces établissements qui reçoivent non seulement des personnes nécessiteuses mais aussi des personnes de passage et des voyageurs, dans plusieurs localités de l'Algérois. Il faut savoir que cet élan de solidarité n'est pas propre à la capitale mais qu'il existe aussi des établissements de même type ouverts sur l'ensemble du territoire national.