De nouveaux heurts entre des partisans du président égyptien déchu, Hosni Moubarak, et ses opposants, ont éclaté, hier, devant l'Académie de police en banlieue du Caire, où vient de s'ouvrir le procès de l'ancien chef de l'Etat, accusé notamment de «meurtre de manifestants» et de «corruption», lors de la révolte populaire de janvier et février derniers. Selon des médias, des violences sporadiques ont lieu depuis le matin entre partisans et adversaires de Moubarak qui se sont de nouveau affrontés à coups de pierres au moment où l'audience était suspendue pour une pause. Ces affrontements ont éclaté peu après l'ouverture du procès du Président égyptien déchu, accusé de «corruption» et de «la mort de manifestants», lors du mouvement de contestation de son régime. Les deux fils de M. Moubarak, Alaâ et Gamal, et l'ancien ministre de l'Intérieur, Habib El-Adli, étaient, également, présents pour répondre des mêmes accusations. L'ancien chef de l'Etat égyptien, 83 ans, a été chassé du pouvoir le 11 février au terme de 18 jours d'une révolte populaire sans précédent. Ce mouvement avait fait près de 850 morts, selon un bilan donné par des médias. De nouveaux heurts entre des partisans du président égyptien déchu, Hosni Moubarak, et ses opposants, ont éclaté, hier, devant l'Académie de police en banlieue du Caire, où vient de s'ouvrir le procès de l'ancien chef de l'Etat, accusé notamment de «meurtre de manifestants» et de «corruption», lors de la révolte populaire de janvier et février derniers. Selon des médias, des violences sporadiques ont lieu depuis le matin entre partisans et adversaires de Moubarak qui se sont de nouveau affrontés à coups de pierres au moment où l'audience était suspendue pour une pause. Ces affrontements ont éclaté peu après l'ouverture du procès du Président égyptien déchu, accusé de «corruption» et de «la mort de manifestants», lors du mouvement de contestation de son régime. Les deux fils de M. Moubarak, Alaâ et Gamal, et l'ancien ministre de l'Intérieur, Habib El-Adli, étaient, également, présents pour répondre des mêmes accusations. L'ancien chef de l'Etat égyptien, 83 ans, a été chassé du pouvoir le 11 février au terme de 18 jours d'une révolte populaire sans précédent. Ce mouvement avait fait près de 850 morts, selon un bilan donné par des médias.