Des élections législatives anticipées au Maroc vont se tenir le 11 novembre ou à une date très proche de ce jour, a-t-on indiqué dimanche auprès des états majors des principaux partis politiques. Le principe de cette date a été retenu lors d'une longue réunion dans la nuit de samedi à dimanche entre les responsables d'une vingtaine de partis politiques (majorité et opposition) et le ministre de l'Intérieur, Taieb Cherkaoui, a-t-on précisé de mêmes sources. L'avancement de la date du scrutin, qui devait en principe se tenir l'automne 2012, est dû à l'adoption lors d'un référendum, le 1er juillet, d'une nouvelle Constitution. "La date du 11 novembre a été retenue mais ce scrutin pourrait être décalé de quelques jours, en raison de sa proximité avec la fête religieuse de l'Aid al-Adha (fête du sacrifice)", a indiqué Lahcen Daoudi, secrétaire général adjoint du parti islamiste Justice et Développement (PJD, principale formation d'opposition), cité par les médias. Deux autres partis, le parti du Progrès et du socialisme (PPS) et le Parti travailliste, ont confirmé que ces élections doivent se dérouler le 11 novembre, "comme convenu avec le ministre de l'Intérieur". Tout en convenant que la réunion avait objet de convenir d'une date pour ces élections, le ministère de l'Intérieur a cependant indiqué, dimanche après-midi, que le "rendez-vous du 11 novembre ne revêt pas encore un caractère officiel", ce qui nécessite la publication d'un décret. Des élections législatives anticipées au Maroc vont se tenir le 11 novembre ou à une date très proche de ce jour, a-t-on indiqué dimanche auprès des états majors des principaux partis politiques. Le principe de cette date a été retenu lors d'une longue réunion dans la nuit de samedi à dimanche entre les responsables d'une vingtaine de partis politiques (majorité et opposition) et le ministre de l'Intérieur, Taieb Cherkaoui, a-t-on précisé de mêmes sources. L'avancement de la date du scrutin, qui devait en principe se tenir l'automne 2012, est dû à l'adoption lors d'un référendum, le 1er juillet, d'une nouvelle Constitution. "La date du 11 novembre a été retenue mais ce scrutin pourrait être décalé de quelques jours, en raison de sa proximité avec la fête religieuse de l'Aid al-Adha (fête du sacrifice)", a indiqué Lahcen Daoudi, secrétaire général adjoint du parti islamiste Justice et Développement (PJD, principale formation d'opposition), cité par les médias. Deux autres partis, le parti du Progrès et du socialisme (PPS) et le Parti travailliste, ont confirmé que ces élections doivent se dérouler le 11 novembre, "comme convenu avec le ministre de l'Intérieur". Tout en convenant que la réunion avait objet de convenir d'une date pour ces élections, le ministère de l'Intérieur a cependant indiqué, dimanche après-midi, que le "rendez-vous du 11 novembre ne revêt pas encore un caractère officiel", ce qui nécessite la publication d'un décret.