Par petites touches, le métro se découvre aux Algérois. Après El Hamma, l'une des quatre stations à visiter au programme chaque jeudi, la station de la Grande-Poste s'est ouverte à son tour à de nombreux citoyens, venus admirer ce que sera dans quelques mois une de leurs stations pour prendre le métro. Par petites touches, le métro se découvre aux Algérois. Après El Hamma, l'une des quatre stations à visiter au programme chaque jeudi, la station de la Grande-Poste s'est ouverte à son tour à de nombreux citoyens, venus admirer ce que sera dans quelques mois une de leurs stations pour prendre le métro. Le fonctionnement du métro d'Alger est prévu sept jours sur sept de 5h du matin à 23h et il sera utilisé au maximum de ses capacités durant les heures de pointe et transportera jusqu'à 22.000 voyageurs par heure. D'une longueur initiale de 9,5 km, le métro d'Alger devra desservir dans une première phase 10 stations situées dans les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre. En attendant la circulation des rames, il faut réunir toutes les conditions requises pour l'exploitation du métro. Beaucoup de monde circulera dans les entrailles du métro, ce qui pose le problème de la sécurité des usagers. Toutes ces stations seront sécurisés à en croire le ministre des Transports Amar Tou. Un personnel qualifié assurera la quiétude des lieux. La sécurité du métro d'Alger sera assurée par 400 policiers et autant de vigiles, a-t-il indiqué jeudi soir à la presse en marge d'une visite à la station de métro de la Grande poste qui a ouvert ses portes au public le temps d'une soirée. « La sécurité du métro d'Alger sera assurée par 400 policiers et 400 agents de sécurité qui ont reçu des formations spécialisées », a-t-il expliqué. Un chiffre qui renseigne que le volet « sécurité » des usagers n'a pas été négligé. 400 policiers et 400 agents de sécurité pour veiller au confort des passagers, le métro d'Alger sera sans nul doute, un endroit des plus sûrs des infrastructures de transports en Algérie. Les habitants d'Alger du moins ceux de la partie est de la capitale n'ont plus que quelques semaines pour utiliser ce nouveau mode de transport qui a l'avantage de boucler le trajet long de 9,5 km en quelques minutes, loin des bouchons et des pertes de temps qui empoisonnent le quotidien des Algérois. Le processus de mise en marche du métro sera enclenché dès le début du mois prochain. C'est ce qu'a affirmé le ministre des Tansports lors de la visite à la station de la Grande-Poste. La marche à blanc (exploitation non commerciale) du métro d'Alger sera lancée le 8 septembre, alors que sa réception provisoire se fera à compter du 31 octobre prochain, a-t-il expliqué. Pour l'exploitation, Amar Tou indique que « la mise en service commerciale se fera dans les quelques jours qui suivent le 31 octobre ». Petite fleur pour les algérois. « Il se peut que le métro transporte gratuitement un nombre limité de citoyens entre le 31 octobre et la date de son inauguration officielle », a promis le ministre. Quant au prix du ticket, il n'est pas encore fixé. Un prix unique pour tout le trajet ou prix par zone, le ministre n'a pas soufflé mot se contentant de dire que « le prix du ticket de métro sera annoncé au cours de la première décade du mois de septembre. Il est devenu évident que le coup de stater pour le métro est une affaire de jours. Le temps de procéder aux dernières retouches comme l'installation du système de désenfumage (évacuation de la fumée en cas d'incendie) qui est en cours » selon lui. Le fonctionnement du métro d'Alger est prévu sept jours sur sept de 5h du matin à 23h et il sera utilisé au maximum de ses capacités durant les heures de pointe et transportera jusqu'à 22.000 voyageurs par heure. D'une longueur initiale de 9,5 km, le métro d'Alger devra desservir dans une première phase 10 stations situées dans les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre. En attendant la circulation des rames, il faut réunir toutes les conditions requises pour l'exploitation du métro. Beaucoup de monde circulera dans les entrailles du métro, ce qui pose le problème de la sécurité des usagers. Toutes ces stations seront sécurisés à en croire le ministre des Transports Amar Tou. Un personnel qualifié assurera la quiétude des lieux. La sécurité du métro d'Alger sera assurée par 400 policiers et autant de vigiles, a-t-il indiqué jeudi soir à la presse en marge d'une visite à la station de métro de la Grande poste qui a ouvert ses portes au public le temps d'une soirée. « La sécurité du métro d'Alger sera assurée par 400 policiers et 400 agents de sécurité qui ont reçu des formations spécialisées », a-t-il expliqué. Un chiffre qui renseigne que le volet « sécurité » des usagers n'a pas été négligé. 400 policiers et 400 agents de sécurité pour veiller au confort des passagers, le métro d'Alger sera sans nul doute, un endroit des plus sûrs des infrastructures de transports en Algérie. Les habitants d'Alger du moins ceux de la partie est de la capitale n'ont plus que quelques semaines pour utiliser ce nouveau mode de transport qui a l'avantage de boucler le trajet long de 9,5 km en quelques minutes, loin des bouchons et des pertes de temps qui empoisonnent le quotidien des Algérois. Le processus de mise en marche du métro sera enclenché dès le début du mois prochain. C'est ce qu'a affirmé le ministre des Tansports lors de la visite à la station de la Grande-Poste. La marche à blanc (exploitation non commerciale) du métro d'Alger sera lancée le 8 septembre, alors que sa réception provisoire se fera à compter du 31 octobre prochain, a-t-il expliqué. Pour l'exploitation, Amar Tou indique que « la mise en service commerciale se fera dans les quelques jours qui suivent le 31 octobre ». Petite fleur pour les algérois. « Il se peut que le métro transporte gratuitement un nombre limité de citoyens entre le 31 octobre et la date de son inauguration officielle », a promis le ministre. Quant au prix du ticket, il n'est pas encore fixé. Un prix unique pour tout le trajet ou prix par zone, le ministre n'a pas soufflé mot se contentant de dire que « le prix du ticket de métro sera annoncé au cours de la première décade du mois de septembre. Il est devenu évident que le coup de stater pour le métro est une affaire de jours. Le temps de procéder aux dernières retouches comme l'installation du système de désenfumage (évacuation de la fumée en cas d'incendie) qui est en cours » selon lui.