Le coup d'envoi de la 27e édition du festival du poète et moudjahid Sidi Lakhdar Benkhlouf a été donné samedi dans la commune de Sidi Lakhdar (Mostaganem). La cérémonie d'ouverture de cette manifestation, qui constitue un rendez-vous culturel et artistique traditionnel attirant un public nombreux de l'intérieur et de l'extérieur de la wilaya et qui a coïncidé avec la Journée nationale du moudjahid et le mois du Ramadhan, a été marquée par des exhibitions, à la place publique, des troupes participantes dont celles du centre culturel, des Scouts musulmans algériens et folkloriques, Gourara, Ouled Ali, Ahl Diwan, El Moustakbal et Aïssaoua. Des représentations en fantasia, une tradition ancestrale, ont été données sous les salves de baroud et des youyous. Le programme de cette manifestation de trois jours, organisée par le comité des fêtes de la commune, comprend des récitations collectives du saint Coran samedi au mausolée de Sidi Lakhdar Benkhelouf et des soirées poétiques avec des déclamations de poèmes et madihs de Sidi Lakhdar Benkhelouf. Deux conférences seront animées à cette occasion par des spécialistes sur les qualités et oeuvres de Sidi Lakhdar Benkhelouf. A la place municipale, des soirées chaabi seront animées par les chanteurs Zeguiche Sid Ahmed, Bouferma Houari, Messalti Abderrahmane et le groupe de Sidi Mohamed El Medjdoub, outre l'association Mazaghrania. Surnommé meddah du Prophète Mohamed (QSSSL), le poète et moudjahid Sidi Lakhdar Benkhelouf a consacré sa vie à l'écriture de poèmes sur le Prophète Mohamed (QSSSL) et à combattre l'occupation espagnole. Parmi ses poèmes sur les batailles auxquelles il avait participées figurent deux qacidate célèbres, celle intitulée Cherchell qui parle de son itinéraire de djihad entre Alger, Mostaganem et Mazaghran en passant par Blida et Mazaghran qui décrit la bataille historique qui eut lieu dans les environs de Mostaganem, le 22 août 1558, et au cours de laquelle les moudjahidine algériens avaient triomphé sur l'occupant espagnol. Ce deuxième poème est considéré comme une référence pour les historiens et chercheurs intéressés par cette époque de l'histoire du pays. Le coup d'envoi de la 27e édition du festival du poète et moudjahid Sidi Lakhdar Benkhlouf a été donné samedi dans la commune de Sidi Lakhdar (Mostaganem). La cérémonie d'ouverture de cette manifestation, qui constitue un rendez-vous culturel et artistique traditionnel attirant un public nombreux de l'intérieur et de l'extérieur de la wilaya et qui a coïncidé avec la Journée nationale du moudjahid et le mois du Ramadhan, a été marquée par des exhibitions, à la place publique, des troupes participantes dont celles du centre culturel, des Scouts musulmans algériens et folkloriques, Gourara, Ouled Ali, Ahl Diwan, El Moustakbal et Aïssaoua. Des représentations en fantasia, une tradition ancestrale, ont été données sous les salves de baroud et des youyous. Le programme de cette manifestation de trois jours, organisée par le comité des fêtes de la commune, comprend des récitations collectives du saint Coran samedi au mausolée de Sidi Lakhdar Benkhelouf et des soirées poétiques avec des déclamations de poèmes et madihs de Sidi Lakhdar Benkhelouf. Deux conférences seront animées à cette occasion par des spécialistes sur les qualités et oeuvres de Sidi Lakhdar Benkhelouf. A la place municipale, des soirées chaabi seront animées par les chanteurs Zeguiche Sid Ahmed, Bouferma Houari, Messalti Abderrahmane et le groupe de Sidi Mohamed El Medjdoub, outre l'association Mazaghrania. Surnommé meddah du Prophète Mohamed (QSSSL), le poète et moudjahid Sidi Lakhdar Benkhelouf a consacré sa vie à l'écriture de poèmes sur le Prophète Mohamed (QSSSL) et à combattre l'occupation espagnole. Parmi ses poèmes sur les batailles auxquelles il avait participées figurent deux qacidate célèbres, celle intitulée Cherchell qui parle de son itinéraire de djihad entre Alger, Mostaganem et Mazaghran en passant par Blida et Mazaghran qui décrit la bataille historique qui eut lieu dans les environs de Mostaganem, le 22 août 1558, et au cours de laquelle les moudjahidine algériens avaient triomphé sur l'occupant espagnol. Ce deuxième poème est considéré comme une référence pour les historiens et chercheurs intéressés par cette époque de l'histoire du pays.