Le Maroc reconnaît le CNT Le Maroc reconnaît le Conseil national de transition (CNT) en tant que seul représentant légitime du peuple libyen, rapporte mardi le portail d'informations marocain Maghreb Arabe Presse. «Le Royaume du Maroc confirme aujourd'hui sa reconnaissance du Conseil National de Transition en tant que représentant unique et légitime du peuple libyen et porteur de ses aspirations à un avenir meilleur», a annoncé le ministre marocain des Affaires étrangères, Taieb Fassi-Fihri, deux jours après le début de l'offensive rebelle sur Tripoli. Selon le chef de La diplomatie marocaine, le Royaume exprime sa solidarité avec le peuple libyen «dans cette période difficile» et se déclare prêt à lui apporter toute aide nécessaire à la construction d'un nouvel Etat démocratique en Libye. La Russie attend le transfert du pouvoir aux rebelles La Russie attend un transfert «imminent» du pouvoir aux rebelles en Libye après la prise de la capitale, Tripoli, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères. «Un tournant dramatique dans le conflit libyen témoigne de toute évidence d'un transfert imminent du pouvoir dans ce pays aux rebelles», indique un communiqué du ministère. «Nous espérons que cela mettra un terme au carnage entre Libyens, qui a apporté tant de souffrances au peuple libyen et a causé un grave préjudice à l'économie du pays», selon la même source. «Nous sommes convaincus qu'un processus politique (...) doit suivre immédiatement la fin des hostilités», ajoute le communiqué. La Russie a appelé la communauté internationale à «respecter sans faille les résolutions de l'ONU et s'abstenir de toute ingérence dans les affaires internes de la Libye"» Le Japon souhaite un nouveau processus politique Le Japon a souhaité mardi un «nouveau processus politique» en Libye, alors que les rebelles contrôlent plusieurs quartiers de la capitale libyenne Tripoli, a-t-on indiqué de source officielle. «Nous espérons voir un nouveau processus politique, avec le moins possible d'effusion de sang, l'élaboration de la Constitution, et l'organisation des élections démocratiques», a souligné lors d'une conférence de presse, le secrétaire général du gouvernement, Yukio Edano. Edano a, en outre, assuré que son pays fournira «l'aide nécessaire à la Libye, en coopération avec la communauté internationale». Le Japon avait gelé 4,4 milliards de dollars en application de la résolution 1970 de l'ONU, qui prévoit un embargo sur la vente d'armes à la Libye, l'interdiction du voyage et le gel des avoirs du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et des membres de sa famille. Madrid pour une succession rapide de Kadhafi Les ministres espagnols des Affaires étrangères Trinidad Jimenez et de la Défense Carme Chacon ont annoncé que leur pays demande «l'adoption le plus rapidement possible d'une nouvelle résolution» à l'ONU, qui entérine «l'ère post-Kadhafi». Madrid «appuie une réunion du groupe de contact sur la Libye avec la participation des nouvelles autorités libyennes pour connaître leurs priorités et leur projets immédiats», ont ajouté les deux ministres dans un communiqué. La future résolution de l'ONU doit tenir compte de la nouvelle situation en Libye, où les rebelles sont en train de l'emporter sur le régime du colonel Mouammar Kadhafi, «reconnaître les nouvelles autorités libyennes et confirmer le gel des avoirs d'anciens responsables» du régime Kadhafi, selon le communiqué. Djakarta pour un «processus politique» L'Indonésie a souligné que la situation en Libye ne peut être résolue que par «un processus politique» qui fournit des opportunités pour les Libyens de décider de leur avenir, a-t-on indiqué de source officielle. «Le gouvernement indonésien observe de près le développement du conflit en Libye», où les rebelles contrôlent une grande partie de la capitale Tripoli, a affirmé dans un communiqué le ministre des Affaires étrangères Marty Natalegawa. Le ministre a souligné que «la situation en Libye ne peut être résolue que par le processus politique qui fournit des opportunités pour les Libyens de décider de leur futur par eux-mêmes». Il a appelé à ce propos «la communauté internationale, notamment les Nations unies, à jouer un rôle plus actif afin de créer une situation positive au sein de ce processus politique». Le Maroc reconnaît le CNT Le Maroc reconnaît le Conseil national de transition (CNT) en tant que seul représentant légitime du peuple libyen, rapporte mardi le portail d'informations marocain Maghreb Arabe Presse. «Le Royaume du Maroc confirme aujourd'hui sa reconnaissance du Conseil National de Transition en tant que représentant unique et légitime du peuple libyen et porteur de ses aspirations à un avenir meilleur», a annoncé le ministre marocain des Affaires étrangères, Taieb Fassi-Fihri, deux jours après le début de l'offensive rebelle sur Tripoli. Selon le chef de La diplomatie marocaine, le Royaume exprime sa solidarité avec le peuple libyen «dans cette période difficile» et se déclare prêt à lui apporter toute aide nécessaire à la construction d'un nouvel Etat démocratique en Libye. La Russie attend le transfert du pouvoir aux rebelles La Russie attend un transfert «imminent» du pouvoir aux rebelles en Libye après la prise de la capitale, Tripoli, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères. «Un tournant dramatique dans le conflit libyen témoigne de toute évidence d'un transfert imminent du pouvoir dans ce pays aux rebelles», indique un communiqué du ministère. «Nous espérons que cela mettra un terme au carnage entre Libyens, qui a apporté tant de souffrances au peuple libyen et a causé un grave préjudice à l'économie du pays», selon la même source. «Nous sommes convaincus qu'un processus politique (...) doit suivre immédiatement la fin des hostilités», ajoute le communiqué. La Russie a appelé la communauté internationale à «respecter sans faille les résolutions de l'ONU et s'abstenir de toute ingérence dans les affaires internes de la Libye"» Le Japon souhaite un nouveau processus politique Le Japon a souhaité mardi un «nouveau processus politique» en Libye, alors que les rebelles contrôlent plusieurs quartiers de la capitale libyenne Tripoli, a-t-on indiqué de source officielle. «Nous espérons voir un nouveau processus politique, avec le moins possible d'effusion de sang, l'élaboration de la Constitution, et l'organisation des élections démocratiques», a souligné lors d'une conférence de presse, le secrétaire général du gouvernement, Yukio Edano. Edano a, en outre, assuré que son pays fournira «l'aide nécessaire à la Libye, en coopération avec la communauté internationale». Le Japon avait gelé 4,4 milliards de dollars en application de la résolution 1970 de l'ONU, qui prévoit un embargo sur la vente d'armes à la Libye, l'interdiction du voyage et le gel des avoirs du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et des membres de sa famille. Madrid pour une succession rapide de Kadhafi Les ministres espagnols des Affaires étrangères Trinidad Jimenez et de la Défense Carme Chacon ont annoncé que leur pays demande «l'adoption le plus rapidement possible d'une nouvelle résolution» à l'ONU, qui entérine «l'ère post-Kadhafi». Madrid «appuie une réunion du groupe de contact sur la Libye avec la participation des nouvelles autorités libyennes pour connaître leurs priorités et leur projets immédiats», ont ajouté les deux ministres dans un communiqué. La future résolution de l'ONU doit tenir compte de la nouvelle situation en Libye, où les rebelles sont en train de l'emporter sur le régime du colonel Mouammar Kadhafi, «reconnaître les nouvelles autorités libyennes et confirmer le gel des avoirs d'anciens responsables» du régime Kadhafi, selon le communiqué. Djakarta pour un «processus politique» L'Indonésie a souligné que la situation en Libye ne peut être résolue que par «un processus politique» qui fournit des opportunités pour les Libyens de décider de leur avenir, a-t-on indiqué de source officielle. «Le gouvernement indonésien observe de près le développement du conflit en Libye», où les rebelles contrôlent une grande partie de la capitale Tripoli, a affirmé dans un communiqué le ministre des Affaires étrangères Marty Natalegawa. Le ministre a souligné que «la situation en Libye ne peut être résolue que par le processus politique qui fournit des opportunités pour les Libyens de décider de leur futur par eux-mêmes». Il a appelé à ce propos «la communauté internationale, notamment les Nations unies, à jouer un rôle plus actif afin de créer une situation positive au sein de ce processus politique».