Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Rachid Harraoubia, a réaffirmé, mardi à Alger, que toutes les revendications pédagogiques de la communauté universitaire «ont été prises en charge», insistant sur le traitement «objectif et rationnel» d'éventuels problèmes dans ce cadre. Invité d'une émission de télévision, M. Harraoubia a indiqué que «toutes les revendications pédagogiques de la communauté universitaire ont été prises en charge et satisfaites», que ce soit lors de la conférence nationale ou par le biais des comités installés à l'effet d'étudier les différentes préoccupations exprimées. Il a rappelé que les perturbations que certaines universités algériennes ont connues dernièrement ne «s'étaient pas limitées seulement aux revendications pédagogiques», soulignant que les rumeurs qui s'étaient propagées alors en milieu estudiantin sur, notamment, la suppression de certains diplômes étaient à l'origine de ces protestations, qualifiant ce fait d'«insensé». Le ministre a appelé, dans ce cadre, à «plus de conscience à tous les niveaux afin que ces rumeurs n'influencent pas les étudiants», affirmant la nécessité, pour la communauté universitaire, d'«être rationnelle et objective» dans le traitement de tout problème pouvant se poser à ce niveau. S'agissant de la prochaine rentrée universitaire, M. Harraoubia a espéré qu'elle sera «calme», le secteur, a-t-il dit, ayant déployé tous les efforts possibles pour que les choses se déroulent normalement. «Nous œuvrons à hisser les universités algériennes au rang des universités mondiales ce qui requiert des critères précis», a déclaré le ministre en réponse à une question sur le classement des universités algériennes au niveau mondial. Ces critères, a-t-il ajouté, différent d'un classement à un autre. Les critères du classement «Shanghai», a-t-il dit à titre d'exemple, «ne prennent pas en considération les efforts déployés au niveau de l'université, tel le nombre de recherches ou de publications scientifiques qui paraissent dans les revues internationales spécialisées». Le ministre a estimé que la position de l'université de Constantine dans le dernier classement mondial (2.192e position) était «honorable» ayant dépassé des universités françaises, japonaises, américaines et chinoises connues. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Rachid Harraoubia, a réaffirmé, mardi à Alger, que toutes les revendications pédagogiques de la communauté universitaire «ont été prises en charge», insistant sur le traitement «objectif et rationnel» d'éventuels problèmes dans ce cadre. Invité d'une émission de télévision, M. Harraoubia a indiqué que «toutes les revendications pédagogiques de la communauté universitaire ont été prises en charge et satisfaites», que ce soit lors de la conférence nationale ou par le biais des comités installés à l'effet d'étudier les différentes préoccupations exprimées. Il a rappelé que les perturbations que certaines universités algériennes ont connues dernièrement ne «s'étaient pas limitées seulement aux revendications pédagogiques», soulignant que les rumeurs qui s'étaient propagées alors en milieu estudiantin sur, notamment, la suppression de certains diplômes étaient à l'origine de ces protestations, qualifiant ce fait d'«insensé». Le ministre a appelé, dans ce cadre, à «plus de conscience à tous les niveaux afin que ces rumeurs n'influencent pas les étudiants», affirmant la nécessité, pour la communauté universitaire, d'«être rationnelle et objective» dans le traitement de tout problème pouvant se poser à ce niveau. S'agissant de la prochaine rentrée universitaire, M. Harraoubia a espéré qu'elle sera «calme», le secteur, a-t-il dit, ayant déployé tous les efforts possibles pour que les choses se déroulent normalement. «Nous œuvrons à hisser les universités algériennes au rang des universités mondiales ce qui requiert des critères précis», a déclaré le ministre en réponse à une question sur le classement des universités algériennes au niveau mondial. Ces critères, a-t-il ajouté, différent d'un classement à un autre. Les critères du classement «Shanghai», a-t-il dit à titre d'exemple, «ne prennent pas en considération les efforts déployés au niveau de l'université, tel le nombre de recherches ou de publications scientifiques qui paraissent dans les revues internationales spécialisées». Le ministre a estimé que la position de l'université de Constantine dans le dernier classement mondial (2.192e position) était «honorable» ayant dépassé des universités françaises, japonaises, américaines et chinoises connues.