L'Académie militaire interarmes de Cherchell a été le théâtre d'un attentat terroriste, vendredi dernier, au moment de la rupture du jeûne. 2 attentats kamikazes à quelques minutes d'intervalle ont provoqué la mort de 16 officiers et de deux civils ainsi que 20 autres blessés, dont 6 sont toujours maintenus sous contrôle médical, et parmi eux 1 dans un état très grave, selon un communiqué du ministère de la Défense nationale. L'Académie militaire interarmes de Cherchell a été le théâtre d'un attentat terroriste, vendredi dernier, au moment de la rupture du jeûne. 2 attentats kamikazes à quelques minutes d'intervalle ont provoqué la mort de 16 officiers et de deux civils ainsi que 20 autres blessés, dont 6 sont toujours maintenus sous contrôle médical, et parmi eux 1 dans un état très grave, selon un communiqué du ministère de la Défense nationale. «Ce crime terroriste ayant ciblé le mess extérieur de l'Académie démontre une nouvelle fois que les groupuscules terroristes tentent à travers cet acte abject d'atteindre des objectifs médiatiques afin de desserrer l'étau qui leur est imposé sur le terrain par les forces combinées de sécurité qui ont réalisé des résultats remarquables, notamment durant les dernières semaines», lit-on dans le communiqué du MDN. En effet, les forces combinées de sécurité se sont nettement redéployées ces derniers mois, notamment dans le Centre du pays, qui a connu une recrudescence des attentats terroristes, dont la cadence a augmenté d'un cran en ce mois de Ramadhan. Le dernier attentat en date, celui de l'AMIA de Cherchell en l'occurrence, va renforcer la vigilance des forces de sécurité et leur déploiement sur le terrain afin de combattre les hordes terroristes. D'ailleurs, «le Haut Commandement de l'Armée nationale populaire, tout en s'inclinant à la mémoire des chouhada ayant péri dans cet acte ignoble, réitère sa détermination à mettre hors d'état de nuire ces bandes criminelles et assurer la paix et la quiétude dans l'ensemble du pays», lit-on encore dans le communiqué du MDN. Néanmoins, à mettre en rétrospective les principaux événements en cette année, force est de constater une recrudescence alarmante des attentats kamikazes, notamment dans le Centre du pays. A commencer par le double attentat kamikaze perpétré, le 16 juillet dernier, contre le siège de la sûreté urbaine de Bordj Ménaïel (Boumerdès), jusqu'à l'assassinat de trois jeunes à la localité de Mechtras et d'un autre à Béni Aïssi dans la wilaya de Tizi-Ouzou, en passant par l'attentat perpétré contre le commissariat de police de la ville de Tizi-Ouzou, le 14 août dernier. Autant de violence terroriste qui renseigne sur la force de nuisance de ces groupes criminels en dépit des efforts colossaux entrepris sur le terrain par les forces de sécurité. Néanmoins, la vigilance est de rigueur face à un regain de violence subit des groupuscules terroristes, revigorés par les armes et moyens humains déployés par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) acquis en terre libyenne suite à la grande confusion héritée par le conflit entre les forces loyales de Kadhafi et les rebelles épaulés par l'Otan et l'Occident. Une situation, donc, qui a grandement profité aux hordes terroristes, autrefois acculées, de se refaire une santé et se permettre des actes terroristes de grande envergure comme celui de l'AMIA de Cherchell. «Ce crime terroriste ayant ciblé le mess extérieur de l'Académie démontre une nouvelle fois que les groupuscules terroristes tentent à travers cet acte abject d'atteindre des objectifs médiatiques afin de desserrer l'étau qui leur est imposé sur le terrain par les forces combinées de sécurité qui ont réalisé des résultats remarquables, notamment durant les dernières semaines», lit-on dans le communiqué du MDN. En effet, les forces combinées de sécurité se sont nettement redéployées ces derniers mois, notamment dans le Centre du pays, qui a connu une recrudescence des attentats terroristes, dont la cadence a augmenté d'un cran en ce mois de Ramadhan. Le dernier attentat en date, celui de l'AMIA de Cherchell en l'occurrence, va renforcer la vigilance des forces de sécurité et leur déploiement sur le terrain afin de combattre les hordes terroristes. D'ailleurs, «le Haut Commandement de l'Armée nationale populaire, tout en s'inclinant à la mémoire des chouhada ayant péri dans cet acte ignoble, réitère sa détermination à mettre hors d'état de nuire ces bandes criminelles et assurer la paix et la quiétude dans l'ensemble du pays», lit-on encore dans le communiqué du MDN. Néanmoins, à mettre en rétrospective les principaux événements en cette année, force est de constater une recrudescence alarmante des attentats kamikazes, notamment dans le Centre du pays. A commencer par le double attentat kamikaze perpétré, le 16 juillet dernier, contre le siège de la sûreté urbaine de Bordj Ménaïel (Boumerdès), jusqu'à l'assassinat de trois jeunes à la localité de Mechtras et d'un autre à Béni Aïssi dans la wilaya de Tizi-Ouzou, en passant par l'attentat perpétré contre le commissariat de police de la ville de Tizi-Ouzou, le 14 août dernier. Autant de violence terroriste qui renseigne sur la force de nuisance de ces groupes criminels en dépit des efforts colossaux entrepris sur le terrain par les forces de sécurité. Néanmoins, la vigilance est de rigueur face à un regain de violence subit des groupuscules terroristes, revigorés par les armes et moyens humains déployés par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) acquis en terre libyenne suite à la grande confusion héritée par le conflit entre les forces loyales de Kadhafi et les rebelles épaulés par l'Otan et l'Occident. Une situation, donc, qui a grandement profité aux hordes terroristes, autrefois acculées, de se refaire une santé et se permettre des actes terroristes de grande envergure comme celui de l'AMIA de Cherchell.