Rien ne sera plus comme avant s'agissant de la participation de la femme dans la vie politique nationale. En effet, l'adoption avant-hier par le Conseil des ministres d'un projet de loi organique fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes au sein des assemblées élues, est on ne peut plus révélateur de cette tendance lourde qui voudrait que la femme occupe de plus en plus d'espace dans la vie politique nationale. Désormais, c'est chose faite puisque la présence de la femme dans les listes électorales sera de l'ordre de 33%, soit le 1/3 des candidats à toute élection. Ce projet découle de l'article 31 bis de la Constitution enjoignant à l'Etat de promouvoir la place des femmes dans les assemblées élues. Ce projet de loi, qui a longtemps suscité débat et moult polémiques entre les acteurs de la scène politique nationale, d'autant qu'il est question de quota en faveur des femmes. Beaucoup de leaders de partis politique se sont, en effet, prononcés contre la politique des quotas. Il en est ainsi du secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, mais aussi et - aussi paradoxal que cela puisse être - par la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, également. Ce projet, qui découle de l'article 31 bis de la Constitution enjoignant à l'Etat de promouvoir la place des femmes dans les assemblées élues, dispose ainsi que toute liste de candidats aux élections législatives, aux élections à l'assemblée populaire de wilaya, et aux élections aux assemblées populaires communales, des communes de plus de 20.000 habitants, doit comporter une proportion de candidates qui ne saurait être inférieure à son tiers. Il est fait, désormais, obligation aux partis politiques et aux listes indépendantes de souscrire à cette disposition sous peine de sanctions, car le non-respect de cette disposition entraînera le rejet de la liste concernée. Il est aussi dit que qu'à l'issue du dépouillement du scrutin, les sièges seront répartis en fonction du nombre de voix obtenues par chaque liste, le tiers des sièges étant réservé aux candidates, selon leur classement nominatif sur la liste concernée. Dans le cas où une liste obtient deux sièges seulement, ces derniers seront répartis entre les deux sexes, selon le classement nominatif des candidats. De plus, dans les cas prévus par la législation relative aux élections, à la commune et à la wilaya, tout remplacement d'un élu qui n'achèverait pas son mandat, se fera par un candidat du même sexe de la liste présentée lors du scrutin concerné. Dans sa volonté clairement exprimée de promouvoir le rôle de la femme, l'Etat envisage, comme il est dit dans ce projet de loi, d'encourager les partis politiques à promouvoir davantage la place des femmes au sein des assemblées élues, par le moyen d'une aide financière spécifique, au prorata de leurs candidates élues aux différentes assemblées. Rien ne sera plus comme avant s'agissant de la participation de la femme dans la vie politique nationale. En effet, l'adoption avant-hier par le Conseil des ministres d'un projet de loi organique fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes au sein des assemblées élues, est on ne peut plus révélateur de cette tendance lourde qui voudrait que la femme occupe de plus en plus d'espace dans la vie politique nationale. Désormais, c'est chose faite puisque la présence de la femme dans les listes électorales sera de l'ordre de 33%, soit le 1/3 des candidats à toute élection. Ce projet découle de l'article 31 bis de la Constitution enjoignant à l'Etat de promouvoir la place des femmes dans les assemblées élues. Ce projet de loi, qui a longtemps suscité débat et moult polémiques entre les acteurs de la scène politique nationale, d'autant qu'il est question de quota en faveur des femmes. Beaucoup de leaders de partis politique se sont, en effet, prononcés contre la politique des quotas. Il en est ainsi du secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, mais aussi et - aussi paradoxal que cela puisse être - par la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, également. Ce projet, qui découle de l'article 31 bis de la Constitution enjoignant à l'Etat de promouvoir la place des femmes dans les assemblées élues, dispose ainsi que toute liste de candidats aux élections législatives, aux élections à l'assemblée populaire de wilaya, et aux élections aux assemblées populaires communales, des communes de plus de 20.000 habitants, doit comporter une proportion de candidates qui ne saurait être inférieure à son tiers. Il est fait, désormais, obligation aux partis politiques et aux listes indépendantes de souscrire à cette disposition sous peine de sanctions, car le non-respect de cette disposition entraînera le rejet de la liste concernée. Il est aussi dit que qu'à l'issue du dépouillement du scrutin, les sièges seront répartis en fonction du nombre de voix obtenues par chaque liste, le tiers des sièges étant réservé aux candidates, selon leur classement nominatif sur la liste concernée. Dans le cas où une liste obtient deux sièges seulement, ces derniers seront répartis entre les deux sexes, selon le classement nominatif des candidats. De plus, dans les cas prévus par la législation relative aux élections, à la commune et à la wilaya, tout remplacement d'un élu qui n'achèverait pas son mandat, se fera par un candidat du même sexe de la liste présentée lors du scrutin concerné. Dans sa volonté clairement exprimée de promouvoir le rôle de la femme, l'Etat envisage, comme il est dit dans ce projet de loi, d'encourager les partis politiques à promouvoir davantage la place des femmes au sein des assemblées élues, par le moyen d'une aide financière spécifique, au prorata de leurs candidates élues aux différentes assemblées.