Dès la mise en service d'un centre de désintoxication en réalisation au sein du Centre hospitalo-universitaire de Tizi-Ouzou, à partir de 2012, des cures de désintoxication seront dispensées au profit de toxicomanes, a annoncé son directeur général. Dès la mise en service d'un centre de désintoxication en réalisation au sein du Centre hospitalo-universitaire de Tizi-Ouzou, à partir de 2012, des cures de désintoxication seront dispensées au profit de toxicomanes, a annoncé son directeur général. D'un coût estimé à 110 millions DA (après réévaluation pour des travaux supplémentaires), ce centre, d'une capacité de 40 lits, est inclus dans un programme national de réalisation de 13 unités similaires, initié par le ministère de tutelle dans le cadre de la prévention et de la lutte contre les fléaux sociaux (drogues et alcools), a déclaré à l'APS le Pr Ziri Abbès. Il est destiné à la prise en charge "des toxicomanes, dépendants de ces substances, à travers des cures de sevrage et autres traitements appropriés", a ajouté le même responsable. A sa concrétisation, ce centre rendra, selon ce responsable, "d'énormes services aux toxicomanes, contraints jusque-là, faute de structures adéquates, de recourir à une prise en charge conventionnelle" au niveau de l'hôpital psychiatrique de Oued-Aissi où de l'hôpital Frantz-Fanon de Blida, considéré comme le seul centre de référence en la matière, dont dispose toute la région centre du pays, rappelle la même source, en faisant remarquer que "les toxicomanes manifestent souvent des réticences quant à leur prise en charge au niveau des hôpitaux psychiatriques, pour cause de préjugés liés à ces lieux ". Pour l'accomplissement de sa mission de lutte contre la toxicomanie, ce centre sera doté d'un ensemble de structures pour lui permettre d'effectuer notamment les tâches de sevrage des malades (toxicomanes), de traitement médical, de consultation et d'exploration, de services de psychologie et d'ergothérapie pour aider à une meilleure insertion du malade, et autres structures d'accompagnement, dont des "appartements techniques" pour l'accueil des familles des toxicomanes. L'encadrement sera assuré par une équipe pluridisciplinaire composée notamment de psychiatres, de psychologues, neurologues et autres infirmiers spécialisés, a précisé l'APS. En complément des activités de ce centre de désintoxication, la wilaya de Tizi Ouzou a bénéficié, également, d'un centre intermédiaire de soins pour toxicomanes (CIST), "qui aura pour tâche d'assurer le contrôle et le suivi médical des malades traités dans le premier centre, en plus des activités liées à la prévention articulée sur le dépistage précoce", signale la DSP à l'APS. D'un coût estimé à 110 millions DA (après réévaluation pour des travaux supplémentaires), ce centre, d'une capacité de 40 lits, est inclus dans un programme national de réalisation de 13 unités similaires, initié par le ministère de tutelle dans le cadre de la prévention et de la lutte contre les fléaux sociaux (drogues et alcools), a déclaré à l'APS le Pr Ziri Abbès. Il est destiné à la prise en charge "des toxicomanes, dépendants de ces substances, à travers des cures de sevrage et autres traitements appropriés", a ajouté le même responsable. A sa concrétisation, ce centre rendra, selon ce responsable, "d'énormes services aux toxicomanes, contraints jusque-là, faute de structures adéquates, de recourir à une prise en charge conventionnelle" au niveau de l'hôpital psychiatrique de Oued-Aissi où de l'hôpital Frantz-Fanon de Blida, considéré comme le seul centre de référence en la matière, dont dispose toute la région centre du pays, rappelle la même source, en faisant remarquer que "les toxicomanes manifestent souvent des réticences quant à leur prise en charge au niveau des hôpitaux psychiatriques, pour cause de préjugés liés à ces lieux ". Pour l'accomplissement de sa mission de lutte contre la toxicomanie, ce centre sera doté d'un ensemble de structures pour lui permettre d'effectuer notamment les tâches de sevrage des malades (toxicomanes), de traitement médical, de consultation et d'exploration, de services de psychologie et d'ergothérapie pour aider à une meilleure insertion du malade, et autres structures d'accompagnement, dont des "appartements techniques" pour l'accueil des familles des toxicomanes. L'encadrement sera assuré par une équipe pluridisciplinaire composée notamment de psychiatres, de psychologues, neurologues et autres infirmiers spécialisés, a précisé l'APS. En complément des activités de ce centre de désintoxication, la wilaya de Tizi Ouzou a bénéficié, également, d'un centre intermédiaire de soins pour toxicomanes (CIST), "qui aura pour tâche d'assurer le contrôle et le suivi médical des malades traités dans le premier centre, en plus des activités liées à la prévention articulée sur le dépistage précoce", signale la DSP à l'APS.