Un documentaire consacré aux derniers jours de l'écrivain Tahar Ouettar a été présenté récemment à Médéa par son auteur, le journaliste Mohamed Zaoui. Un documentaire consacré aux derniers jours de l'écrivain Tahar Ouettar a été présenté récemment à Médéa par son auteur, le journaliste Mohamed Zaoui. Le documentaire est une rétrospective sur la vie de l'auteur de "Al-Laz"(L'As), "Al-Zilzal", "Le pêcheur et le palais", "Noces de mulet", "Le fugitif" et "Les martyrs reviennent cette semaine", décédé le 12 août 2010 à Paris (France) à l'âge de 74 ans, racontée par Tahar Ouettar. Ce film est agrémenté de commentaires de grandes figures de la littérature comme Djamel Guitani, Wassini Laaredj, Nacer Djabi, Mohamed Tine, Ahmed Cheniki et Francis Combe. Pour le journaliste Mohamed Zaoui, établi depuis plusieurs années en région parisienne, ce travail "met en exergue la dimension humaine de cet écrivain prolixe et polémiste à la fois, qui a tant contribué à faire connaître la littérature algérienne au plan régional qu'international". "Les dernières paroles", titre choisi par l'auteur à son documentaire se veut, a-t-il indiqué, "un hommage à la longue et brillante carrière de l'écrivain, mais également une úuvre de + réconciliation + entre les intellectuels algériens, toutes tendances et opinions confondues, à travers cette immersion de 120 minutes dans la vie de l'enfant prodige des Aurès, qui dévoile, pour la première fois, le côté caché d'une personnalité +à fort caractère+, + sensible+ à ce qui l'entoure, trop attachée à la culture Chaouie, dont il aimait écouter et fredonner les anciennes chansons du terroir qui ont bercé son enfance, et ce, jusqu'au dernier jour de sa vie,"a-t-il affirmé. "Les dernières paroles", comme l'explique son auteur, est un travail journalistique de "l'urgence" qui intervient, la plupart du temps, à un moment crucial de la vie d'un intellectuel "en fin de parcours" ou "dans la détresse", citant, dans ce contexte, les travaux réalisés, dans des conditions presque similaires, sur la vie et le parcours de Nadia Guendouz ou Beggar Hadda, en guise d'hommage et de reconnaissance envers ces personnages qui ont beaucoup donné à la culture algérienne. Pendant les dix jours passés chez son hôte, l'écrivain va "se dévoiler" face à la caméra et raconter ses souvenirs d'enfance, son village natal, Sedrata, ses débuts dans la littérature et plein d'autres faits marquants ayant émaillé sa vie et sa carrière d'écrivain, sans jamais renier ses convictions et sa vision du monde, telles que traduites dans ses écrits, a expliqué le réalisateur. Le documentaire est une rétrospective sur la vie de l'auteur de "Al-Laz"(L'As), "Al-Zilzal", "Le pêcheur et le palais", "Noces de mulet", "Le fugitif" et "Les martyrs reviennent cette semaine", décédé le 12 août 2010 à Paris (France) à l'âge de 74 ans, racontée par Tahar Ouettar. Ce film est agrémenté de commentaires de grandes figures de la littérature comme Djamel Guitani, Wassini Laaredj, Nacer Djabi, Mohamed Tine, Ahmed Cheniki et Francis Combe. Pour le journaliste Mohamed Zaoui, établi depuis plusieurs années en région parisienne, ce travail "met en exergue la dimension humaine de cet écrivain prolixe et polémiste à la fois, qui a tant contribué à faire connaître la littérature algérienne au plan régional qu'international". "Les dernières paroles", titre choisi par l'auteur à son documentaire se veut, a-t-il indiqué, "un hommage à la longue et brillante carrière de l'écrivain, mais également une úuvre de + réconciliation + entre les intellectuels algériens, toutes tendances et opinions confondues, à travers cette immersion de 120 minutes dans la vie de l'enfant prodige des Aurès, qui dévoile, pour la première fois, le côté caché d'une personnalité +à fort caractère+, + sensible+ à ce qui l'entoure, trop attachée à la culture Chaouie, dont il aimait écouter et fredonner les anciennes chansons du terroir qui ont bercé son enfance, et ce, jusqu'au dernier jour de sa vie,"a-t-il affirmé. "Les dernières paroles", comme l'explique son auteur, est un travail journalistique de "l'urgence" qui intervient, la plupart du temps, à un moment crucial de la vie d'un intellectuel "en fin de parcours" ou "dans la détresse", citant, dans ce contexte, les travaux réalisés, dans des conditions presque similaires, sur la vie et le parcours de Nadia Guendouz ou Beggar Hadda, en guise d'hommage et de reconnaissance envers ces personnages qui ont beaucoup donné à la culture algérienne. Pendant les dix jours passés chez son hôte, l'écrivain va "se dévoiler" face à la caméra et raconter ses souvenirs d'enfance, son village natal, Sedrata, ses débuts dans la littérature et plein d'autres faits marquants ayant émaillé sa vie et sa carrière d'écrivain, sans jamais renier ses convictions et sa vision du monde, telles que traduites dans ses écrits, a expliqué le réalisateur.