Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a réclamé lundi, lors d'une visite dans des îles du Pacifique, de "vrais résultats" dans la lutte contre le réchauffement climatique qui menace l'écosystème planétaire. M. Ban Ki-moon, en présence du président des îles Kiribati, Anote Tong s'est engagé "à faire l'écho" des inquiétudes des populations de ces îles "auprès du monde, de l'Assemblée générale des Nations Unies et dans les négociations sur le changement climatique à Durban à la fin de l'année". Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, le chef de l'ONU a souligné qu'il poursuivrait ses efforts jusqu'à l'obtention "de vrais résultats", qualifiant le Pacifique et ses innombrables îles menacées par la montée des océans de "ligne de front" du réchauffement climatique. La Conférence de Durban sur le réchauffement climatique, prévue à la fin de l'année, est une occasion à la communauté mondiale de prolonger le protocole de Kyoto, qui s'achève en 2012. Seul instrument légal qui contraint les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'origine du changement climatique, il n'a jamais été ratifié par les Etats-Unis, premier pollueur mondial. La Russie, le Canada et le Japon avaient eux ratifié le protocole de Kyoto mais refusent de se joindre à un "Kyoto-bis" si les Etats-Unis et les grands pays émergents comme la Chine (qui n'étaient pas concernés par le protocole de Kyoto) n'en sont pas. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a réclamé lundi, lors d'une visite dans des îles du Pacifique, de "vrais résultats" dans la lutte contre le réchauffement climatique qui menace l'écosystème planétaire. M. Ban Ki-moon, en présence du président des îles Kiribati, Anote Tong s'est engagé "à faire l'écho" des inquiétudes des populations de ces îles "auprès du monde, de l'Assemblée générale des Nations Unies et dans les négociations sur le changement climatique à Durban à la fin de l'année". Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique, le chef de l'ONU a souligné qu'il poursuivrait ses efforts jusqu'à l'obtention "de vrais résultats", qualifiant le Pacifique et ses innombrables îles menacées par la montée des océans de "ligne de front" du réchauffement climatique. La Conférence de Durban sur le réchauffement climatique, prévue à la fin de l'année, est une occasion à la communauté mondiale de prolonger le protocole de Kyoto, qui s'achève en 2012. Seul instrument légal qui contraint les pays industrialisés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'origine du changement climatique, il n'a jamais été ratifié par les Etats-Unis, premier pollueur mondial. La Russie, le Canada et le Japon avaient eux ratifié le protocole de Kyoto mais refusent de se joindre à un "Kyoto-bis" si les Etats-Unis et les grands pays émergents comme la Chine (qui n'étaient pas concernés par le protocole de Kyoto) n'en sont pas.