Un total de 11.000 logements réalisés dans le cadre de la formule location-vente et répartis sur le territoire national sera livré «incessamment», a affirmé, jeudi dernier à Sétif, le directeur général d'Assurance Immo (ex-CNEP-Immo), Mokhtar Boufatit. Intervenant en marge de la cérémonie de signature d'une convention, entre la CNEP Banque, Assure Immo et la wilaya de Sétif, portant sur la réalisation de 6.200 unités de ce type à Sétif, M. Boufatit a rappelé que ces 11.000 logements font partie d'un programme de 65.000 unités devant être réalisées durant le quinquennat en cours. Il a, en outre, affirmé que le règlement du problème de foncier, sur lequel avait buté ce programme, s'effectue «progressivement». Le même responsable a, à ce propos, souligné que les assiettes de terrain pour l'implantation de 41.000 logements ont été identifiées, et que 16.600 unités sont déjà en chantier. Présent à cette cérémonie, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a, de son côté, indiqué que la construction de véritables villes, dotées de toutes les commodités essentielles, constitue le principal défi à relever au cours du programme quinquennal 2010-2014. Outre cela, la planification de la croissance urbaine figure également parmi les tâches principales que s'emploie à concrétiser le département de l'Habitat pour éviter de subir l'anarchie qui domine dans certaines agglomérations du pays, a-t-il souligné. M. Moussa a, dans ce contexte, indiqué que ledit quinquennat prévoit la réalisation de plus de 2 millions de logements, dont plus de 1 million seront de type public locatif (LPL), 900.000 ruraux et 550.000 logements promotionnels aidés. Affirmant que les études préalables à la réalisation d'environ 450.000 unités sont déjà lancées, le ministre a souligné que la réception de cet important programme d'habitat devra impérativement avoir lieu dans les délais contractuels. Il a, dans ce sens, averti que tous les projets de réalisation de logements ruraux qui n'auront pas été lancés à la fin de l'année seront «tout simplement annulés». Fini le bricolage ? M. Moussa a, par ailleurs, mis en garde les entreprises chargées de la réalisation des différents programmes de logements qui feraient de ce secteur «un alibi pour se lancer dans d'autres créneaux». Il a, ainsi, fait part de «l'adoption par son département de normes plus rigoureuses pour le contrôle et le suivi des chantiers». Les entreprises de réalisation qui ne seront pas à la hauteur du nouveau défi imposé par la «bataille de la qualité» dans laquelle s'est engagé le pays, n'auront plus qu'à «jeter l'éponge», a averti le ministre. L'ère du bricolage est «révolue», a-t-il conclu. Plaidant pour «l'épanouissement durable du secteur du bâtiment, indicateur du degré de développement des peuples», Noureddine Moussa a, à cet égard, estimé que «l'argent du bâtiment doit rester dans le bâtiment». Il a, ainsi, indiqué que les investissements consentis par l'Etat pour la concrétisation des différents programmes de développement de ce secteur «doivent être absolument investis dans l'amélioration du niveau de performance des entreprises de construction, sur les plans humain et logistique». Notons, enfin, que les bureaux d'études sont, également, appelés à s'adapter avec les normes de la qualité en modelant leurs plans architecturaux avec les exigences de l'heure, caractérisées par un «relatif déficit en matière de foncier», a encore indiqué le ministre, faisant part de la nécessité «d'expulser tous les intrus qui ont intégré par effraction le monde du bâtiment». Un total de 11.000 logements réalisés dans le cadre de la formule location-vente et répartis sur le territoire national sera livré «incessamment», a affirmé, jeudi dernier à Sétif, le directeur général d'Assurance Immo (ex-CNEP-Immo), Mokhtar Boufatit. Intervenant en marge de la cérémonie de signature d'une convention, entre la CNEP Banque, Assure Immo et la wilaya de Sétif, portant sur la réalisation de 6.200 unités de ce type à Sétif, M. Boufatit a rappelé que ces 11.000 logements font partie d'un programme de 65.000 unités devant être réalisées durant le quinquennat en cours. Il a, en outre, affirmé que le règlement du problème de foncier, sur lequel avait buté ce programme, s'effectue «progressivement». Le même responsable a, à ce propos, souligné que les assiettes de terrain pour l'implantation de 41.000 logements ont été identifiées, et que 16.600 unités sont déjà en chantier. Présent à cette cérémonie, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Noureddine Moussa, a, de son côté, indiqué que la construction de véritables villes, dotées de toutes les commodités essentielles, constitue le principal défi à relever au cours du programme quinquennal 2010-2014. Outre cela, la planification de la croissance urbaine figure également parmi les tâches principales que s'emploie à concrétiser le département de l'Habitat pour éviter de subir l'anarchie qui domine dans certaines agglomérations du pays, a-t-il souligné. M. Moussa a, dans ce contexte, indiqué que ledit quinquennat prévoit la réalisation de plus de 2 millions de logements, dont plus de 1 million seront de type public locatif (LPL), 900.000 ruraux et 550.000 logements promotionnels aidés. Affirmant que les études préalables à la réalisation d'environ 450.000 unités sont déjà lancées, le ministre a souligné que la réception de cet important programme d'habitat devra impérativement avoir lieu dans les délais contractuels. Il a, dans ce sens, averti que tous les projets de réalisation de logements ruraux qui n'auront pas été lancés à la fin de l'année seront «tout simplement annulés». Fini le bricolage ? M. Moussa a, par ailleurs, mis en garde les entreprises chargées de la réalisation des différents programmes de logements qui feraient de ce secteur «un alibi pour se lancer dans d'autres créneaux». Il a, ainsi, fait part de «l'adoption par son département de normes plus rigoureuses pour le contrôle et le suivi des chantiers». Les entreprises de réalisation qui ne seront pas à la hauteur du nouveau défi imposé par la «bataille de la qualité» dans laquelle s'est engagé le pays, n'auront plus qu'à «jeter l'éponge», a averti le ministre. L'ère du bricolage est «révolue», a-t-il conclu. Plaidant pour «l'épanouissement durable du secteur du bâtiment, indicateur du degré de développement des peuples», Noureddine Moussa a, à cet égard, estimé que «l'argent du bâtiment doit rester dans le bâtiment». Il a, ainsi, indiqué que les investissements consentis par l'Etat pour la concrétisation des différents programmes de développement de ce secteur «doivent être absolument investis dans l'amélioration du niveau de performance des entreprises de construction, sur les plans humain et logistique». Notons, enfin, que les bureaux d'études sont, également, appelés à s'adapter avec les normes de la qualité en modelant leurs plans architecturaux avec les exigences de l'heure, caractérisées par un «relatif déficit en matière de foncier», a encore indiqué le ministre, faisant part de la nécessité «d'expulser tous les intrus qui ont intégré par effraction le monde du bâtiment».