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Le mouvement du 20 février revient à la charge
Maroc
Publié dans Le Midi Libre le 13 - 09 - 2011

Environ 1.000 personnes ont manifesté dimanche en fin d'après-midi à Rabat pour réitérer les revendications du mouvement du 20 février qui "ne sont toujours pas satisfaites" et marquer la rentrée sociale et politique, entourée d'un important dispositif de sécurité, a-t-on constaté sur place. Aux cris de "Pour un Maroc de dignité, de liberté et de justice sociale", "Le peuple veut la chute du despotisme et de la corruption", "Mamfakinch, mamfakinch" (nous ne cesserons pas) et "Vive le peuple", les manifestants ont arpenté le quartier populaire Yacoub-El Mansour durant deux heures pour exprimer les revendications du mouvement, initiateur de cette marche.
Environ 1.000 personnes ont manifesté dimanche en fin d'après-midi à Rabat pour réitérer les revendications du mouvement du 20 février qui "ne sont toujours pas satisfaites" et marquer la rentrée sociale et politique, entourée d'un important dispositif de sécurité, a-t-on constaté sur place. Aux cris de "Pour un Maroc de dignité, de liberté et de justice sociale", "Le peuple veut la chute du despotisme et de la corruption", "Mamfakinch, mamfakinch" (nous ne cesserons pas) et "Vive le peuple", les manifestants ont arpenté le quartier populaire Yacoub-El Mansour durant deux heures pour exprimer les revendications du mouvement, initiateur de cette marche.
«Notre but n'est pas de ramener le plus de monde pour cette marche qui intervient après la période estivale et la fin du Ramadhan, mais de marquer notre présence sur le terrain en cette rentrée sociale et politique", a déclaré à l'APS Oussama El-Khlifi, un des animateurs du mouvement pour expliquer cette faible mobilisation.
Il a, ensuite, indiqué que "le mouvement ne s'essoufflera pas puisque un programme d'actions est en discussion entre les différentes sections et militants de toutes les villes du Maroc avant son application dans les semaines et mois à venir".
De son côté, Chahida Tifraz, une des militantes de la section de Rabat a indiqué que des marches similaires pour réclamer des changements sur tous les plans devaient se dérouler dans plusieurs villes du royaume notamment à Casablanca, Tanger, Agadir, Hoceima, Marrakech et Fès à différentes heures de la journée.
«La journée d'aujourd'hui (dimanche) est une journée de protestation nationale pour rappeler notre présence et nos revendications qui ne sont pas satisfaites", a-t-elle fait remarquer.
Samedi, le mouvement du 20 février Paris /Ile-de-France avait organisé un rassemblement suivi d'un sit-in devant l'ambassade du Maroc dans la capitale française au cours duquel les manifestants ont exprimé leur rejet de la nouvelle Constitution qui "n'émane pas de la volonté du peuple" et réclamer de nouveau des changements profonds au Maroc.
Le mouvement du 20 février tire son appellation de la date des premières grandes marches, il y a bientôt 7 mois, pour revendiquer des changements au Maroc sur les plans politique, social et économique notamment l'instauration d'une monarchie parlementaire et l'adoption d'une Constitution démocratique.
La reprise de ces marches les dimanches intervient à près de deux mois et demi de la date des élections législatives (25 novembre) pour la mise en oeuvre de la nouvelle Constitution, votée le 1er juillet dernier et boycottée par le mouvement du 20 février et par des partis de gauche.
«Notre but n'est pas de ramener le plus de monde pour cette marche qui intervient après la période estivale et la fin du Ramadhan, mais de marquer notre présence sur le terrain en cette rentrée sociale et politique", a déclaré à l'APS Oussama El-Khlifi, un des animateurs du mouvement pour expliquer cette faible mobilisation.
Il a, ensuite, indiqué que "le mouvement ne s'essoufflera pas puisque un programme d'actions est en discussion entre les différentes sections et militants de toutes les villes du Maroc avant son application dans les semaines et mois à venir".
De son côté, Chahida Tifraz, une des militantes de la section de Rabat a indiqué que des marches similaires pour réclamer des changements sur tous les plans devaient se dérouler dans plusieurs villes du royaume notamment à Casablanca, Tanger, Agadir, Hoceima, Marrakech et Fès à différentes heures de la journée.
«La journée d'aujourd'hui (dimanche) est une journée de protestation nationale pour rappeler notre présence et nos revendications qui ne sont pas satisfaites", a-t-elle fait remarquer.
Samedi, le mouvement du 20 février Paris /Ile-de-France avait organisé un rassemblement suivi d'un sit-in devant l'ambassade du Maroc dans la capitale française au cours duquel les manifestants ont exprimé leur rejet de la nouvelle Constitution qui "n'émane pas de la volonté du peuple" et réclamer de nouveau des changements profonds au Maroc.
Le mouvement du 20 février tire son appellation de la date des premières grandes marches, il y a bientôt 7 mois, pour revendiquer des changements au Maroc sur les plans politique, social et économique notamment l'instauration d'une monarchie parlementaire et l'adoption d'une Constitution démocratique.
La reprise de ces marches les dimanches intervient à près de deux mois et demi de la date des élections législatives (25 novembre) pour la mise en oeuvre de la nouvelle Constitution, votée le 1er juillet dernier et boycottée par le mouvement du 20 février et par des partis de gauche.


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