La vision de développement de la région du Sahel, telle que définie lors de la récente conférence internationale d'Alger sur la sécurité et le développement entre les pays du champ et les partenaires extrarégionaux, sera appuyée par la France auprès de l'Europe à Bruxelles, ont indiqué, hier, à Alger des membres d'une délégation de parlementaires français. «La France sera là pour vous aider à faire passer votre vision lors de l'étape très importante de Bruxelles concernant le développement de la région du Sahel», a indiqué à la presse le député de l'Union pour un Mouvement populaire (UMP), M. Henri Pagnol, reçu avec les autres membres de la délégation par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel. «La France souhaite que l'Europe apporte une contribution massive, notamment à la lumière de ce qui a été enregistré lors de la conférence (d'Alger). Nous sommes prêts à concrétiser la lutte contre le terrorisme et le développement de la région pour endiguer la pauvreté et la misère au Sahel», a affirmé M. Pagnol. M. Pagnol a également qualifié les entretiens avec M. Messahel d'"échanges passionnants", soulignant la "vision audacieuse" de l'Algérie pour le développement de toute la région du Sahel, notamment en termes d'infrastructures et de transport pour désenclaver les pays de la région. «Nous avons constaté avec plaisir une convergence (de vues) sur la nécessité d'appropriation par les pays du Sahel de la lutte contre le phénomène du terrorisme qui menace leur sécurité», a-t-il dit, réitérant que «la France est un partenaire à la disposition des Etats du champ pour les aider». Le député socialiste, M. François Loncle, a estimé, pour sa part, que le séjour de la délégation de parlementaires français à Alger coïncide avec une période où se sont produits beaucoup d'événements "positifs", notamment l'organisation de la conférence internationale d'Alger, qui va dans «le sens de la lutte contre le terrorisme et la pauvreté dans la région (du Sahel)». Il a, de ce fait, observé qu'il y avait «des objectifs communs et des convergences» avec son pays (la France) qui, a-t-il dit, «participe au règlement du problème» du terrorisme. La délégation de parlementaires français a achevé sa mission sur la sécurité au Sahel par son séjour à Alger, après s'être rendue en Mauritanie, au Sénégal au Burkina Faso et au Mali. La vision de développement de la région du Sahel, telle que définie lors de la récente conférence internationale d'Alger sur la sécurité et le développement entre les pays du champ et les partenaires extrarégionaux, sera appuyée par la France auprès de l'Europe à Bruxelles, ont indiqué, hier, à Alger des membres d'une délégation de parlementaires français. «La France sera là pour vous aider à faire passer votre vision lors de l'étape très importante de Bruxelles concernant le développement de la région du Sahel», a indiqué à la presse le député de l'Union pour un Mouvement populaire (UMP), M. Henri Pagnol, reçu avec les autres membres de la délégation par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel. «La France souhaite que l'Europe apporte une contribution massive, notamment à la lumière de ce qui a été enregistré lors de la conférence (d'Alger). Nous sommes prêts à concrétiser la lutte contre le terrorisme et le développement de la région pour endiguer la pauvreté et la misère au Sahel», a affirmé M. Pagnol. M. Pagnol a également qualifié les entretiens avec M. Messahel d'"échanges passionnants", soulignant la "vision audacieuse" de l'Algérie pour le développement de toute la région du Sahel, notamment en termes d'infrastructures et de transport pour désenclaver les pays de la région. «Nous avons constaté avec plaisir une convergence (de vues) sur la nécessité d'appropriation par les pays du Sahel de la lutte contre le phénomène du terrorisme qui menace leur sécurité», a-t-il dit, réitérant que «la France est un partenaire à la disposition des Etats du champ pour les aider». Le député socialiste, M. François Loncle, a estimé, pour sa part, que le séjour de la délégation de parlementaires français à Alger coïncide avec une période où se sont produits beaucoup d'événements "positifs", notamment l'organisation de la conférence internationale d'Alger, qui va dans «le sens de la lutte contre le terrorisme et la pauvreté dans la région (du Sahel)». Il a, de ce fait, observé qu'il y avait «des objectifs communs et des convergences» avec son pays (la France) qui, a-t-il dit, «participe au règlement du problème» du terrorisme. La délégation de parlementaires français a achevé sa mission sur la sécurité au Sahel par son séjour à Alger, après s'être rendue en Mauritanie, au Sénégal au Burkina Faso et au Mali.