Un projet pilote de plantation du maïs dans une exploitation agricole privée à Hassiane Toual, à l'est d'Oran, a donné satisfaction, a affirmé à la presse le président de la Chambre de l'agriculture de la wilaya. "Pour une première moisson, nous avons atteint un rendement de 93 quintaux à l'hectare", s'est réjoui M. Mohamed Mansouri, en précisant que cette performance a été meilleure que celle réalisée à El-Bayadh, Mascara ou encore à Relizane. Appliquée sur une superficie de 9 hectares de maïs, cette expérience qualifiée de "concluante" a été possible grâce au dispositif de développement de cette spéculation mis en place et l'offre incitative de l'Office national des aliments du bétail (Onab) qui a proposé aux exploitants des prix attractifs à raison de 4.500 dinars le quintal. M. Mansouri a estimé que cette expérience de production du maïs au niveau local peut être étendue, avec le concours des différents intervenants, à d'autres exploitations dans la wilaya, "si les conditions seront réunies". La Direction des services agricoles (DSA) envisage, dans le cadre de la promotion de cette culture, la plantation du maïs sur une superficie de 30 hectares pour la campagne agricole 2011-2012 au niveau d'une ferme située à Oued Tlélat, une région céréalière irriguée à partir des eaux traitées et épurées de la station d'El-Kerma. Il a rappelé que ce projet, qui entre dans le cadre des efforts du ministère de l'Agriculture et du Développement rural vise à répondre aux besoins du pays en matière de viandes rouges et blanches, partant de la réduction de la facture d'importation du maïs qui dépasse 2 millions tonnes par an, notamment pour la production d'aliments de bétail et de volailles. Des perspectives de développement de la culture du maïs sont perceptibles pour peu que les variétés soient adaptées aux conditions climatiques locales, a dit le même responsable en marge d'une rencontre avec des investisseurs. Un projet pilote de plantation du maïs dans une exploitation agricole privée à Hassiane Toual, à l'est d'Oran, a donné satisfaction, a affirmé à la presse le président de la Chambre de l'agriculture de la wilaya. "Pour une première moisson, nous avons atteint un rendement de 93 quintaux à l'hectare", s'est réjoui M. Mohamed Mansouri, en précisant que cette performance a été meilleure que celle réalisée à El-Bayadh, Mascara ou encore à Relizane. Appliquée sur une superficie de 9 hectares de maïs, cette expérience qualifiée de "concluante" a été possible grâce au dispositif de développement de cette spéculation mis en place et l'offre incitative de l'Office national des aliments du bétail (Onab) qui a proposé aux exploitants des prix attractifs à raison de 4.500 dinars le quintal. M. Mansouri a estimé que cette expérience de production du maïs au niveau local peut être étendue, avec le concours des différents intervenants, à d'autres exploitations dans la wilaya, "si les conditions seront réunies". La Direction des services agricoles (DSA) envisage, dans le cadre de la promotion de cette culture, la plantation du maïs sur une superficie de 30 hectares pour la campagne agricole 2011-2012 au niveau d'une ferme située à Oued Tlélat, une région céréalière irriguée à partir des eaux traitées et épurées de la station d'El-Kerma. Il a rappelé que ce projet, qui entre dans le cadre des efforts du ministère de l'Agriculture et du Développement rural vise à répondre aux besoins du pays en matière de viandes rouges et blanches, partant de la réduction de la facture d'importation du maïs qui dépasse 2 millions tonnes par an, notamment pour la production d'aliments de bétail et de volailles. Des perspectives de développement de la culture du maïs sont perceptibles pour peu que les variétés soient adaptées aux conditions climatiques locales, a dit le même responsable en marge d'une rencontre avec des investisseurs.