La campagne électorale pour les élections de l'Assemblée constituante, qui aura pour mission d'élaborer une nouvelle constitution et de veiller à la gestion des affaires publiques lors de cette étape transitoire, devait débuter hier samedi, a indiqué l'instance des élections. Selon les statistiques établies par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), le nombre de candidats aux élections de la Constituante est estimé à 10.937, répartis sur 1.424 listes dans les 27 circonscriptions électorales à travers le pays. Les listes partisanes sont en tête avec 787 listes, suivies des indépendants (587) et, en troisième et dernière position, les coalitions avec 54 listes, indiquent les statistiques. Le décret-loi tunisien définit la campagne électorale comme étant l'ensemble des activités d'information dans les différents médias menées par une liste candidate ou ses adhérents dans l'objectif de mieux faire connaître leur programme électoral auprès de l'électorat durant une durée déterminée, conformément à un calendrier électoral. L'opération électorale, prévue le 23 octobre, est supervisée pour la première fois en Tunisie, depuis l'accession du pays à l'indépendance en 1956, par une structure indépendante dénommée l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE). L'ISIE se chargera, tout au long de la campagne électorale, à contrôler les médias dans leur couverture de la campagne électorale par le biais d'observateurs recrutés à cet effet. S'agissant du financement de la campagne électorale, cette opération est soumise au contrôle de la cour des comptes et de l'ISIE chargée de veiller à la stricte application des dispositions du décret-loi relatif à l'élection des membres de la Constituante, y compris le suivi des campagnes électorales et le respect du principe de l'égalité des chances entre les candidats en lice. Pour ce qui est des ressources du financement, les principes et règles régissant cette matière sont régis par les dispositions des articles du décret-loi électoral qui institue une obligation à la charge de chaque parti ou liste candidate d'ouvrir un compte bancaire unique soumis au contrôle de la Cour des Comptes. La campagne électorale pour les élections de l'Assemblée constituante, qui aura pour mission d'élaborer une nouvelle constitution et de veiller à la gestion des affaires publiques lors de cette étape transitoire, devait débuter hier samedi, a indiqué l'instance des élections. Selon les statistiques établies par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), le nombre de candidats aux élections de la Constituante est estimé à 10.937, répartis sur 1.424 listes dans les 27 circonscriptions électorales à travers le pays. Les listes partisanes sont en tête avec 787 listes, suivies des indépendants (587) et, en troisième et dernière position, les coalitions avec 54 listes, indiquent les statistiques. Le décret-loi tunisien définit la campagne électorale comme étant l'ensemble des activités d'information dans les différents médias menées par une liste candidate ou ses adhérents dans l'objectif de mieux faire connaître leur programme électoral auprès de l'électorat durant une durée déterminée, conformément à un calendrier électoral. L'opération électorale, prévue le 23 octobre, est supervisée pour la première fois en Tunisie, depuis l'accession du pays à l'indépendance en 1956, par une structure indépendante dénommée l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE). L'ISIE se chargera, tout au long de la campagne électorale, à contrôler les médias dans leur couverture de la campagne électorale par le biais d'observateurs recrutés à cet effet. S'agissant du financement de la campagne électorale, cette opération est soumise au contrôle de la cour des comptes et de l'ISIE chargée de veiller à la stricte application des dispositions du décret-loi relatif à l'élection des membres de la Constituante, y compris le suivi des campagnes électorales et le respect du principe de l'égalité des chances entre les candidats en lice. Pour ce qui est des ressources du financement, les principes et règles régissant cette matière sont régis par les dispositions des articles du décret-loi électoral qui institue une obligation à la charge de chaque parti ou liste candidate d'ouvrir un compte bancaire unique soumis au contrôle de la Cour des Comptes.