La grève dans le secteur de l'éducation nationale a été largement suivie, hier, selon les syndicalistes. Ainsi, un taux de suivi de 90 à 95% a été constaté au niveau national au premier jour du débrayage, selon les estimations du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). La grève dans le secteur de l'éducation nationale a été largement suivie, hier, selon les syndicalistes. Ainsi, un taux de suivi de 90 à 95% a été constaté au niveau national au premier jour du débrayage, selon les estimations du Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapest). Plusieurs wilayas ont suivi le mot d'ordre, selon le chargée de communication de ce syndicat, Messaoud Boudiba, citant entre autres, Bouira (91,27%), Djelfa (90%), Médéa (95%), Aïn Defla (95%), BBA (82%), Alger-Est (95%) et Alger-Centre (82%). «La grève a été largement suivie au niveau national», nous a expliqué, hier, M. Boudiba, tout en soulignant que des assemblées générales seront organisées dans les lycées pour évaluer l'impact de la grève. Le représentant du Cnapest a annoncé de là même la tenue, mercredi prochain, du conseil national pour décider de la suite à donner au mouvement de grève et répondre à la correspondance envoyée par le SG du ministère de l'Education nationale aux différents établissements. De son côté, le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a estimé le taux de suivi de la grève entre 72% et 97% pour dire que «la grève a été bien suivie». Dans la capitale, les enseignants ont répondu massivement à l'appel de débrayage. Pour preuve, le taux de suivi est de 94% à Alger-Ouest, selon les estimations de l'UNPEF. De son côté, le ministère de l'Education nationale a répondu favorablement aux revendications des différents syndicats. «Plus rien ne justifie le maintien de l'appel à la grève», lit-on dans un communiqué transmis à notre rédaction, au vu des réponses concrètes prises en faveur des fonctionnaires du secteur. Il s'agit, en effet, de l'augmentation de l'indemnité de qualification passant respectivement de 25% à 40% et de 30% à 45%, calculée sur le salaire principal, et non pas de base, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, l'attribution d'une indemnité de documentation à tous les corps d'intendance, également, avec effet rétroactif ; de deux nouvelles indemnités aux laborantins : celle du service technique (25%) et celle de nuisance (10% du salaire principal). Aussi, les pouvoirs publics ont-ils consenti une indemnité supplémentaire de l'ordre de 15% du salaire principal, intitulée indemnité de soutien scolaire et de remédiation pédagogique attribuée à tous les corps spécifiques de l'éducation, également avec effet rétroactif depuis janvier 2008. Concernant le statut particulier, les pouvoirs publics ont accepté le principe de sa révision en vue de corriger les insuffisances avérées. Pour ce faire, le ministère a installé une commission avec les syndicats du secteur, dont les résultats seront rendus le 15 décembre prochain, lit-on encore dans ledit communiqué. Plusieurs wilayas ont suivi le mot d'ordre, selon le chargée de communication de ce syndicat, Messaoud Boudiba, citant entre autres, Bouira (91,27%), Djelfa (90%), Médéa (95%), Aïn Defla (95%), BBA (82%), Alger-Est (95%) et Alger-Centre (82%). «La grève a été largement suivie au niveau national», nous a expliqué, hier, M. Boudiba, tout en soulignant que des assemblées générales seront organisées dans les lycées pour évaluer l'impact de la grève. Le représentant du Cnapest a annoncé de là même la tenue, mercredi prochain, du conseil national pour décider de la suite à donner au mouvement de grève et répondre à la correspondance envoyée par le SG du ministère de l'Education nationale aux différents établissements. De son côté, le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, a estimé le taux de suivi de la grève entre 72% et 97% pour dire que «la grève a été bien suivie». Dans la capitale, les enseignants ont répondu massivement à l'appel de débrayage. Pour preuve, le taux de suivi est de 94% à Alger-Ouest, selon les estimations de l'UNPEF. De son côté, le ministère de l'Education nationale a répondu favorablement aux revendications des différents syndicats. «Plus rien ne justifie le maintien de l'appel à la grève», lit-on dans un communiqué transmis à notre rédaction, au vu des réponses concrètes prises en faveur des fonctionnaires du secteur. Il s'agit, en effet, de l'augmentation de l'indemnité de qualification passant respectivement de 25% à 40% et de 30% à 45%, calculée sur le salaire principal, et non pas de base, avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008, l'attribution d'une indemnité de documentation à tous les corps d'intendance, également, avec effet rétroactif ; de deux nouvelles indemnités aux laborantins : celle du service technique (25%) et celle de nuisance (10% du salaire principal). Aussi, les pouvoirs publics ont-ils consenti une indemnité supplémentaire de l'ordre de 15% du salaire principal, intitulée indemnité de soutien scolaire et de remédiation pédagogique attribuée à tous les corps spécifiques de l'éducation, également avec effet rétroactif depuis janvier 2008. Concernant le statut particulier, les pouvoirs publics ont accepté le principe de sa révision en vue de corriger les insuffisances avérées. Pour ce faire, le ministère a installé une commission avec les syndicats du secteur, dont les résultats seront rendus le 15 décembre prochain, lit-on encore dans ledit communiqué.