Dans le cadre du prolongement des actions initiées pour la réhabilitation de son verger oléicole, la wilaya de Tizi-Ouzou a bénéficié d'un programme de plantation de 3.919 ha d'oliviers au titre du plan quinquennal 2010-2014, a indiqué la Conservation des forêts. Dans le cadre du prolongement des actions initiées pour la réhabilitation de son verger oléicole, la wilaya de Tizi-Ouzou a bénéficié d'un programme de plantation de 3.919 ha d'oliviers au titre du plan quinquennal 2010-2014, a indiqué la Conservation des forêts. Menée par cette dernière dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme de Proximité de développement rural intégré (PPDRI), cette opération a été entamée en 2010 par la plantation de 811 ha au bénéfice d'oléiculteurs des différentes localités de la wilaya. Selon l'APS, la réalisation du reste du programme s'étalera sur les quatre prochaines années à venir, ciblant des superficies peuplées d'arbres âgés ou ayant une densité inférieure à 70 plants par ha, de manière à atteindre une moyenne de 100 pieds à l'hectare. La concrétisation de ce programme, confié à l'Entreprise régionale du génie rural, rencontre une contrainte qui a trait à "la dispersion des impacts sur plusieurs espaces", a indiqué la chargée de l'oléiculture au niveau de l'administration des forêts en faisant état de l'existence d'un programme de greffage, durant cette présente campagne agricole, de quelque 30.000 oléastres, présentant l'avantage d'une meilleure prise au sol et requérant moins d'entretien, comparativement aux plantations. L'option pour ce mode de réhabilitation par la densification sur plusieurs espaces des plantations, s'explique par le fait que la wilaya "ne dispose pas d'assez de terres nues nécessitées par les cultures en semi-intensif et intensif", sachant que l'oléiculture occupe 33 % des 98.000 ha de la Surface agricole utile (SAU) de la région et 70% de la superficie arboricole, a expliqué à l'APS le chargé de l'organisation de la production et de l'appui technique au niveau de la Direction des services agricoles (DSA) en signalant également "la possibilité de planter quelques poches nues très réduites, situées en zones montagneuses", dans le cadre de la mise en valeur des terres par la concession. De même que cela n'empêche pas, selon la DSA, les oléiculteurs de procéder à d'autres opérations pour la réhabilitation de leurs exploitations, telles que la taille de régénération ou le greffage d'oléastres, "créneau pour lequel, la wilaya dispose d'un important potentiel, sachant que plus de 70.000 sujets ont été greffés depuis 2000, dans le cadre de l'ex-Fonds national rural du développement agricole (FNRDA)", a précisé à l'APS le même responsable. Evoquant les mesures d'accompagnement prévues par le Fonds national du développement des investissements agricoles (FNDIA), ce responsable a fait cas d'un ensemble de subventions, telles que celles consenties pour l'acquisition d'équipement de récoltes des olives, notamment les peignes fouetteurs (instrument très recommandé pour la cueillette) pour son utilisation à la place de la gaule qui saccage les fruits et les arbres et dont l'usage se répercute négativement sur les récoltes". A cet égard, on impute la baisse de production des oliviers au fait que "leurs jeunes rameaux, appelés à fructifier l'année d'après, sont abîmés par le gaulage". Les filets de récolte et les cuves en inox pour le stockage de l'huile, dans des conditions la préservant de l'altération et de l'acidification, ainsi que l'acquisition de caissons en plastique pour le ramassage et le transport des olives, en substitution aux sacs en jute qui favorisent la fermentation des olives, ont été, selon l'APS, cités parmi d'autres accessoires bénéficiant de soutien étatique pour le développement de la filière. Selon la DSA, ces différentes actions participent de l'effort de revitalisation de cette culture vivrière qui a toujours constitué une ressource d'appoint pour les ménages ruraux de cette région qui dispose d'un verger oléicole d'environ 33.000 ha totalisant quelque trois millions d'oliviers. Menée par cette dernière dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme de Proximité de développement rural intégré (PPDRI), cette opération a été entamée en 2010 par la plantation de 811 ha au bénéfice d'oléiculteurs des différentes localités de la wilaya. Selon l'APS, la réalisation du reste du programme s'étalera sur les quatre prochaines années à venir, ciblant des superficies peuplées d'arbres âgés ou ayant une densité inférieure à 70 plants par ha, de manière à atteindre une moyenne de 100 pieds à l'hectare. La concrétisation de ce programme, confié à l'Entreprise régionale du génie rural, rencontre une contrainte qui a trait à "la dispersion des impacts sur plusieurs espaces", a indiqué la chargée de l'oléiculture au niveau de l'administration des forêts en faisant état de l'existence d'un programme de greffage, durant cette présente campagne agricole, de quelque 30.000 oléastres, présentant l'avantage d'une meilleure prise au sol et requérant moins d'entretien, comparativement aux plantations. L'option pour ce mode de réhabilitation par la densification sur plusieurs espaces des plantations, s'explique par le fait que la wilaya "ne dispose pas d'assez de terres nues nécessitées par les cultures en semi-intensif et intensif", sachant que l'oléiculture occupe 33 % des 98.000 ha de la Surface agricole utile (SAU) de la région et 70% de la superficie arboricole, a expliqué à l'APS le chargé de l'organisation de la production et de l'appui technique au niveau de la Direction des services agricoles (DSA) en signalant également "la possibilité de planter quelques poches nues très réduites, situées en zones montagneuses", dans le cadre de la mise en valeur des terres par la concession. De même que cela n'empêche pas, selon la DSA, les oléiculteurs de procéder à d'autres opérations pour la réhabilitation de leurs exploitations, telles que la taille de régénération ou le greffage d'oléastres, "créneau pour lequel, la wilaya dispose d'un important potentiel, sachant que plus de 70.000 sujets ont été greffés depuis 2000, dans le cadre de l'ex-Fonds national rural du développement agricole (FNRDA)", a précisé à l'APS le même responsable. Evoquant les mesures d'accompagnement prévues par le Fonds national du développement des investissements agricoles (FNDIA), ce responsable a fait cas d'un ensemble de subventions, telles que celles consenties pour l'acquisition d'équipement de récoltes des olives, notamment les peignes fouetteurs (instrument très recommandé pour la cueillette) pour son utilisation à la place de la gaule qui saccage les fruits et les arbres et dont l'usage se répercute négativement sur les récoltes". A cet égard, on impute la baisse de production des oliviers au fait que "leurs jeunes rameaux, appelés à fructifier l'année d'après, sont abîmés par le gaulage". Les filets de récolte et les cuves en inox pour le stockage de l'huile, dans des conditions la préservant de l'altération et de l'acidification, ainsi que l'acquisition de caissons en plastique pour le ramassage et le transport des olives, en substitution aux sacs en jute qui favorisent la fermentation des olives, ont été, selon l'APS, cités parmi d'autres accessoires bénéficiant de soutien étatique pour le développement de la filière. Selon la DSA, ces différentes actions participent de l'effort de revitalisation de cette culture vivrière qui a toujours constitué une ressource d'appoint pour les ménages ruraux de cette région qui dispose d'un verger oléicole d'environ 33.000 ha totalisant quelque trois millions d'oliviers.