C'est l'histoire de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine, et c'est la lecture faite par les familles des membres de l'équipage du vraquier MV Blida, qui avait fait l'objet, début janvier dernier, d'un acte de piraterie en haute mer quant à la libération, mardi dernier, du marin algérien Azzedine Toudji en compagnie d'un autre marin ukrainien. C'est l'histoire de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine, et c'est la lecture faite par les familles des membres de l'équipage du vraquier MV Blida, qui avait fait l'objet, début janvier dernier, d'un acte de piraterie en haute mer quant à la libération, mardi dernier, du marin algérien Azzedine Toudji en compagnie d'un autre marin ukrainien. Même si elles sont contentes de sa libération, il faut dire que c'est vraiment difficile, pour ces familles, de voir Azzedine libre alors que ses collègues, leurs parents, sont entre les mains des pirates somaliens. Nonobstant cela, les familles des autres otages ont partagé la joie de la famille Toudji en espérant voir bientôt les leurs. «Nous sommes heureux pour lui et pour sa famille», nous dira Fawzi Aït Ramdane, un membre des familles des otages. Joint hier par téléphone, il s'est dit optimiste quant à cette nouvelle. «C'est un espoir pour les autres qui vivent dans des conditions lamentables», a-t-il estimé, et de poursuivre : «Leur état de santé n'est malheureusement pas bon». Rappelons, dans ce sens, que le marin algérien, Azzedine Toudji, a été libéré en même temps qu'un autre marin de nationalité ukrainienne pour des «considérations humanitaires», avait précisé à la presse Nacereddine Mansouri, directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire. Toutefois, son état de santé n'est pas inquiétant, a rassuré M. Aït Ramdane. «J'ai parlé récemment à son frère qui m'a rassuré que son état de santé s'est amélioré», confirme-t-il. Notons, en outre, que les deux marins, qui étaient pris en charge par la force internationale qui réprime les actes de piraterie dans les eaux territoriales somaliennes, seraient actuellement à Djibouti. «Azzedine Toudji est actuellement dans un hôpital à Djibouti. Selon son frère, il rentrera en Algérie d'ici quelques jours» a fait savoir M. Aït Ramdane. Pour ce qui est des autres otages, notre interlocuteur dira que «depuis quelques jours, nous n'avons aucun contact avec eux mais nous savons pertinemment qu'ils ne se portent pas bien dans un pays frappé par la famine et affaibli par les guerres». Il a, à cette occasion, affiché son souhait de voir les marins, algériens et autres, libérés «le plus tôt possible». Rappelons, enfin, que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, lui, avait annoncé dans la matinée la libération de deux marins du MV Blida que «les autorités algériennes restent pleinement mobilisées pour obtenir la libération de tous nos compatriotes dans les meilleurs délais possibles». Même si elles sont contentes de sa libération, il faut dire que c'est vraiment difficile, pour ces familles, de voir Azzedine libre alors que ses collègues, leurs parents, sont entre les mains des pirates somaliens. Nonobstant cela, les familles des autres otages ont partagé la joie de la famille Toudji en espérant voir bientôt les leurs. «Nous sommes heureux pour lui et pour sa famille», nous dira Fawzi Aït Ramdane, un membre des familles des otages. Joint hier par téléphone, il s'est dit optimiste quant à cette nouvelle. «C'est un espoir pour les autres qui vivent dans des conditions lamentables», a-t-il estimé, et de poursuivre : «Leur état de santé n'est malheureusement pas bon». Rappelons, dans ce sens, que le marin algérien, Azzedine Toudji, a été libéré en même temps qu'un autre marin de nationalité ukrainienne pour des «considérations humanitaires», avait précisé à la presse Nacereddine Mansouri, directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire. Toutefois, son état de santé n'est pas inquiétant, a rassuré M. Aït Ramdane. «J'ai parlé récemment à son frère qui m'a rassuré que son état de santé s'est amélioré», confirme-t-il. Notons, en outre, que les deux marins, qui étaient pris en charge par la force internationale qui réprime les actes de piraterie dans les eaux territoriales somaliennes, seraient actuellement à Djibouti. «Azzedine Toudji est actuellement dans un hôpital à Djibouti. Selon son frère, il rentrera en Algérie d'ici quelques jours» a fait savoir M. Aït Ramdane. Pour ce qui est des autres otages, notre interlocuteur dira que «depuis quelques jours, nous n'avons aucun contact avec eux mais nous savons pertinemment qu'ils ne se portent pas bien dans un pays frappé par la famine et affaibli par les guerres». Il a, à cette occasion, affiché son souhait de voir les marins, algériens et autres, libérés «le plus tôt possible». Rappelons, enfin, que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, lui, avait annoncé dans la matinée la libération de deux marins du MV Blida que «les autorités algériennes restent pleinement mobilisées pour obtenir la libération de tous nos compatriotes dans les meilleurs délais possibles».