Infection respiratoire d'origine virale, la bronchiolite du nourrisson survient la plupart du temps en période épidémique, c'est-à-dire à partir des mois d'octobre-novembre. Elle est bénigne dans 95% des cas, mais peut également avoir des formes plus sévères qui nécessiteront une hospitalisation. Infection respiratoire d'origine virale, la bronchiolite du nourrisson survient la plupart du temps en période épidémique, c'est-à-dire à partir des mois d'octobre-novembre. Elle est bénigne dans 95% des cas, mais peut également avoir des formes plus sévères qui nécessiteront une hospitalisation. Cette forme sévère touche surtout les nourrissons fragiles, les prématurés ou encore les enfants âgés de moins de 3 mois souffrant d'atteintes cardiaques, respiratoires. Les nourrissons atteints de bronchiolite éprouvent du mal à s'alimenter, car prendre un biberon avec une importante gêne respiratoire constitue pour eux un véritable effort. La toux provoque souvent des vomissements qui les épuisent encore plus. Si votre enfant est dans l'une de ces situations, il faut faire très attention et se montrer très vigilant, conseillent les spécialistes. Le pédiatre pourra vous fournir des informations précieuses sur les mesures préventives à adopter pour soulager votre enfant. Pour les formes bénignes, la kinésithérapie respiratoire demeure le traitement primordial. Elle a pour objet de permettre d'évacuer les sécrétions bronchiques que le bébé ne réussit pas à faire. Elle permet de drainer toutes les mucosités des petites bronches vers les plus grosses. Le praticien effectue des mouvements sur la cage thoracique et l'abdomen du bébé lorsqu'il expire. Ce geste permet de faire remonter les sécrétions de la trachée vers la bouche de l'enfant qui réussit ensuite à les expectorer. La bronchiolite, en soi, n'est pas grave, mais elle peut entraîner certaines complications. En effet, il est probable que les enfants ayant développé une bronchiolite soient plus sensibles par la suite aux infections. Ce sont souvent les personnes de l'entourage (parents, frère et sœurs, etc.) qui transmettent leur rhume au bébé. De manière générale, le bébé a plus de chances d'attraper le virus, très contagieux, dans les lieux publics et collectifs, notamment les salles d'attente, la crèche, les transports en commun, etc. Eviter dans la mesure du possible ces lieux et les contacts avec des personnes enrhumées reste encore la mesure de prévention la plus évidente. Cette forme sévère touche surtout les nourrissons fragiles, les prématurés ou encore les enfants âgés de moins de 3 mois souffrant d'atteintes cardiaques, respiratoires. Les nourrissons atteints de bronchiolite éprouvent du mal à s'alimenter, car prendre un biberon avec une importante gêne respiratoire constitue pour eux un véritable effort. La toux provoque souvent des vomissements qui les épuisent encore plus. Si votre enfant est dans l'une de ces situations, il faut faire très attention et se montrer très vigilant, conseillent les spécialistes. Le pédiatre pourra vous fournir des informations précieuses sur les mesures préventives à adopter pour soulager votre enfant. Pour les formes bénignes, la kinésithérapie respiratoire demeure le traitement primordial. Elle a pour objet de permettre d'évacuer les sécrétions bronchiques que le bébé ne réussit pas à faire. Elle permet de drainer toutes les mucosités des petites bronches vers les plus grosses. Le praticien effectue des mouvements sur la cage thoracique et l'abdomen du bébé lorsqu'il expire. Ce geste permet de faire remonter les sécrétions de la trachée vers la bouche de l'enfant qui réussit ensuite à les expectorer. La bronchiolite, en soi, n'est pas grave, mais elle peut entraîner certaines complications. En effet, il est probable que les enfants ayant développé une bronchiolite soient plus sensibles par la suite aux infections. Ce sont souvent les personnes de l'entourage (parents, frère et sœurs, etc.) qui transmettent leur rhume au bébé. De manière générale, le bébé a plus de chances d'attraper le virus, très contagieux, dans les lieux publics et collectifs, notamment les salles d'attente, la crèche, les transports en commun, etc. Eviter dans la mesure du possible ces lieux et les contacts avec des personnes enrhumées reste encore la mesure de prévention la plus évidente.