Le mouvement islamique jordanien a annoncé sa décision de ne pas participer au gouvernement du Premier ministre désigné Aoun Khassawneh, dans un communiqué rendu public samedi. "Les bureaux exécutifs des Frères musulmans et du Front de l'action islamique (FAI) ont décidé, lors d'une réunion conjointe, de refuser de participer au gouvernement" de M. Khassawneh, annonce un communiqué publié sur le site internet des Frères musulmans. "La délégation chargée de négocier avec M. Khassawneh remettra au Premier ministre désigné une liste des revendications du mouvement islamique", ajoute le texte, sans donner de précisions sur ces revendications. Aoun Khassawneh, 61 ans, juge à la Cour internationale de justice à La Haye depuis 2000, a été nommé lundi Premier ministre par le roi Abdallah II dans le cadre d'un processus de réformes dans le royaume. M. Khassawneh a rencontré jeudi des représentants de l'opposition islamique, qu'il souhaitait inclure dans son gouvernement. Kenya L'armée traque toujours les Shebab L'armée kenyane a progressé samedi dans les territoires somaliens sous contrôle des milices Shebab, selon des officiels de l'armée kenyane. Les troupes kenyanes, ayant pris le contrôle d'Oddo et de cinq autres villes, avancent vers la ville de Burgavo conjointement avec celles du gouvernement de transition somalien, et des sources vivant près de la frontière entre le Kenya et la Somalie. A Kolbio, ville somalienne tombée entre les mains des militaires kenyans, un commandant kenyan a déclaré que ceux-ci se dirigent vers la ville de Badede, qui avait fait l'objet de bombardement aériens. L'armée kenyane a également démenti la mort de quelque 70 soldats de la Mission de maintien de la paix de l'Union africaine en Somalie (Amisom), affirmant avoir perdu seulement cinq soldats dans la chute d'un hélicoptère depuis le début de l'opération en cours, déclenchée il y a sept jours contre les Shebab, responsables des derniers enlèvements d'Européennes au Kenya. Le mouvement islamique jordanien a annoncé sa décision de ne pas participer au gouvernement du Premier ministre désigné Aoun Khassawneh, dans un communiqué rendu public samedi. "Les bureaux exécutifs des Frères musulmans et du Front de l'action islamique (FAI) ont décidé, lors d'une réunion conjointe, de refuser de participer au gouvernement" de M. Khassawneh, annonce un communiqué publié sur le site internet des Frères musulmans. "La délégation chargée de négocier avec M. Khassawneh remettra au Premier ministre désigné une liste des revendications du mouvement islamique", ajoute le texte, sans donner de précisions sur ces revendications. Aoun Khassawneh, 61 ans, juge à la Cour internationale de justice à La Haye depuis 2000, a été nommé lundi Premier ministre par le roi Abdallah II dans le cadre d'un processus de réformes dans le royaume. M. Khassawneh a rencontré jeudi des représentants de l'opposition islamique, qu'il souhaitait inclure dans son gouvernement. Kenya L'armée traque toujours les Shebab L'armée kenyane a progressé samedi dans les territoires somaliens sous contrôle des milices Shebab, selon des officiels de l'armée kenyane. Les troupes kenyanes, ayant pris le contrôle d'Oddo et de cinq autres villes, avancent vers la ville de Burgavo conjointement avec celles du gouvernement de transition somalien, et des sources vivant près de la frontière entre le Kenya et la Somalie. A Kolbio, ville somalienne tombée entre les mains des militaires kenyans, un commandant kenyan a déclaré que ceux-ci se dirigent vers la ville de Badede, qui avait fait l'objet de bombardement aériens. L'armée kenyane a également démenti la mort de quelque 70 soldats de la Mission de maintien de la paix de l'Union africaine en Somalie (Amisom), affirmant avoir perdu seulement cinq soldats dans la chute d'un hélicoptère depuis le début de l'opération en cours, déclenchée il y a sept jours contre les Shebab, responsables des derniers enlèvements d'Européennes au Kenya.