Le cinéma algérien est à l'honneur de la 6e édition de la Semaine nationale du film à Nouakchott (Senaf) qui se tient en étroite collaboration entre L'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et son homologue mauritanien. Le cinéma algérien est à l'honneur de la 6e édition de la Semaine nationale du film à Nouakchott (Senaf) qui se tient en étroite collaboration entre L'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) et son homologue mauritanien. L'Algérie est invitée d'honneur de la 6e édition de la Semaine nationale du film mauritanien qui se déroule depuis le 23 octobre et se clôturera le 29 mois en cours. Cette participation en force s'est tenue grâce à l'étroite collaboration entre l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel et son homologue mauritanien. Trois films algériens participent, pour la première fois, à ce grand événement culturel à la Maison des cinéastes en Mauritanie. Ainsi, le long métrage Essaha de Dahmane Ouzid et le court métrage Garagouz de Abdenour Zahzah sont respectivement sélectionnés à concourir dans la catégorie internationale de la compétition officielle. Le film Hors la loi coproduction de l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel et du réalisateur Rachid Bouchareb sera, lui, présenté au public mauritanien en marge de cette semaine cinématographique. A l'occasion de cet événement, le Senaf réserve un espace d'exposition à l'AARC pour présenter à la fois ses activités et ses nombreuses contributions de promotion et de diffusion de la culture algérienne, et accueille un représentant de celle-ci pour marquer la volonté de renforcer les liens de coopérations entre l'AARC et la Maison des cinéastes, l'instance qui organise cet évènement. Sous le haut patronnage du ministère mauritanien de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, la 6e édition du Senaf, présidé par monsieur Mohamed Ould Idoumou et a pour slogan cette année «La ville…plan d'ensemble», a proposé des ateliers cinématographiques avec le réalisateur Abderrahmane Sissako (le 20 octobre) au profit des participants au programme «Parlez-vous le langage de l'image ?» des ateliers qui ont précédé le début des compétions officielles. La Semaine nationale du film à Nouakchott se veut un événement à la fois régional et international. Aux côtés de l'Algérie seront présents : le Maroc, la Tunisie, la Lybie, le Liban, l'Arabie saoudite, le Cameroun, le Brésil, la France, la Suisse et enfin l'Angleterre. Le festival fera aussi la part belle aux nouveaux talents locaux, avec la projection de plusieurs productions de jeunes cinéastes mauritaniens dans différents lieux de projection dans la capitale Nouakchott. La Senaf, à force d'efforts, d'ouverture et de créativité est devenue l'événement incontournable dans l'agenda culturel de Nouakchott, voire de la sous-région. Pour chaque édition, la Senaf enregistre la participation de cinéastes étrangers venus d'Afrique, d'Europe et du monde rabe… «Une ville sans culture est une ville sans âme. C'est par la culture que nous exprimons la richesse de notre savoir, de notre savoir-faire, de nos valeurs, de notre histoire… de ce qui constitue notre identité et sa diversité. La culture du cinéma est la conjugaison de la créativité, de l'art et de la beauté, du passé, du présent et de l'avenir. Elle sert de pont entre les générations, de lien entre les communautés, de repère pour nos jeunes.» Ces mot du président de la CUN, Ahmed Hamza, prononcés en octobre 2010 traduisent bien ce qui se passe à la Maison des cinéastes, initiatrice de la Senaf. Dans cette maison, la diversité n'est pas seulement proclamée, elle est vécue au quotidien. L'Algérie est invitée d'honneur de la 6e édition de la Semaine nationale du film mauritanien qui se déroule depuis le 23 octobre et se clôturera le 29 mois en cours. Cette participation en force s'est tenue grâce à l'étroite collaboration entre l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel et son homologue mauritanien. Trois films algériens participent, pour la première fois, à ce grand événement culturel à la Maison des cinéastes en Mauritanie. Ainsi, le long métrage Essaha de Dahmane Ouzid et le court métrage Garagouz de Abdenour Zahzah sont respectivement sélectionnés à concourir dans la catégorie internationale de la compétition officielle. Le film Hors la loi coproduction de l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel et du réalisateur Rachid Bouchareb sera, lui, présenté au public mauritanien en marge de cette semaine cinématographique. A l'occasion de cet événement, le Senaf réserve un espace d'exposition à l'AARC pour présenter à la fois ses activités et ses nombreuses contributions de promotion et de diffusion de la culture algérienne, et accueille un représentant de celle-ci pour marquer la volonté de renforcer les liens de coopérations entre l'AARC et la Maison des cinéastes, l'instance qui organise cet évènement. Sous le haut patronnage du ministère mauritanien de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, la 6e édition du Senaf, présidé par monsieur Mohamed Ould Idoumou et a pour slogan cette année «La ville…plan d'ensemble», a proposé des ateliers cinématographiques avec le réalisateur Abderrahmane Sissako (le 20 octobre) au profit des participants au programme «Parlez-vous le langage de l'image ?» des ateliers qui ont précédé le début des compétions officielles. La Semaine nationale du film à Nouakchott se veut un événement à la fois régional et international. Aux côtés de l'Algérie seront présents : le Maroc, la Tunisie, la Lybie, le Liban, l'Arabie saoudite, le Cameroun, le Brésil, la France, la Suisse et enfin l'Angleterre. Le festival fera aussi la part belle aux nouveaux talents locaux, avec la projection de plusieurs productions de jeunes cinéastes mauritaniens dans différents lieux de projection dans la capitale Nouakchott. La Senaf, à force d'efforts, d'ouverture et de créativité est devenue l'événement incontournable dans l'agenda culturel de Nouakchott, voire de la sous-région. Pour chaque édition, la Senaf enregistre la participation de cinéastes étrangers venus d'Afrique, d'Europe et du monde rabe… «Une ville sans culture est une ville sans âme. C'est par la culture que nous exprimons la richesse de notre savoir, de notre savoir-faire, de nos valeurs, de notre histoire… de ce qui constitue notre identité et sa diversité. La culture du cinéma est la conjugaison de la créativité, de l'art et de la beauté, du passé, du présent et de l'avenir. Elle sert de pont entre les générations, de lien entre les communautés, de repère pour nos jeunes.» Ces mot du président de la CUN, Ahmed Hamza, prononcés en octobre 2010 traduisent bien ce qui se passe à la Maison des cinéastes, initiatrice de la Senaf. Dans cette maison, la diversité n'est pas seulement proclamée, elle est vécue au quotidien.