Après le contrat relatif à la coopération dans le domaine de la production pharmaceutique, conclu récemment entre des firmes américaines et des entreprises algériennes, dont l'objectif essentiel consiste à faire de l'Algérie la plaque tournante et le dragon des biotechnologies en Afrique, les responsables américains ont affirmé leur intérêt aux réformes politiques et économiques en Algérie sachant que le processus de transformation de l'économie national a apporté des résultats probants. Après le contrat relatif à la coopération dans le domaine de la production pharmaceutique, conclu récemment entre des firmes américaines et des entreprises algériennes, dont l'objectif essentiel consiste à faire de l'Algérie la plaque tournante et le dragon des biotechnologies en Afrique, les responsables américains ont affirmé leur intérêt aux réformes politiques et économiques en Algérie sachant que le processus de transformation de l'économie national a apporté des résultats probants. Ainsi, le sous-secrétaire d'Etat adjoint américain chargé du Maghreb, Raymond Maxwell, a indiqué que «le gouvernement algérien qui s'est engagé dans des réformes politiques a choisi la bonne voie». Au terme de sa récente visite à Alger, M. Maxwell a réaffirmé la volonté de l'administration américaine concernant la dynamisation, la diversification et l'intensification des relations économiques et politiques entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique. Il a souligné que le chemin parcouru par les réformes est appréciable. «Je crois qu'il est très facile de constater que le gouvernement algérien (...) a choisi la bonne voie en adoptant des réformes politiques», tout en précisant que «l'immense liberté» en Algérie est un acquis démocratique dont jouissent actuellement les médias algériens. Mais, la coopération économique multilatérale entre les deux pays a été, également, au centre des négociations entre les responsables des deux pays, en ce sens que, sur le plan de la coopération bilatérale, M. Maxwell a rappelé l'existence d'un partenariat «important et stratégique qu'il faut consolider» entre l'Algérie et les Etats-Unis basé essentiellement sur «l'amitié». La valse des diplomates américains à Alger et le défilé des hommes d'affaires et des investisseurs US, ces dernières années, montrent le raffermissement des rapports économiques mutuels. Ce qui a fait dire à M. Maxwell que «l'Algérie et les Etats-Unis ont beaucoup d'intérêts communs qu'il va falloir développer». Depuis le début du mois de novembre, les contacts entre les responsables des deux pays se sont multipliés, car la coopération algéro-américaine a été mise en relief par le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, et l'ambassadeur des USA à Alger, qui ont passé en revue le partenariat dans le domaine énergétique, notamment le volet pétrochimique. Selon le ministère de l'Energie et des Mines, les deux responsables ont axé leurs pourparlers sur «la coopération dans les domaines des hydrocarbures, des mines, et les possibilités de partenariat dans le domaine de la pétrochimie», mais, les deux parties ont aussi examiné les opportunités de partenariat dans le secteur de la fabrication locale d'équipements entrant dans l'industrie pétrochimique et le programme national des énergies renouvelables «sachant que les entreprises algériennes attendent beaucoup de la coopération avec des entreprises étrangères, notamment dans le domaine solaire». Ainsi, le sous-secrétaire d'Etat adjoint américain chargé du Maghreb, Raymond Maxwell, a indiqué que «le gouvernement algérien qui s'est engagé dans des réformes politiques a choisi la bonne voie». Au terme de sa récente visite à Alger, M. Maxwell a réaffirmé la volonté de l'administration américaine concernant la dynamisation, la diversification et l'intensification des relations économiques et politiques entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique. Il a souligné que le chemin parcouru par les réformes est appréciable. «Je crois qu'il est très facile de constater que le gouvernement algérien (...) a choisi la bonne voie en adoptant des réformes politiques», tout en précisant que «l'immense liberté» en Algérie est un acquis démocratique dont jouissent actuellement les médias algériens. Mais, la coopération économique multilatérale entre les deux pays a été, également, au centre des négociations entre les responsables des deux pays, en ce sens que, sur le plan de la coopération bilatérale, M. Maxwell a rappelé l'existence d'un partenariat «important et stratégique qu'il faut consolider» entre l'Algérie et les Etats-Unis basé essentiellement sur «l'amitié». La valse des diplomates américains à Alger et le défilé des hommes d'affaires et des investisseurs US, ces dernières années, montrent le raffermissement des rapports économiques mutuels. Ce qui a fait dire à M. Maxwell que «l'Algérie et les Etats-Unis ont beaucoup d'intérêts communs qu'il va falloir développer». Depuis le début du mois de novembre, les contacts entre les responsables des deux pays se sont multipliés, car la coopération algéro-américaine a été mise en relief par le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, et l'ambassadeur des USA à Alger, qui ont passé en revue le partenariat dans le domaine énergétique, notamment le volet pétrochimique. Selon le ministère de l'Energie et des Mines, les deux responsables ont axé leurs pourparlers sur «la coopération dans les domaines des hydrocarbures, des mines, et les possibilités de partenariat dans le domaine de la pétrochimie», mais, les deux parties ont aussi examiné les opportunités de partenariat dans le secteur de la fabrication locale d'équipements entrant dans l'industrie pétrochimique et le programme national des énergies renouvelables «sachant que les entreprises algériennes attendent beaucoup de la coopération avec des entreprises étrangères, notamment dans le domaine solaire».