Il faut dire que les enfants ont droit à de la joie et que l'on s'occupe d'eux. Dimanche dernier, premier jour de l'Aïd el-adha, des membres de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a rendu visite aux enfants du village SOS Draria, à Alger. Pour cette journée, symbole de solidarité, les enfants du village, arborant des habits neufs offerts par des bienfaiteurs, ont partagé des moments de bonheur avec la caravane de proximité de la DGSN qui leur a exprimé de l'attention et de l'affection. Distribuer des cadeaux aux enfants dans leurs charmantes demeures respectives, était un autre geste de soutien de la part de la Sûreté nationale que les habitants du village ont accueilli avec joie. Les éducatrices, ou plutôt les mamans des enfants des 14 foyers du village ont également eu droit à des présents en signe de reconnaissance pour tout le travail qu'elles accomplissent et l'amour qu'elles apportent aux 180 enfants du village. Des mamans, chefs de famille qui comprennent des fratries, s'attèlent quotidiennement à apporter de l'affection à des innocents sevrés de chaleur familiale. Après la tournée de distribution de cadeaux, jouets pour les petits et parfums pour les adultes, les hôtes du village ont partagé le moment fort de la journée en assistant au sacrifice du mouton, dont le nombre est comparativement à celui des foyers nettement supérieur. Malgré une pluie battante, l'ambiance était bon enfant. Le directeur de communication, Djilali Boudalia, de même que la commissaire principale, chef de bureau à la direction de la police judiciaire, Kheira Messaoudène, qui ont conduit la caravane, ont exprimé leur plaisir de «partager des moments de liesse» avec les enfants du village. Pour M. Boudalia, cette «présence symbolique» a pour objectif de «renforcer les liens de proximité de la police avec l'ensemble les couches sociales». C'est dire l'Aïd reste ainsi une autre opportunité pour la DGSN de poursuivre son programme d'activités, mené au niveau des écoles, des hôpitaux, des maisons de vieillesse et autres structures, dans le cadre de la police de proximité. Il faut dire que les enfants ont droit à de la joie et que l'on s'occupe d'eux. Dimanche dernier, premier jour de l'Aïd el-adha, des membres de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a rendu visite aux enfants du village SOS Draria, à Alger. Pour cette journée, symbole de solidarité, les enfants du village, arborant des habits neufs offerts par des bienfaiteurs, ont partagé des moments de bonheur avec la caravane de proximité de la DGSN qui leur a exprimé de l'attention et de l'affection. Distribuer des cadeaux aux enfants dans leurs charmantes demeures respectives, était un autre geste de soutien de la part de la Sûreté nationale que les habitants du village ont accueilli avec joie. Les éducatrices, ou plutôt les mamans des enfants des 14 foyers du village ont également eu droit à des présents en signe de reconnaissance pour tout le travail qu'elles accomplissent et l'amour qu'elles apportent aux 180 enfants du village. Des mamans, chefs de famille qui comprennent des fratries, s'attèlent quotidiennement à apporter de l'affection à des innocents sevrés de chaleur familiale. Après la tournée de distribution de cadeaux, jouets pour les petits et parfums pour les adultes, les hôtes du village ont partagé le moment fort de la journée en assistant au sacrifice du mouton, dont le nombre est comparativement à celui des foyers nettement supérieur. Malgré une pluie battante, l'ambiance était bon enfant. Le directeur de communication, Djilali Boudalia, de même que la commissaire principale, chef de bureau à la direction de la police judiciaire, Kheira Messaoudène, qui ont conduit la caravane, ont exprimé leur plaisir de «partager des moments de liesse» avec les enfants du village. Pour M. Boudalia, cette «présence symbolique» a pour objectif de «renforcer les liens de proximité de la police avec l'ensemble les couches sociales». C'est dire l'Aïd reste ainsi une autre opportunité pour la DGSN de poursuivre son programme d'activités, mené au niveau des écoles, des hôpitaux, des maisons de vieillesse et autres structures, dans le cadre de la police de proximité.