Des chiffres éloquents qui renseignent sur une pratique qui semble bien établie au sein des sociétés étrangères implantées en Algérie. En effet le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a indiqué jeudi que l'Inspection du travail avait établi, durant le premier semestre de 2011 2.130 procès-verbaux d'infraction à la législation du travail à l'encontre d'étrangers travaillant en Algérie sans permis ni autorisation de travail. Ce sont pas moins de «6.326 visites d'inspection dans des sociétés implantées en Algérie, dont 1.106 dans le Sud, ont été effectuées durant cette période, lesquelles ont permis l'établissement de 260 procès-verbaux contre les sociétés et 2.130 procès-verbaux d'infraction contre des travailleurs étrangers», a souligné le ministre qui répondait aux questions orales des membres du Conseil de la nation ajoutant que les procès-verbaux ont été adressés aux juridictions compétentes. En 2010, 3.154 entreprises étrangères et nationales, dont 573 implantées dans le Sud, ont fait l'objet de visites de contrôle, a-t-il ajouté. Ces visites de contrôle ont débouché sur l'établissement de 741 procès-verbaux d'infraction à l'encontre des sociétés employant une main d'œuvre étrangère de manière contraire aux dispositions juridiques en vigueur et 4.987 procès-verbaux ont été dressés contre les travailleurs étrangers ne disposant pas de permis de travail en Algérie, a ajouté le ministre qui souligne avoir donné des instructions en faveur de l'intensification des opérations d'inspection auprès des sociétés étrangères afin de vérifier si ces dernières remplissaient les conditions juridiques d'emploi de la main d'œuvre étrangère tout en informant les autorités locales et les services chargés de l'emploi au niveau local de toute infraction enregistrée en la matière. Tayeb Louh a mis en exergue le fait que le secteur du travail veille à mettre en place des mécanismes et des mesures réglementaires strictes afin de réguler la main d'ouvre étrangère. Selon le ministre, il s'agit d'accorder la priorité à la main d'œuvre algérienne et de s'assurer que la main d'œuvre étrangère possède des qualifications qui manquent au travailleur algérien, relevant que le recours à la main d'œuvre étrangère spécialisée demeure exceptionnel et concerne essentiellement les spécialités que le marché du travail ne saurait fournir notamment dans les grands projet de réalisation de barrages et des lignes de tramway. Des chiffres éloquents qui renseignent sur une pratique qui semble bien établie au sein des sociétés étrangères implantées en Algérie. En effet le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh, a indiqué jeudi que l'Inspection du travail avait établi, durant le premier semestre de 2011 2.130 procès-verbaux d'infraction à la législation du travail à l'encontre d'étrangers travaillant en Algérie sans permis ni autorisation de travail. Ce sont pas moins de «6.326 visites d'inspection dans des sociétés implantées en Algérie, dont 1.106 dans le Sud, ont été effectuées durant cette période, lesquelles ont permis l'établissement de 260 procès-verbaux contre les sociétés et 2.130 procès-verbaux d'infraction contre des travailleurs étrangers», a souligné le ministre qui répondait aux questions orales des membres du Conseil de la nation ajoutant que les procès-verbaux ont été adressés aux juridictions compétentes. En 2010, 3.154 entreprises étrangères et nationales, dont 573 implantées dans le Sud, ont fait l'objet de visites de contrôle, a-t-il ajouté. Ces visites de contrôle ont débouché sur l'établissement de 741 procès-verbaux d'infraction à l'encontre des sociétés employant une main d'œuvre étrangère de manière contraire aux dispositions juridiques en vigueur et 4.987 procès-verbaux ont été dressés contre les travailleurs étrangers ne disposant pas de permis de travail en Algérie, a ajouté le ministre qui souligne avoir donné des instructions en faveur de l'intensification des opérations d'inspection auprès des sociétés étrangères afin de vérifier si ces dernières remplissaient les conditions juridiques d'emploi de la main d'œuvre étrangère tout en informant les autorités locales et les services chargés de l'emploi au niveau local de toute infraction enregistrée en la matière. Tayeb Louh a mis en exergue le fait que le secteur du travail veille à mettre en place des mécanismes et des mesures réglementaires strictes afin de réguler la main d'ouvre étrangère. Selon le ministre, il s'agit d'accorder la priorité à la main d'œuvre algérienne et de s'assurer que la main d'œuvre étrangère possède des qualifications qui manquent au travailleur algérien, relevant que le recours à la main d'œuvre étrangère spécialisée demeure exceptionnel et concerne essentiellement les spécialités que le marché du travail ne saurait fournir notamment dans les grands projet de réalisation de barrages et des lignes de tramway.