La diplomatie algérienne fait montre d'un dynamisme agissant ces derniers mois, notamment sur le plan régional. La sécurisation de la sous-région du Sahel, objet de toutes les convoitises occidentales, elle en fait son cheval de bataille. La diplomatie algérienne fait montre d'un dynamisme agissant ces derniers mois, notamment sur le plan régional. La sécurisation de la sous-région du Sahel, objet de toutes les convoitises occidentales, elle en fait son cheval de bataille. La concertation politique et diplomatique entre les pays concernés passe désormais par Alger. En l'espace de quelques semaines seulement en effet, le président malien et les ministres des Affaires étrangères de Mauritanie et du Niger se sont succédés en Algérie. Cela sans compter la visite du chef de la diplomatie égyptienne et les rencontres internationales sur la sécurité dans le Sahel organisées depuis septembre dernier. A son arrivée hier, le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères de l'intégration africaine et des Nigériens à l'étranger, Mohamed Bazouma indiqué que L'Algérie et le Niger entretiennent des relations "excellentes" et celles-ci sont actuellement dans un "processus concertation". "Nos relations sont excellentes car il y va de l'intérêt des deux pays. Nous sommes dans un processus de concertation", a déclaré à la presse Bazoum, à son arrivée tôt hier à l'aéroport international Houari-Boumediene d'Alger. Le haut responsable nigérien qui a été accueilli à son arrivé par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébine et africaine, Abdelkader Messahel, a souligné dans le même contexte, que les deux Etats entretiennent depuis un certain temps une relation "intense" de "constatation" pour trouver des solutions à la sous-région "perturbée" par un certain nombre de facteurs. "Nous avons une sous-région qui est perturbée par un certain nombre de facteurs que vous connaissez bien. Donc, nous avons depuis un certain temps entretenu une relation intense de constatation à l'effet de prendre en charge ce programme ensemble en mettant en commun nos moyens et notre intelligence ainsi que notre engagement", a-t-il expliqué. Evoquant l'objet de sa visite en Algérie, le chef de la diplomatie nigérienne a déclaré qu'il était venu dans le cadre de la commission mixte algéro-nigérienne et pour signer un nombre de protocoles d'accord dans différents domaines, notamment technique, culturel, commercial et économique. La concertation politique et diplomatique entre les pays concernés passe désormais par Alger. En l'espace de quelques semaines seulement en effet, le président malien et les ministres des Affaires étrangères de Mauritanie et du Niger se sont succédés en Algérie. Cela sans compter la visite du chef de la diplomatie égyptienne et les rencontres internationales sur la sécurité dans le Sahel organisées depuis septembre dernier. A son arrivée hier, le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères de l'intégration africaine et des Nigériens à l'étranger, Mohamed Bazouma indiqué que L'Algérie et le Niger entretiennent des relations "excellentes" et celles-ci sont actuellement dans un "processus concertation". "Nos relations sont excellentes car il y va de l'intérêt des deux pays. Nous sommes dans un processus de concertation", a déclaré à la presse Bazoum, à son arrivée tôt hier à l'aéroport international Houari-Boumediene d'Alger. Le haut responsable nigérien qui a été accueilli à son arrivé par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébine et africaine, Abdelkader Messahel, a souligné dans le même contexte, que les deux Etats entretiennent depuis un certain temps une relation "intense" de "constatation" pour trouver des solutions à la sous-région "perturbée" par un certain nombre de facteurs. "Nous avons une sous-région qui est perturbée par un certain nombre de facteurs que vous connaissez bien. Donc, nous avons depuis un certain temps entretenu une relation intense de constatation à l'effet de prendre en charge ce programme ensemble en mettant en commun nos moyens et notre intelligence ainsi que notre engagement", a-t-il expliqué. Evoquant l'objet de sa visite en Algérie, le chef de la diplomatie nigérienne a déclaré qu'il était venu dans le cadre de la commission mixte algéro-nigérienne et pour signer un nombre de protocoles d'accord dans différents domaines, notamment technique, culturel, commercial et économique.