«La clôture des réunions régionales wilayales vont consacrer la mise en place d'un programme national des réformes politiques, sociales et économiques en mettant en relief les recommandations des assises nationales versées dans des plans nationaux de développement», a, notamment déclaré, hier au Palais des nations, le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babès, lors de la réunion régionale initiée par la wilaya d'Alger. Il a souligné «qu'aujourd'hui, l'important consiste à témoigner de l'intérêt accordé au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs concernant l'apologie de la première étape de notre exercice et les orientations du président de la République». En présence de Julienne Danzel, membre du Panel africain d'évaluation par les pairs, et chargée du suivi des réformes en Algérie, et de M. Nimbo, également membre de cette institution, Babès a indiqué que «la bonne gouvernance tend à évaluer et maximiser tous les potentiels propres au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs dont l'Algérie est adhérente depuis 2007 et qui accepte les observations, sachant que Danzel suit actuellement les travaux des ateliers, notamment en ce qui concerne la démocratie participative à ciel ouvert».Précisant qu'«avant, les sessions spécialisées avaient pour objet essentiel de permettre aux participants de discuter, chacun dans son compartiment, qui était un espace d'écoute attentive en présence de l'ensemble des acteurs de base des wilayas, des daïras et des communes. Cela dit, la société civile, les élus locaux comme tels ont décortiqué les préoccupations des citoyens en toute transparence et démocratie». La partie théorique, d'observation et d'écoute des préoccupations des citoyens étant, donc, achevée après un long périple ayant conduit Babès dans l'ensemble des 48 wilayas du pays qu'il a sillonnées depuis de longs mois, il s'agit, pour le moment, selon certains observateurs, de mener à bien, sur le terrain, la stratégie de développement local durable en prenant en considération les difficultés socioéconomiques des citoyens. Ainsi, le Cnes et les autorités locales des différentes wilayas du pays vont s'efforcer impérieusement à traduire, dans la réalité, toutes les préoccupations et les attentes des habitants. Autrement dit, la phase de concrétisation de la politique nationale de développement durable doit commencer le plus rapidement possible et dans les meilleurs délais, tant la volonté politique, les ressources humaines et financières existent. Le plus important, aujourd'hui, consiste à faire preuve de probité et de fidélité aux engagements pris pour développer toutes les wilayas en général, et les régions les plus démunies du pays en particulier, sachant que certaines régions désertiques et certaines localités montagneuses en Algérie nécessitent une attention particulière des pouvoirs publics pour leur assurer le développement durable Enrayer le sous-développement économique chronique Ces réunions régionales d'évaluation des besoins vitaux des citoyens intervenant après le recensement économique, ont une importance particulière, en ce sens que certains économistes, sociologues et démographes estiment que le pragmatisme des orientations politiques et économiques contenues dans les programmes et plans du Cnes doivent absolument consacrer le décollage économique du pays. Le cas contraire engendrerait des déséquilibres socioéconomiques graves et des inégalités sociales conduisant à la paupérisation et à la dégradation du pouvoir d'achat des citoyens.Aussi, la réussite des programmes de développement local préconisés par le Cnes et les différents responsables au niveau des wilayas permettra de réduire les disparités entre les différentes classes sociales. L'évolution politique, économique et sociale du pays est tributaire, affirment des observateurs, du degré de maturation des mentalités des autorités du pays et de la volonté intrinsèque de favoriser le développement durable tout en assurant la promotion u développement humain. En principe, avec les ressources financières dont dispose le pays et l'aisance monétaire sans précédent, il est possible d'accélérer le processus de développement local, soulignent des observateurs, pourvu que le management et le pilotage des projets économiques soient modernes et tenant compte de la réalité du pays. Les habitants de toutes les wilayas aspirent au développement durable local en termes de création de richesses et d'emplois par le biais de la prolifération des entreprises et des PME, l'alimentation en eau potable et en gaz naturel, les routes... en permanence, mais également en participant activement à la gestion des affaires publiques à travers la consultation et la concertation. C'est l'essence même de la démocratie participative permettant aux citoyens de s'impliquer directement dans le développement de leurs communes. «La clôture des réunions régionales wilayales vont consacrer la mise en place d'un programme national des réformes politiques, sociales et économiques en mettant en relief les recommandations des assises nationales versées dans des plans nationaux de développement», a, notamment déclaré, hier au Palais des nations, le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed-Seghir Babès, lors de la réunion régionale initiée par la wilaya d'Alger. Il a souligné «qu'aujourd'hui, l'important consiste à témoigner de l'intérêt accordé au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs concernant l'apologie de la première étape de notre exercice et les orientations du président de la République». En présence de Julienne Danzel, membre du Panel africain d'évaluation par les pairs, et chargée du suivi des réformes en Algérie, et de M. Nimbo, également membre de cette institution, Babès a indiqué que «la bonne gouvernance tend à évaluer et maximiser tous les potentiels propres au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs dont l'Algérie est adhérente depuis 2007 et qui accepte les observations, sachant que Danzel suit actuellement les travaux des ateliers, notamment en ce qui concerne la démocratie participative à ciel ouvert».Précisant qu'«avant, les sessions spécialisées avaient pour objet essentiel de permettre aux participants de discuter, chacun dans son compartiment, qui était un espace d'écoute attentive en présence de l'ensemble des acteurs de base des wilayas, des daïras et des communes. Cela dit, la société civile, les élus locaux comme tels ont décortiqué les préoccupations des citoyens en toute transparence et démocratie». La partie théorique, d'observation et d'écoute des préoccupations des citoyens étant, donc, achevée après un long périple ayant conduit Babès dans l'ensemble des 48 wilayas du pays qu'il a sillonnées depuis de longs mois, il s'agit, pour le moment, selon certains observateurs, de mener à bien, sur le terrain, la stratégie de développement local durable en prenant en considération les difficultés socioéconomiques des citoyens. Ainsi, le Cnes et les autorités locales des différentes wilayas du pays vont s'efforcer impérieusement à traduire, dans la réalité, toutes les préoccupations et les attentes des habitants. Autrement dit, la phase de concrétisation de la politique nationale de développement durable doit commencer le plus rapidement possible et dans les meilleurs délais, tant la volonté politique, les ressources humaines et financières existent. Le plus important, aujourd'hui, consiste à faire preuve de probité et de fidélité aux engagements pris pour développer toutes les wilayas en général, et les régions les plus démunies du pays en particulier, sachant que certaines régions désertiques et certaines localités montagneuses en Algérie nécessitent une attention particulière des pouvoirs publics pour leur assurer le développement durable Enrayer le sous-développement économique chronique Ces réunions régionales d'évaluation des besoins vitaux des citoyens intervenant après le recensement économique, ont une importance particulière, en ce sens que certains économistes, sociologues et démographes estiment que le pragmatisme des orientations politiques et économiques contenues dans les programmes et plans du Cnes doivent absolument consacrer le décollage économique du pays. Le cas contraire engendrerait des déséquilibres socioéconomiques graves et des inégalités sociales conduisant à la paupérisation et à la dégradation du pouvoir d'achat des citoyens.Aussi, la réussite des programmes de développement local préconisés par le Cnes et les différents responsables au niveau des wilayas permettra de réduire les disparités entre les différentes classes sociales. L'évolution politique, économique et sociale du pays est tributaire, affirment des observateurs, du degré de maturation des mentalités des autorités du pays et de la volonté intrinsèque de favoriser le développement durable tout en assurant la promotion u développement humain. En principe, avec les ressources financières dont dispose le pays et l'aisance monétaire sans précédent, il est possible d'accélérer le processus de développement local, soulignent des observateurs, pourvu que le management et le pilotage des projets économiques soient modernes et tenant compte de la réalité du pays. Les habitants de toutes les wilayas aspirent au développement durable local en termes de création de richesses et d'emplois par le biais de la prolifération des entreprises et des PME, l'alimentation en eau potable et en gaz naturel, les routes... en permanence, mais également en participant activement à la gestion des affaires publiques à travers la consultation et la concertation. C'est l'essence même de la démocratie participative permettant aux citoyens de s'impliquer directement dans le développement de leurs communes.