Le blanchiment d'argent est un élément des techniques de la criminalité financière. C'est l'action de dissimuler la provenance d'argent acquis de manière illégale (spéculations illégales, activités mafieuses, trafics de drogue, d'armes, extorsion, corruption…) afin de le réinvestir dans des activités légales. C'est une étape importante, car sans le blanchiment, les criminels ne pourraient pas utiliser de façon massive ces revenus illégaux sans être repérés. En amont du blanchiment, il y a toujours une infraction sous-jacente, c'est-à-dire une activité dont le revenu est considéré comme de l'argent sale. Ces infractions sont listées par le Groupe d'action financière (GAFI) et dans le code pénal de chaque pays. Le noircissement d'argent est l'inverse du blanchiment d'argent. L'expression «blanchiment d'argent» vient du fait que l'argent acquis illégalement est appelé de l'argent sale (finance noire). Cet argent est, souvent, issu de trafics d'armes, de drogue, d'êtres humains ou d'autres activités mafieuses. Le blanchiment permet à cet argent de passer pour propre, c'est-à-dire de prendre une apparence honnête. Une autre origine, peu vraisemblable, est souvent avancée : l'expression «blanchiment d'argent» viendrait du fait que le célèbre Al Capone aurait racheté en 1928, à Chicago, une chaîne de blanchisseries. Cette façade légale lui permettait, ainsi, de recycler les ressources tirées de ses nombreuses activités illicites, mais il aura fallu attendre 1982 pour qu'elle soit utilisée dans une affaire judiciaire. Le blanchiment d'argent est un élément des techniques de la criminalité financière. C'est l'action de dissimuler la provenance d'argent acquis de manière illégale (spéculations illégales, activités mafieuses, trafics de drogue, d'armes, extorsion, corruption…) afin de le réinvestir dans des activités légales. C'est une étape importante, car sans le blanchiment, les criminels ne pourraient pas utiliser de façon massive ces revenus illégaux sans être repérés. En amont du blanchiment, il y a toujours une infraction sous-jacente, c'est-à-dire une activité dont le revenu est considéré comme de l'argent sale. Ces infractions sont listées par le Groupe d'action financière (GAFI) et dans le code pénal de chaque pays. Le noircissement d'argent est l'inverse du blanchiment d'argent. L'expression «blanchiment d'argent» vient du fait que l'argent acquis illégalement est appelé de l'argent sale (finance noire). Cet argent est, souvent, issu de trafics d'armes, de drogue, d'êtres humains ou d'autres activités mafieuses. Le blanchiment permet à cet argent de passer pour propre, c'est-à-dire de prendre une apparence honnête. Une autre origine, peu vraisemblable, est souvent avancée : l'expression «blanchiment d'argent» viendrait du fait que le célèbre Al Capone aurait racheté en 1928, à Chicago, une chaîne de blanchisseries. Cette façade légale lui permettait, ainsi, de recycler les ressources tirées de ses nombreuses activités illicites, mais il aura fallu attendre 1982 pour qu'elle soit utilisée dans une affaire judiciaire.