« La Turquie est le 7e client de l'Algérie avec des échanges commerciaux de l'ordre de 2,4 milliards dollars et le 8e fournisseur avec 1,5 milliard dollars en 2010. Notre objectif dans l'immédiat consiste à développer davantage nos relations économiques et commerciales en intensifiant le développement de nouvelles opportunités de partenariat entre les hommes d'affaires et les entreprises algériens et turcs», a notamment déclaré, hier, Tahar Khellili, président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie, lors de la cérémonie d'inauguration de la première foire des produits turcs en Algérie qui se déroule au Palais des expositions de la Safex et qui dure quatre jours. « La Turquie est le 7e client de l'Algérie avec des échanges commerciaux de l'ordre de 2,4 milliards dollars et le 8e fournisseur avec 1,5 milliard dollars en 2010. Notre objectif dans l'immédiat consiste à développer davantage nos relations économiques et commerciales en intensifiant le développement de nouvelles opportunités de partenariat entre les hommes d'affaires et les entreprises algériens et turcs», a notamment déclaré, hier, Tahar Khellili, président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie, lors de la cérémonie d'inauguration de la première foire des produits turcs en Algérie qui se déroule au Palais des expositions de la Safex et qui dure quatre jours. Il s'agit, selon lui, de développer des rapports économiques mutuellement bénéfiques pour les deux pays insistant sur le fait que les opérateurs économiques et les investisseurs sont prêts à investir en Algérie qui renferme des potentialités importantes dans une sphère économique où existe la liberté d'entreprendre régie par des textes garantissant la promotion de l'investissement. «L'Algérie a consolidé l'allègement des procédures administratives et possède un programme national de développement économique ambitieux doté de 286 milliards dollars pour le plan quinquennal 2010-2014, attractif, donc, pour les investisseurs étrangers», a-t-il ajouté, précisant que «les hommes d'affaires et les investisseurs turcs, ainsi que les industriels sont d'accord pour assurer le transfert de technologies et de savoir-faire au profit des entreprises algériennes». Selon Khelili, les pouvoirs publics sont déterminés «à dénicher des opportunités de coopération et de partenariat entre les sociétés algériennes et les entreprises turques», notamment dans les secteurs de la construction et agroalimentaire, sachant que plus de 200 entreprises turques sont opérationnelles en Algérie. Le président de la CACI a, par ailleurs, exhorté les investisseurs turcs à participer davantage aux projets de développement économique et industriel de l'Algérie en renforçant leur présence sur le marché national. «Le partenariat entre nos deux pays est équilibré et solide alors que les protocoles et les conventions entre la CACI et la Chambre de commerce d'Istanbul préconisent de meilleures conditions de travail», a-t-il souligné. Il s'agit, selon lui, de développer des rapports économiques mutuellement bénéfiques pour les deux pays insistant sur le fait que les opérateurs économiques et les investisseurs sont prêts à investir en Algérie qui renferme des potentialités importantes dans une sphère économique où existe la liberté d'entreprendre régie par des textes garantissant la promotion de l'investissement. «L'Algérie a consolidé l'allègement des procédures administratives et possède un programme national de développement économique ambitieux doté de 286 milliards dollars pour le plan quinquennal 2010-2014, attractif, donc, pour les investisseurs étrangers», a-t-il ajouté, précisant que «les hommes d'affaires et les investisseurs turcs, ainsi que les industriels sont d'accord pour assurer le transfert de technologies et de savoir-faire au profit des entreprises algériennes». Selon Khelili, les pouvoirs publics sont déterminés «à dénicher des opportunités de coopération et de partenariat entre les sociétés algériennes et les entreprises turques», notamment dans les secteurs de la construction et agroalimentaire, sachant que plus de 200 entreprises turques sont opérationnelles en Algérie. Le président de la CACI a, par ailleurs, exhorté les investisseurs turcs à participer davantage aux projets de développement économique et industriel de l'Algérie en renforçant leur présence sur le marché national. «Le partenariat entre nos deux pays est équilibré et solide alors que les protocoles et les conventions entre la CACI et la Chambre de commerce d'Istanbul préconisent de meilleures conditions de travail», a-t-il souligné.