Des eurodéputés ont réaffirmé leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et exprimé leur solidarité avec les victimes des violations des droits de l'Homme perpétrées par le Maroc au Sahara occidental. A l'occasion d'une visite d'une délégation de militants sahraouis des droits de l'Homme récemment à Bruxelles, des eurodéputés de différents groupes politiques, ont fait part également de leur solidarité avec les 21 prisonniers politiques sahraouis qui observent une grève de la faim depuis plus d'un mois. Après avoir été reçue par les présidents de la Commission des Affaires étrangères, et de la Délégation Maghreb du Parlement européen (PE), respectivement Gabriel Albertini et Antonio Panzeri, la délégation sahraouie a rencontré plusieurs responsables des institutions européennes. Elle a rencontré à cette occasion l'intergroupe "Paix pour le peuple sahraoui", auquel elle a exposé la situation "plus qu'alarmante" de la situation des droits de l'Homme dans les territoires occupés par le Maroc. A cet égard, le président de l'intergroupe Norbet Neuser a fait part de son intention de prendre des initiatives et "relayer la voix" des défenseurs des droits de l'Homme sahraouis tant au niveau du Parlement européen, qu'au niveau des institutions européennes, et de poursuivre "avec force" son engagement solidaire avec la cause sahraouie. Il a dénoncé aussi l'agression des forces marocaines contre l'eurodéputé Willy Meyer, vice-président de l'intergroupe, qu'elles ont empêché de se rendre dans les territoires sahraouis occupés. A ce sujet, M. Meyer, a décidé de saisir la représentante de l'Union européenne. L'intergroupe a également exprimé son opposition à la ratification par le Parlement européen de l'accord de pêche entre l'UE et le Maroc. L'eurodéputé Raul Romeva a indiqué à cet égard qu'"il s'agit d'un accord illégal sur le plan du droit international". Par ailleurs, la délégation sahraouie, qui a été reçue également au cabinet du président du PE, était accompagnée lors de cette visite, du ministre délégué pour l'Europe et membre du Secrétariat national du Front Polisario, Mohamed Sidati. Ce dernier a eu des entretiens avec des responsables des groupes politiques du Parlement européen, ainsi qu'avec des membres de la commission des droits de l'Homme. Des eurodéputés ont réaffirmé leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et exprimé leur solidarité avec les victimes des violations des droits de l'Homme perpétrées par le Maroc au Sahara occidental. A l'occasion d'une visite d'une délégation de militants sahraouis des droits de l'Homme récemment à Bruxelles, des eurodéputés de différents groupes politiques, ont fait part également de leur solidarité avec les 21 prisonniers politiques sahraouis qui observent une grève de la faim depuis plus d'un mois. Après avoir été reçue par les présidents de la Commission des Affaires étrangères, et de la Délégation Maghreb du Parlement européen (PE), respectivement Gabriel Albertini et Antonio Panzeri, la délégation sahraouie a rencontré plusieurs responsables des institutions européennes. Elle a rencontré à cette occasion l'intergroupe "Paix pour le peuple sahraoui", auquel elle a exposé la situation "plus qu'alarmante" de la situation des droits de l'Homme dans les territoires occupés par le Maroc. A cet égard, le président de l'intergroupe Norbet Neuser a fait part de son intention de prendre des initiatives et "relayer la voix" des défenseurs des droits de l'Homme sahraouis tant au niveau du Parlement européen, qu'au niveau des institutions européennes, et de poursuivre "avec force" son engagement solidaire avec la cause sahraouie. Il a dénoncé aussi l'agression des forces marocaines contre l'eurodéputé Willy Meyer, vice-président de l'intergroupe, qu'elles ont empêché de se rendre dans les territoires sahraouis occupés. A ce sujet, M. Meyer, a décidé de saisir la représentante de l'Union européenne. L'intergroupe a également exprimé son opposition à la ratification par le Parlement européen de l'accord de pêche entre l'UE et le Maroc. L'eurodéputé Raul Romeva a indiqué à cet égard qu'"il s'agit d'un accord illégal sur le plan du droit international". Par ailleurs, la délégation sahraouie, qui a été reçue également au cabinet du président du PE, était accompagnée lors de cette visite, du ministre délégué pour l'Europe et membre du Secrétariat national du Front Polisario, Mohamed Sidati. Ce dernier a eu des entretiens avec des responsables des groupes politiques du Parlement européen, ainsi qu'avec des membres de la commission des droits de l'Homme.