L'Algérie compte revoir la loi sur les hydrocarbures en introduisant de nouvelles incitations pour notamment relancer l'investissement étranger dans l'exploration a annoncé, hier, à Doha (Qatar), le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi. Il a expliqué que cette décision a été rendue nécessaire par le besoin d'attirer des partenaires solides et expérimentés en mesure d'aider l'Algérie à accroître ses réserves d'hydrocarbures. Selon le ministre, les nouvelles technologies introduites dans l'exploration ces dernières années permettent à l'Algérie d'entrevoir de nouvelles possibilités d'augmenter de manière très significative ses réserves d'hydrocarbures. Les résultats obtenus par Sonatrach, en appliquant ces technologies sur des surfaces réduites ''sont très satisfaisants et encourageants'', note à ce propos le ministre. Mais, l'Algérie a besoin de ces sociétés pour les appliquer à grande échelle afin d'intensifier la prospection même dans l'offshore et les zones peu connues, précise le ministre. Pour ce faire, ''elle doit adapter un certain nombre de mesures incitatives de la loi 05-07 qui a été adoptée dans un environnement où ces technologies n'existaient pas et où les prix de pétrole évoluaient entre 20 et 30 dollars'', relève le ministre. Concernant les aspects de la loi sur les hydrocarbures qui seront amendés pour inciter l'investissement étranger dans l'exploration, le ministre s'est limité à dire que la révision va concerner certaines mesures fiscales et aussi des dispositions contractuelles entre Sonatrach et ses partenaires. ''Nous sommes en train d'étudier tous ces aspects'', a-t-il dit. ''Nous devons nous adapter à la réalité internationale, nous avons des réserves d'hydrocarbures largement confortable, mais il faut assurer localement la sécurité de l'approvisionnement à très long terme et renforcer le rôle de l'Algérie comme acteur principal du commerce international de l'énergie'', a encore affirmé Youcef Yousfi. Depuis la promulgation de la loi 05-07 sur les hydrocarbures, amendée par ordonnance présidentielle en 2006, l'Algérie a lancé trois appels d'offres pour l'exploration des hydrocarbures. Le premier appel d'offres lancé en 2008 a débouché sur l'octroi de quatre blocs, le second, organisé en 2009, s'est soldé par l'attribution de trois blocs et seulement deux blocs pour le dernier, lancé en 2011. L'Algérie compte revoir la loi sur les hydrocarbures en introduisant de nouvelles incitations pour notamment relancer l'investissement étranger dans l'exploration a annoncé, hier, à Doha (Qatar), le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi. Il a expliqué que cette décision a été rendue nécessaire par le besoin d'attirer des partenaires solides et expérimentés en mesure d'aider l'Algérie à accroître ses réserves d'hydrocarbures. Selon le ministre, les nouvelles technologies introduites dans l'exploration ces dernières années permettent à l'Algérie d'entrevoir de nouvelles possibilités d'augmenter de manière très significative ses réserves d'hydrocarbures. Les résultats obtenus par Sonatrach, en appliquant ces technologies sur des surfaces réduites ''sont très satisfaisants et encourageants'', note à ce propos le ministre. Mais, l'Algérie a besoin de ces sociétés pour les appliquer à grande échelle afin d'intensifier la prospection même dans l'offshore et les zones peu connues, précise le ministre. Pour ce faire, ''elle doit adapter un certain nombre de mesures incitatives de la loi 05-07 qui a été adoptée dans un environnement où ces technologies n'existaient pas et où les prix de pétrole évoluaient entre 20 et 30 dollars'', relève le ministre. Concernant les aspects de la loi sur les hydrocarbures qui seront amendés pour inciter l'investissement étranger dans l'exploration, le ministre s'est limité à dire que la révision va concerner certaines mesures fiscales et aussi des dispositions contractuelles entre Sonatrach et ses partenaires. ''Nous sommes en train d'étudier tous ces aspects'', a-t-il dit. ''Nous devons nous adapter à la réalité internationale, nous avons des réserves d'hydrocarbures largement confortable, mais il faut assurer localement la sécurité de l'approvisionnement à très long terme et renforcer le rôle de l'Algérie comme acteur principal du commerce international de l'énergie'', a encore affirmé Youcef Yousfi. Depuis la promulgation de la loi 05-07 sur les hydrocarbures, amendée par ordonnance présidentielle en 2006, l'Algérie a lancé trois appels d'offres pour l'exploration des hydrocarbures. Le premier appel d'offres lancé en 2008 a débouché sur l'octroi de quatre blocs, le second, organisé en 2009, s'est soldé par l'attribution de trois blocs et seulement deux blocs pour le dernier, lancé en 2011.