Le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion, Mokhtar Felioune, a indiqué hier que le niveau de respect des droits de l'Homme au sein des établissements pénitentiaires était « très satisfaisant ». « Les droits de l'homme en termes de santé, d'enseignement, de formation et de préservation de la dignité dans le traitement quotidien sont garantis au sein de tous les établissements pénitentiaires », a-t-il précisé. Les détenus ne manquent que du droit à la liberté, dont ils ont été privés en vertu d'un jugement pour avoir commis des crimes, a-t-il ajouté. L'Algérie a commencé par promulguer, en 2005, la loi sur l'organisation des prisons et la réinsertion sociale des détenus, conformément aux normes internationales en matière de respect des droits de l'homme en milieu carcéral, a fait savoir le directeur général de l'administration pénitentiaire. Il a également souligné que les soins de santé étaient disponibles au sein des établissements pénitentiaires dans lesquels, a-t-il précisé, des médecins généralistes, des pharmaciens, des dentistes, des infirmiers et des psychologues ont été affectés. Ces établissements ont aussi été dotés d'équipements médicaux et de laboratoires, a-t-il encore précisé. Felioune a en outre indiqué que son administration avait accordé un intérêt particulier à l'amélioration du niveau des agents travaillant dans les établissements pénitentiaires et les établissements de rééducation et au développement des programmes de formation dans le souci de garantir aux détenus un traitement qui respecte les droits de l'Homme. Le directeur général de l'administration pénitentiaire a, dans ce cadre, mis en exergue le contrôle permanent dont font l'objet les prisons par les magistrats et l'Inspection générale des services pénitentiaires, ainsi que par des représentants de la société civile, précisant que 4.000 visites de ce genre avaient été effectuées en 2011 (jusqu'à novembre). Felioune a également évoqué les visites effectuées, dans les prisons, par des experts étrangers et des représentants du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Pour Mokhtar Felioune, l'augmentation du nombre d'associations de la société civile collaborant avec le secteur pénitentiaire dans le domaine de la réinsertion (plus de 90 associations en 2011) est un autre indicateur de l'amélioration des droits de l'homme au sein des prisons, au même titre que l'ouverture de nouveaux établissements pénitentiaires. Ces nouveaux établissements, qui sont dotés d'importants moyens en matière de santé, d'enseignement, d'éducation physique et d'activités culturelles, permettront de mettre un terme à la surpopulation carcérale, a-t-il estimé. Le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion a enfin rappelé la déclaration du coordonnateur résident du système des Nations unies en Algérie qui a estimé que la réalisation d'établissements pénitentiaires comme ceux qu'a construits récemment l'Algérie « traduit la volonté politique de l'Algérie de tenir ses engagements internationaux en matière de droits de l'Homme ». Le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion, Mokhtar Felioune, a indiqué hier que le niveau de respect des droits de l'Homme au sein des établissements pénitentiaires était « très satisfaisant ». « Les droits de l'homme en termes de santé, d'enseignement, de formation et de préservation de la dignité dans le traitement quotidien sont garantis au sein de tous les établissements pénitentiaires », a-t-il précisé. Les détenus ne manquent que du droit à la liberté, dont ils ont été privés en vertu d'un jugement pour avoir commis des crimes, a-t-il ajouté. L'Algérie a commencé par promulguer, en 2005, la loi sur l'organisation des prisons et la réinsertion sociale des détenus, conformément aux normes internationales en matière de respect des droits de l'homme en milieu carcéral, a fait savoir le directeur général de l'administration pénitentiaire. Il a également souligné que les soins de santé étaient disponibles au sein des établissements pénitentiaires dans lesquels, a-t-il précisé, des médecins généralistes, des pharmaciens, des dentistes, des infirmiers et des psychologues ont été affectés. Ces établissements ont aussi été dotés d'équipements médicaux et de laboratoires, a-t-il encore précisé. Felioune a en outre indiqué que son administration avait accordé un intérêt particulier à l'amélioration du niveau des agents travaillant dans les établissements pénitentiaires et les établissements de rééducation et au développement des programmes de formation dans le souci de garantir aux détenus un traitement qui respecte les droits de l'Homme. Le directeur général de l'administration pénitentiaire a, dans ce cadre, mis en exergue le contrôle permanent dont font l'objet les prisons par les magistrats et l'Inspection générale des services pénitentiaires, ainsi que par des représentants de la société civile, précisant que 4.000 visites de ce genre avaient été effectuées en 2011 (jusqu'à novembre). Felioune a également évoqué les visites effectuées, dans les prisons, par des experts étrangers et des représentants du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Pour Mokhtar Felioune, l'augmentation du nombre d'associations de la société civile collaborant avec le secteur pénitentiaire dans le domaine de la réinsertion (plus de 90 associations en 2011) est un autre indicateur de l'amélioration des droits de l'homme au sein des prisons, au même titre que l'ouverture de nouveaux établissements pénitentiaires. Ces nouveaux établissements, qui sont dotés d'importants moyens en matière de santé, d'enseignement, d'éducation physique et d'activités culturelles, permettront de mettre un terme à la surpopulation carcérale, a-t-il estimé. Le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion a enfin rappelé la déclaration du coordonnateur résident du système des Nations unies en Algérie qui a estimé que la réalisation d'établissements pénitentiaires comme ceux qu'a construits récemment l'Algérie « traduit la volonté politique de l'Algérie de tenir ses engagements internationaux en matière de droits de l'Homme ».